• Le mois d'août arrive et mes places se terminent le 31 août ! Donc cinéma à outrance : il me reste des places à écluser. Décision avec Lady S : voir 2 films par samedi. Faut être dingue pour entamer un tel marathon, quand on bosse pendant les vacances des autres.

    " Le Hérisson "

    L'histoire de rencontres inattendues : celle de Paloma Josse, petite fille de 11 ans, redoutablement intelligente et suicidaire, de Renée Michel, concierge parisienne discrète et solitaire, et de l'énigmatique Monsieur Kakuro Ozu.

     Réalisé par Mona Achache, avec Josiane Balasko, Garance Le Guillermic, Togo Igawa
    (in allocine)

    Ce film est très librement inspiré du livre. Lu il y a déjà quelques temps, il n'y a pas eu de télescopage entre film et livre. En effet, du livre n'ont pas été pris que des moments graves et forts, mais aussi des scènes drôles et décalées, une ambiance, une atmosphère.
    Maintenant vous pouvez livre le livre comme un autre événement qui vous rappellera quelques images du film.
    Superbement interprété par les acteurs. Balasko est surprenante et on a peine à la reconnaître. La petite fille et le japonais sont très justes dans leurs jeux. Le reste des personnages est bien campé. Très agréable moment. La salle de la séance de 15h était bourrée de gens du quatrième âge ! Preuve, si cela peut en être une, qu'ils avaient lu le livre qui est un vrai succès de librairie.


    Après une pause café d'une demi-heure, retour en salle pour le deuxième film.


    " Whatever Works "


    Boris Yellnikoff est un génie de la physique qui a raté son mariage, son prix Nobel et même son suicide. Désormais, ce brillant misanthrope vit seul, jusqu'au soir où une jeune fugueuse, Melody, se retrouve affamée et transie de froid devant sa porte. Boris lui accorde l'asile pour quelques nuits. Rapidement, Melody s'installe. Les commentaires cyniques de Boris n'entament pas sa joie de vivre et peu à peu, cet étrange couple apprend à cohabiter. .... Un an plus tard, leur bonheur est troublé par l'arrivée soudaine de la mère de Melody, Marietta. Celle-ci a fui son mari, qui l'a trompée avec sa meilleure amie. Découvrant que sa fille est non seulement mariée, mais que son époux est un vieil excentrique bien plus âgé qu'elle, Marietta s'évanouit ....

    Réalisé par Woody Allen, avec Larry David, Evan Rachel Wood, Ed Begley Jr.
    (in allocine)

    Je n'avais pas vu le dernier Woody Allen vu la déception de mes amis. Je pensais que ce réalisateur n'avait plus grand-chose à dire. Et puis le voilà qui sort Whatever Works. C'est bien sa signature. Humour noir juif new-yorkais, plein de bavardages, du désabusé mais de l'humour, un soupçon déjanté, un patchwork d'histoires sentimentales et amoureuses improbables et le happy end au nouvel an
    C'est un Wooddy Allen de bonne facture et que j'ai pris plaisir à regarder.


    mise en ligne 21:40


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  • Le début d'un court-métrage « Une robe d'été » de François Ozon (1996).
    Ce film de 15 min. avait eu le soutien du Conseil régional d'Aquitaine ....

    mise en ligne 20:15


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  • Après quelques soucis de santé, plusieurs examens variés et trop nombreux à mon goût, me voilà avec des pilules à avaler. Elles ne sont pas bleues... pour ceux qui auraient des pensées orientées sexe.... Je suis suffisamment excité comme ça, puisque je me paye de l'hypertension. Le sujet est clos, je me soigne.

    Et après ?
    Ben après, je me suis fait un plaisir, un achat compulsif en quelque sorte.

    Coup de bol, j'avais assez de points pour changer de mobile et il restait en stock 1 modèle noir et 3 modèles blancs en 32 Go. J'ai pas hésité malgré le prix.

    Me voilà avec un superbe Iphone 3GS+ blanc 32 Go. Une merveille de technologie et si agréable à utiliser....

    mise en ligne 23:16





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  • Seb

    Ne dit-on pas que quand on parle du loup, on en voit la queue ?
    Et bien c'est fait ! Façon de parler, bien sûr. Seb a téléphoné. Son dossier de financement pour sa future activité lui a bouffé un temps pas possible, d'où son silence radio. Mais il était pardonné d'avance. Bon, prévision d'un déjeuner dans les jours à venir et je vous dirai si Seb ressemble à un loup ...


    Cumulus... suite,

    C'est un peu la poisse. Le cumulus étroit ne se fait plus comme je le souhaitais. Le marchand me disant avec une logique bien à lui : « ah, mais vous savez votre cumulus de 400 de diamètre je le fais à 460 de diamètre ! » Il a du entendre mon long soupir ...

    J'ai bien regardé son emplacement : si je rectifie le placo à un endroit, ça devra passer pilepoil, à 2 millimètres et sans lubrifiant !. Joli, non ? Mais c'est pas encore fait, il faut déjà que je démonte l'ancien. Je sens que je vais avoir un week-end chargé si je trouve le cumulus à la bonne taille...

    mise en ligne 00:08


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  • Film

    A sa sortie, il avait fait couler beaucoup d'encre. Je veux parler du film « Millénium » (sous titre : les hommes qui n'aimaient pas les femmes). Mais voyant qu'il se déprogrammait des salles, vite un tour à l'UGx pour la séance de samedi. A 14h nous étions une quinzaine dans la salle. Il faut dire que le boulevard Montparnasse était balisé pour l'arrivée d'un manif vers 17h. Mais revenons au film dont je n'ai pas lu le bouquin.

    Ca démarre en vrai thriller et ça finira très mal et bien en même temps. Mais entre temps, nous aurons droit à plusieurs scènes passées de meurtres rituels et présentes de viol, parfaitement trash. Et pourtant elles auraient pu se dérouler dans le réel. D'ailleurs la violence qui se dégage n'est pas de la fiction. Comme je n'ai pas lu le livre, je n'ose pas imaginer les descriptions pour arriver à tourner ces scènes là. Mais le film ne se résume pas qu'à cela. Néanmoins, on en ressort avec un léger malaise. Le déroulement de l'intrigue est prenant, tournée dans ces pays du nord qui sont fascinant mais énigmatique. Il y fait si froid ! Les acteurs, entre autre le journaliste et la punk, sont attachants et jouent parfaitement. Je sais que la saga comporte 3 livres, que l'auteur est mort et que cette saga est devenue culte ! Lady S a commencé le premier... avant de voir le film. Mais je ne lirais pas les bouquins.

    Mikael Blomkvist est journaliste économique dans le magazine Millenium. Condamné pour diffamation, il décide de prendre de la distance avec sa vie et son métier. Mais Henrik Vanger, grande figure de l'industrie suédoise, fait appel à lui afin d'enquêter sur un meurtre non élucidé, celui d'Harriet Vanger, nièce du grand homme et disparue à l'âge de seize ans. Au cours de ses recherches, Blomkvist se rend compte que La famille Vanger semble cacher bien des haines et des secrets. Dans le cadre de son enquête, le journaliste est amené à rencontrer Lisbeth Salander. La jeune femme de vingt-quatre ans possède un don exceptionnel, celui de découvrir des informations introuvables. Tous deux vont être amenés à se croiser dans une enquête qui va révéler beaucoup plus que ce que chacun aurait pu imaginer...

    Réalisé par Niels Arden Oplev, avec Michael Nyqvist, Noomi Rapace, Lena Endre 

    (in allocine)



    Seb

    Seb avait prévu de déjeuner avec moi lundi ou mardi (avait-il dit). Je ne l'ai ni vu ni entendu. Ah les promesses des choupinous. Il faut se méfier de ces gaillards comme de la peste. Toujours des promesses et puis rien. On se met sur pause et on verra plus tard.



    Tom

    Tom est en super forme. Du moins peut-on le penser à la lecture de son mail d'une certaine longueur, mais sans bavardages. Il doit faire un tour en France en juillet et aimerai dîner un soir sur la Seine à bord d'une péniche. Comme c'est romantique, quand on sait que Mat reste aux US pendant le même temps. Son ton léger et primesautier m'a tout l'air de n'être qu'une envie en passant et qu'on ne dînera jamais sur cette foutue péniche. Pourquoi ? Parce que cela n'est pas la première fois qu'il en rêve et j'ai l'impression que cela lui fait du bien d'en parler. Un peu comme une mini psychothérapie. On se met sur pause pour lui aussi et on verra plus tard également.



    Cumulus

    Ca n'a rien à voir ni avec Seb ni avec Tom. Mon cumulus qui a à peine 7 ans (l'âge de raison) s'est mis à fuir au joint de la cuve. J'ai l'impression que je suis parti pour une dépense parfaitement imprévue et non désirée surtout. En plus j'avais installé un cumulus tout fin (diamètre 40 cm, hauteur 1 m) et il n'y a pas des dizaines de constructeurs. J'espère que le fabricant en produit toujours, car le placard fait sur mesure pour lui ne pourra être agrandi pour un autre modèle qu'au prix d'une refonte complète des rangements de la cuisine. Je n'ose pas l'envisager, car ce serait un sacré bordel pour tout refaire. Allez, haut les cœurs et on cherche le cumulus tout fin. A suivre et là, interdit de se mettre sur pause....


    mise en ligne 01:08



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  • Foutue journée. Arrivée au bureau à 9h30 pour une réunion de 10h à 17h00, non-stop. J'étais à l'heure, sauf que le boss avait noté 10h30 et la quinzaine de participants ronchonnait sur son retard fictif. On a tous eu le temps de s'installer pour prendre un deuxième café. La réunion démarre avec les présents physiquement et nos collègues au téléphone. Et cette journée est tuante. Nous écoutons le commentaire des chiffres des affaires (mini affaires) perdues, peut-être gagnées, mais pas sûr et les quelques affaires terminées (si peu...).
    Donc, cinq personnes qui causent à tour de rôle et tout le reste qui écoute. Le problème est notre présence systématique alors qu'un compte rendu serai plus clair et plus rapide. Moi, je ne suis pas concerné directement par cette réunion, enfin pas plus que l'autre moitié qui n'est jamais invitée ! 

    Pause déjeuner : sandwichs livrés à domicile... Une heure de pause. Ça fait du bien.
    Reprise de la réunion, et c'est reparti pour un tour, jusqu'à 19h !!!

    Et cette comédie, qui voit le boss se démener tous azimuts pour tenter de prendre de l'activité, est pathétique. Non pas qu'on lui reproche de vouloir survivre, de ne pas vouloir s'enfoncer dans le déficit, mais on a l'impression d'une girouette. On ne change pas d'activités du jour au lendemain. Personne ne nous attend... et ça se confirme. Il faut taper plusieurs fois à la porte des clients, mais quand les nouveaux clients sont eux mêmes dans une dépression industrielle avancée, c'est plus compliqué.
    Nous ressortons, les chiffres de mai n'ont pratiquement pas bougés en juin et je crains que juillet n'ait du mou dans ces chiffres...

    Demain, je reprends mes projets. Et oui, moi j'ai du boulot, presque débordé. Nous étions trois en fin 2008 et depuis je suis tout seul ! C'est pour cette raison que je déteste ces réunions qui me bouffent du temps, ce qui n'est pas le cas pour d'autres collègues qui sont un tantinet désœuvrés.

    Bon, demain on parlera de choupinous .... 

    on line 23:30


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  • Je suis rentré de vacances le 31 mai et j'aurai du en toute logique fêter les 3 ans de ce blog... Pendant mes vacances, j'ai songé à m'en occuper, mais pris dans une galère de douche à remplacer entièrement (durée 3 jours), la célébration est passée au second plan. Entre deux, je m'aperçois que NicoS avait lancé une invitation... le jour de mon départ ! Je suis vache, je ne l'ai même pas rappelé. Pas bien Pouxi. Et puis 24 heures avant mon départ, présence au mariage d'un fiston d'une cousine. Sympa, mais les mariages me gavent de plus en plus. Heureusement qu'il faisait beau et chaud. Rentrée le lendemain soir. Et le lundi 1er juin pour me remettre dans le rythme : cinéma avec lady S. Le boulot c'est pour le lendemain


    cinéma
    Etreintes brisées.

    (extraits de allocine)
    Dans l'obscurité, un homme écrit, vit et aime. Quatorze ans auparavant, il a eu un violent accident de voiture, dans lequel il n'a pas seulement perdu la vue mais où est morte Lena, la femme de sa vie.
    Cet homme a deux noms : Harry Caine, pseudonyme ludique sous lequel il signe ses travaux littéraires, ses récits et scénarios ; et Mateo Blanco, qui est son nom de baptême, sous lequel il vit et signe les films qu'il dirige. Depuis qu'il a décidé de vivre et de raconter des histoires, Harry est un aveugle très actif et attractif qui a développé tous ses autres sens pour jouir de la vie, sur fond d'ironie et dans une amnésie qu'il a volontairement choisie ou, plus exactement, qu'il s'est imposé. Il a effacé de sa biographie tout ce qui est arrivé quatorze ans auparavant et il est lui-même le premier à ne pas désirer ressusciter son passé, mais....
    Une histoire d'amour fou, dominée par la fatalité, la jalousie et la trahison. Une histoire dont l'image la plus éloquente est la photo de Mateo et Lena, déchirée en mille morceaux.

    Réalisé par Pedro Almodóvar, avec Penélope Cruz, Blanca Portillo, Lluis Homar


    C'est un film particulier, comme tous les films de Pedro Almodovar. Comment vous raconter un film comme celui-ci ! Une histoire, des histoires, des passés douloureux, un présent bloqué sur lui même, et un futur incertain ... Film dense, merveilleusement servi par les actrices et acteurs du maître. Un puzzle qu'il convient de revoir pour en apprécier toute la complexité et la finesse. J'ai aimé ? Oui, trois fois oui. A voir donc.


    livre
    L'origine du mal, GillesHaumont.
    (in amazon - éditions Livre Poche)
      Présentation de l'éditeur
    Dans un avenir proche, un virus extermine en quelques jours la population du continent nord-américain. La communauté internationale réagit en créant l'INGEN, une institution chargée de contrôler toutes les recherches génétiques. Guillaume Beaumont, un jeune prodige français, y est affecté, au département de Yohann Van Helmont, un mystique qui paraît s'intéresser davantage à l'alchimie et à l'histoire des religions qu'à la recherche pure. Une série de meurtres ensanglante soudain la petite communauté, et Van Helmont charge Guillaume de l'enquête. L'origine du Mal est un thriller d'anticipation qui explore la brûlante question des origines de l'homme, darwinisme, créationnisme, intelligent design.


    Thème bien mené. Je regrette un style parfois brouillon, qui nuit au rythme du récit. Mais l'ensemble reste cohérent et la fin est bien amenée. Presque 500 pages qui se lisent très vite en 3 jours maxi.
    Pas d'appréciation. On n'est pas obligé de le lire, sauf si on n'a plus rien à se mettre sous la dent.


    Chapitre Seb

    Cela faisait longtemps que je ne vous avais pas parlé de Seb. Il faut dire que je n'avais pas de nouvelles particulières. Un coup de fil de temps à autre sans plus. Et puis voilà qu'il a décidé de créer une affaire avec un associé, et qu'il me sollicite pour être présent sur le web. En d'autres termes, lui créer une page d'accueil et quelques rubriques. Du tout simple dans l'immédiat. Je reçois donc un coup de fil où il me reproche, sur un ton tout mielleux, que je ne parle plus de lui sur mon blog ! Et je reçois un mail des plus drageurs :

    Mon petit Pouxi d'amour, (tu vois je suis toujours aussi doué pour t'amadouer...)
    .../... (bla bla bla sur le site,...)
    Sur la page d'accueil, dans un premier temps, on prévoit de mettre les coordonnées et une présentation rapide du magasin et de l'équipe. (Si je te manque trop tu pourra y venir pour voir une photo de MOI !!!!)
    Voilà en gros ce que nous souhaitons, j'espère avoir été assez clair...
    Au pire, tu m'appelles et tu pourras entendre le son mélodieux (et un peu grave...) de ma voix.
    Bon, gros Bisous
    Ton Choupinou

    Incroyable ! Je réponds et le voilà qui au téléphone me répète que je n'ai toujours pas dit ce qu'il m'avait écrit ou raconté. Et dans la foulée il me donne une adresse de cave à vins en me disant « si tu y va, dit que tu viens de ma part » et moi de lui répondre « je dis quoi, que je viens de la part de Seb, mon ex-mec !? ». Oups ! « Déconne pas, dans ce magasin, ils connaissent toute ma famille ! ». Eclats de rire.
    Soyons clair Choupinou Seb : je t'aime à ma façon et il faut t'y faire. Grosses bises, mon amour. (on n'a les faiblesses qu'on peut...). !

    mise en ligne 21:00


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  • Profitant d'un circuit bien connu (U**) qui faisait les places à 3 euros la séance pendant une semaine, je n'ai pas pu résister à voir deux films samedi après-midi. Lady S était de la fête.

    Premier film : Anges et Démons.

    Une antique confrérie secrète parmi les plus puissantes de l'Histoire, les "Illuminati", qui s'étaient juré autrefois d'anéantir l'Eglise catholique, est de retour. Cette fois, elle est sur le point de parvenir à son but : Robert Langdon, expert en religions d'Harvard, en a la certitude.
    Langdon a peu de temps pour comprendre ce qui se trame contre le Vatican et déjouer ces nouveaux crimes. Une course contre la montre et contre les tueurs qui démarre tel un jeu de piste : des églises romaines aux cryptes enfouies, des catacombes les plus profondes aux majestueuses cathédrales...
    Cette fois, il sait à qui il se confronte. Cette enquête diabolique est un piège, chaque secret est une clé, chaque révélation un danger...

    Avec Tom Hanks, Ewan McGregor, Stellan Skarsgard
    [in allocine]

    La bande annonce pouvait présager un film présentable. Il n'en fut rien. On survole un sujet portant sulfureux, sans vraiment de suspense. Effets spéciaux classiques. Acteurs sans plus (mis à part un choupinou craquant, qui fait partie de la sécurité ...).
    Donc je confirme que le film est un navet. Mais à 3 euros, c'est pas un vrai problème.


    Deuxième film : Star Trek.

    La plus grande odyssée spatiale de tous les temps voit le jour dans le nouveau Star Trek, mettant en scène le premier voyage d'un tout nouvel équipage à bord de l'U.S.S. Enterprise, le vaisseau spatial le plus sophistiqué de l'histoire.
    Dans ce périple semé de dangers, d'action et d'humour, les nouvelles recrues doivent tout faire pour empêcher le plan diabolique d'un être maléfique menaçant l'humanité toute entière dans sa quête de vengeance.
    Le sort de la galaxie est entre les mains de deux officiers que tout oppose : d'un côté, James Kirk, originaire de la rurale IOWA, tête brulée en quête de sensations fortes, de l'autre, Spock, issu d'une société basée sur la logique et rejetant toute forme d'émotion. Quand l'instinct fougueux rencontre la raison pure, une improbable mais puissante alliance se forme et sera seule en mesure de faire traverser à l'équipage d'effroyables dangers, là où personne n'est encore jamais allé.

    Réalisé par J.J. Abrams
    Avec Chris Pine, Zachary Quinto, Eric Bana, ....
    [in allocine]

    Plus de deux heures de bonheur. Une vraie réussite dans l'esprit de Star Trek, tant pour les personnages que pour les décors. Une action sans faiblesse, des acteurs sans fausse note, le tout accompagné d'humour, de bonne humeur, et soutenu par une histoire sans pause. Un réel plaisir. A voir et peut-être même à revoir.

    mise en ligne 11:36
     


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  • Journée bizarre. Une conférence call avec nos filiales éparpillées sur la planète. Durée 4 heures sans interruption ! Et le tout en anglais, of course. Avec vidéo et documents. Je suis sorti lessivé de l'exercice. Deux choses à finir et quand je suis sorti, tard, la pluie avait lancé quelques gouttes. J'avais pourtant prévu la chose, avec mon imper sur le bras. Mais quand il pleut, un parapluie est très utile et je n'en avais point. Parti sous trois gouttes et arrivé trempé comme ... je ne sais pas quelle expression familière et imagée pourrait donner une description exacte. A la gare, le choupinou du même wagon que moi avait la même dégaine , en plus jeune et trempé ... On a mutuellement contemplé, si l'on peut dire, nos allures et dans un sourire sous-entendu chacun a pris place. Il avait un pavé à lire. Moi aussi.

    Demain vendredi, je reste at home. J'ai plein de choses à faire. Je pars la semaine prochaine pour une dizaine de jours. Il faut bien solder ses vacances avant la fin mai. Et je me rappelle que c'est à la fin de ce mois, où parait-il "fait ce qu'il te plait", que j'ai écrit le premier article de ce blog... en 2006 ! Eh, oui ! La régularité n'était pas toujours au rendez-vous, mais tel n'était pas non plus le but de pisser de la copie comme un fou. C'est l'humeur et les envies qui me guide. Sans toutefois céder à la tentation de tout raconter. Tentation qui me prend dans les endroits les plus saugrenus et jamais quand j'ai sous la main papier, crayon ou clavier. Je me demande si un dictaphone ne serai pas l'idéal. Quoique ... Il faut bien retranscrire à un moment quelconque.

    Donc, je vous disais après cette digression que trois bougies, ça se souffle.
    Je ne reviens que le 1er juin, donc nous soufflerons ça tous ensemble !

    mise en ligne 23:06 



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  • Comme le temps passe vite ! Je suis resté silencieux bien longtemps. Mais actif : le boulot ne s'en remet pas du déménagement ! On en est encore à chercher un carton, une clé, un fauteuil, comme si les objets avaient une vie propre. Depuis ma dernière écriture il y a eu ciné et lecture.


    cinéma

    Dans la brume électrique.
    (in allocine)
    New Iberia, Louisiane. Le détective Dave Robicheaux est sur les traces d'un tueur en série qui s'attaque à de très jeunes femmes. De retour chez lui après une investigation sur la scène d'un nouveau crime infâme, Dave fait la rencontre d'Elrod Sykes. La grande star hollywoodienne est venue en Louisiane tourner un film, produit avec le soutien de la fine fleur du crime local, Baby Feet Balboni. Elrod raconte à Dave qu'il a vu, gisant dans un marais, le corps décomposé d'un homme noir enchaîné. Cette découverte fait rapidement resurgir des souvenirs du passé de Dave. Mais à mesure que Dave se rapproche du meurtrier, le meurtrier se rapproche de la famille de Dave...

    Avec Tommy Lee Jones, John Goodman, Peter Sarsgaard

    C'est un film particulier, un peu déroutant. On a un peu de mal à organiser les différentes trajectoires des personnages. Leurs réactions au présent sont conditionnées par un passé , parfois sulfureux, que l'on ne découvre que par petits bouts. En revanche, l'atmosphère lourde et moite de la Louisiane est plus que palpable. Le rythme est moins rapide que prévu et il faut un petit temps pour entrer dans cette intrigue. Je ne crois pas que ce soit le meilleur film de Tavernier mais Tommy Lee Jones est un sacré acteur !


    livre

    Malhorne, suite et fin
    J'avais commencé cette longue saga ... et je l'ai terminée. Je vous donne tout de même un résumé très très court, juste une présentation éditeur.
    (in amazon - éditions Bragelonne)
    Il vient de la nuit des temps.
    Il a franchi la frontière qui sépare la vie de la mort.
    Et, aujourd'hui, le moment de la révélation est venu. Tout commence lorsque l'ethnologue Franklin Adamov découvre, au fin fond de l'Amazonie, une statue représentant un homme assis armé d'une épée. L'homme est de type européen, l'objet date du XVe siècle, et sur la garde de l'épée est inscrit un mot : « Malhorne ».
    C'est impossible... Pourtant, ce n'est que le premier indice.
    En effet, peu après, Franklin est contacté par une fondation appartenant à un riche financier, qui lui offre des moyens illimités pour résoudre cette énigme. Car le mystère s'épaissit : on a repéré une deuxième statue, absolument identique, à l'autre bout du monde... Qui se cache derrière ces monuments ? Qui a laissé ces signes, et pourquoi ? Alors débute une traque haletante, une quête initiatique à travers l'Histoire, les cultures et les religions du monde entier, dont l'enjeu est rien moins que l'immortalité.

    Fini, terminé, sorti du cycle Malhorne sur 4 tomes et 2400 pages ! Moi qui d'habitude n'aime pas les romans fleuves, je n'ai finalement pas reculé et j'ai même vers la fin accéléré le mouvement pour arriver plus vite au dénouement, dont je vous dirai rien, bien entendu.


    look du blog...
    Encore un coup de OB ! J'avais réussi dans le vert et je vois du bleu revenir un peu partout avec une disparition du trait vertical. Ca commence à me gonfler. Et j'ai pas du tout envie de tripoter les css. Ils ont soit disant simplifié la gestion des css, mais j'ai l'impression que c'est encore plus le foutoir, pour le peu que j'en ai vu dans le code retenu. Je me préoccuperai de ce problème plus tard.

    mis en ligne 01:03


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  • Prédictions
    [in Allociné]
    Pour fêter l'anniversaire d'une école, une cérémonie est organisée au cours de laquelle une capsule temporelle contenant des messages écrits par des enfants 50 ans auparavant est déterrée et ouverte. Chaque enfant emporte chez lui un message, mais celui du petit Caleb est illisible, car il s'agit d'une suite incohérente de chiffres. D'abord amusé, son père, statisticien, essaye de trouver une signification. Horrifié, il découvre peu à peu que chaque séquence de chiffres correspond à la date exacte d'une catastrophe récente. Lorsqu'il comprend que les 3 dernières séquences prophétisent des cataclysmes à venir, une course contre la montre commence.
    Réalisé par Alex Proyas, avec Nicolas Cage, Rose Byrne, Chandler Canterbury.


    Bien tourné et effets spéciaux de qualité. L'histoire suit un rythme plus lent que d'habitude dans ce genre de film, mais on s'y fait. En revanche le final est convenu, sans vraiment d'originalité, surtout pour ceux qui voient ce genre de film de SF ou qui lise le même style de bouquins. Mais on ne boude pas le film. Il valait le coup et puis j'aime bien Nicolas Cage.


    mise en ligne 12:30

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  • Ca fait presque un mois sans écrire. Pour les quelques fidèles qui me lisent, c'est long. Mais pour moi, le temps passe à une allure dingue. Notre société déménage. Change de commune (en fait celle qui est à coté). Mais que ce soit à 100 ou à 10 km, le programme est le même. On commence par trier toutes les « cochonneries » accumulées au fil des années, celles qu'on a gardées en souvenir, celles qui peuvent encore servir (on se demande bien à quoi) et celles - surtout celles là - dont on avait décidé qu'on statuerait sur leurs sorts plus tard. Résultat : les poubelles remplissent des bennes. C'est un gâchis de papier monstrueux et qui redondait avec les supports numériques en tous genres. J'ai bien prévenu que le nombre de cartons par personne était limité, mais chacun y va de sa tentative pour déroger. Et puis on continue : mise en carton, on colle, on met l'étiquette, on en remet une autre - la bonne cette fois ci - et le doute sur le contenu exact du carton. Poisse, j'ai oublié de noter un truc. Oh et puis m*rde, je verrai bien à l'ouverture.

    Je devrais ajouter au titre de ce post aussi la poussière, celle des archives ; mais entre gérer les cartons, les implantations, rectifier quelques loupés et le travail courant qui est toujours présent sans intention de faire une pause, mes journées et mes semaines sont pleines et harassantes parfois. Ma consommation de café est en hausse ....

    Pas de nouvelles de ceux qui ont quittés la boite. Ils font bien. Il faut savoir tourner la page et consacrer toute son énergie pour le futur - difficile en ce moment.

    Sinon rien de très particulier. Je continue à croiser quelques choupinoux dans le train. Mais comme je somnole vaguement pendant le trajet, ce n'est que l'œil mi-clos et sans appétit que je regarde dans leur direction.

    Et cette année, j'ai pas vu le poisson du le 1er avril !

    Lady S. était en vadrouille et m'a envoyé une carte postale de Strasbourg.

    mis en ligne 20:20


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  • Vendredi 13
     
    C'est un jour comme les autres et pourtant ... on joue dans l'espoir de gagner la cagnotte, on aime se faire peur avec les films du même nom, on invente toutes les raisons de faire des choses qui sortent de l'ordinaire, car la chance n'est pas banale, sinon elle ne se nommerait pas ‘chance' ... Il y aussi ceux pour qui le vendredi 13 est un jour maudit. Allez comprendre. Chacun met ses rêves à sa sauce et vendredi 13 ou pas, la terre continue de tourner.

    Livre
     
    Salon du Livre du 13 au 18 mars avec une nocturne le 17. Je pense que j'irai faire un tour. C'est pas très loin quand on habite déjà Paris.
     
    Malhorne - T.2

    Je suis arrivé dans le dernier quart du tome 2 de Malhorne. Ici l'histoire se passe sur plusieurs fronts avec des intérêts identiques mais des buts différents selon les protagonistes. Et ils sont nombreux. Le récit coule et accroche suffisamment pour que ma lecture dans le train me paraisse trop courte et que je sois tenté de continuer à lire en marchant. Exercice peu recommandé dans la foule.








    Encore un départ

    Nico (un autre Nicolas), quitte la société aujourd'hui. Hier à l'heure du déjeuner, pot de départ très chaleureux et convivial entre ceux qui restaient, les licenciés en cours de départ et Nico démissionnaire. Cela faisait un drôle de mélange quand on y pense. Les adieux seront pour cet après-midi.
    A ce rythme là, nul n'est besoin d'envisager un autre plan de licenciement. La boite se vide elle-même de sa substance sans coûter un sou ! Le DG (Directeur général et non pas Dolce & Gabana) va pouvoir rendre des comptes moins rouge si ça continue.
    Déménagement dans un mois. Je continue à ranger, trier, jeter et dans cette folle ambiance de merde, j'ai l'impression que je vais moi aussi partir demain alors que ce n'est absolument pas le cas. C'est bizarre, mais on s'habitue ... pour l'instant.
     

    mis en ligne 12:11


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  • Crise et pas crise, ça énerve !

    En général, je n'aime pas aborder des sujets d'actualité. L'actualité est volatile et puis quand on se lance, il faut être conscient qu'on en dira ou trop peu ou pas assez avec tout ce que cela entraine comme interprétations. Donc ce sera plutôt un coup de gueule.
    En ce moment je plains sincèrement ceux qui se trouvent dans des situations difficiles. Le plan de licenciement dans notre société arrive à sa fin. Nous déménageons dans un mois. Mais rien ne dit que nous aurons encore un boulot si aucune commande n'arrive. Les miettes ne nous font pas vivre, tout juste survivre. Mais pour ceux qui restent nous touchons sans problème nos salaires. Et j'entends certains se plaindre de la crise. Là je m'énerve. Pourquoi ils se lamentent alors qu'ils ne sont pas touchés directement ? Ils me disent que la bouffe est devenue chère, mais sont incapables de dire ce qui est plus cher et par rapport à quoi. Et d'expliquer le pourquoi et le comment. De remonter en 2000, de balancer des théories, des hypothèses, de répéter des analyses à moitié entendues ça et là, etc. Et de se plaindre encore en balançant : « ah, j'aimerai pas être à leurs places » Un comble !
    D'autres me disent qu'ils font plus attention. Ben oui, moi aussi je fais attention et ce depuis des années, ce qui me permet d'aller encore au cinéma. Un budget ça se gère, non ?
    En revanche, ceux pour qui c'est très serré et qui vont être au chômage dans un mois, ne se plaigne pas autant, font face, ont des idées et ne se laissent pas abattre. Et je les soutiens, eux, pendant que j'engueule les autres pour leurs lamentations indécentes et leurs jugements stupides. Et en plus ils me font la tête.
    C'est dans des moments particuliers qu'on voit ce que sont les autres. Ils se dévoilent et parfois c'est pas joli, joli .... « Ce sont des rats » s'exclame une collègue qui part dans quelques jours...


    Seb de nouveau en ligne .... téléphonique.

    Cela faisait un bail que je n'avais pas entendu la voix du chéri au téléphone. Opération du genou, un ligament merdique et un croisé. Cela l'oblige à rester arrêté pendant un certain temps. Interdiction de poser le pied par terre pour le moment. La rééducation suit son cours, mais pas de reprise du boulot avant 2 mois, je crois. Son employeur en a profité pour lui envoyer un petit courrier pour un « entretien préalable » avant licenciement. L'employeur a évidemment trouvé une faute pour justifier son geste. Cela ne préoccupe pas plus Seb, qui le moment venu mettra en œuvre sa redoutable stratégie (redoutable, je suis pas sûr). Conclusion : si je veux le voir, faut que je bouge .... Allez, on ira le voir pour une fois.


    Quand les sites pro mettent des choupinous

    Pour mon boulot, j'ai besoin de naviguer chez nos fournisseurs sur le net. Là, il n'y a rien de très original. Mais quelques fois, la page d'accueil est pourvue d'êtres humains. Chez Legra** qui fait dans l'électricité, j'ai été accueilli un matin gris par un sourire et des yeux rieurs. Voilà.


    Du soleil dans les cordes

    Redécouverte de cette mélodie.
    Isaac Manuel Francisco Albéniz, né le 29 mai 1860 à Camprodon (Province de Gérone, Espagne) et mort le 18 mai 1909 à Cambo-les-Bains (Pyrénées-Atlantiques, France), est un pianiste et compositeur espagnol. Musicien précoce - premier concert à quatre ans - turbulent et fantasque, il deviendra particulièrement renommé pour ses œuvres pour piano inspirées de la musique folklorique espagnole. Francisco Tárrega transcrivit pour la guitare un grand nombre de ses pièces. Ces transcriptions participent aujourd'hui grandement à la renommée d'Albéniz.
    (in wikipédia)

    Et voici à présent Asturias issue de la Suite Espagnole, transcrite pour la guitare et interprétée par John Williams.

    A découvrir sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=GY5y4Rp3tU8

    From one of the oldest and greatest royal palaces, the Alcazar in Sevilla, Spain Isaac Albeniz - Suite Española Nr. 1, Op. 47: Nr. 5, Asturias (Leyenda) John Williams – classical guitar

    mis en ligne 01:01


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  • Je ne suis pas des plus actifs en ce moment, mais plusieurs sujets occupent mon temps et mon énergie. J'écris la suite de textes abandonnés il y a quelques temps. 

    Tom et Mat étaient passés à Paris vers les fêtes. Mais leur séjour éclair n'avait pas permis d'organiser un dîner. Mat est revenu il y 10 jours et a osé me téléphoner 2 heures avant son retour aux US pour me proposer de boire un café juste avant le décollage. Je l'ai envoyé au diable ... J'allais pas me taper un aller-retour Paris-Roissy pour 10 minutes. C'est bon quand on a 20 ans, qu'on est follement amoureux. Du coup j'ai reçu dimanche un très long mail (c'est une habitude chez lui et chez Tom) où il me raconte pleins de choses, qui franchement auraient pu attendre jusqu'à son prochain séjour. Il est toujours stupide de culpabiliser pour des choses sans grande importance, du moins à mes yeux. Je connais ces deux zèbres depuis des années. Ils ont toujours l'impression qu'ils me blessent quand ils promettent et qu'ils ne tiennent pas. Je ne vois pas où est le problème quand c'est pour un dîner, un café ou une chose banale de la vie. Ils sont moins cool que moi et certainement moins pragmatiques. J'ai quand même répondu au mail de Mat : 3 lignes seulement. Il a du se sentir soulagé, l'imbécile. 

    - Livre -
    J'ai repris mes lectures. Cette fois ci je me suis lancé dans la lecture d'une saga de 2000 pages (en 4 volumes) sur les conseils de Lady S : « Malhorne » de Jérome Camut. Classé dans le genre roman par l'éditeur, mais étant plus proche de la Fiction (ou/et Fantasy), je reconnais que j'appréhendais un peu ce genre de livre. J'ai été un gros lecteur de SF et d'anticipation et je m'en étais éloigné. Mais là, je ne suis pas déçu. J'ai dévoré le premier volume dans mes trajets en train pour aller bosser. Et en une grosse semaine, j'ai avalé les 700 premières pages. Et comme le net fourmille d'infos sur l'auteur et sa tétralogie, inutile que je vous raconte en résumé la chose.


    Gran Torino
     Film réalisé par Clint Eastwood, avec Clint Eastwood, Bee Vang, Ahney Her

    Synopsis
    Walt Kowalski est un ancien de la guerre de Corée, un homme inflexible, amer et pétri de préjugés surannés. Après des années de travail à la chaîne, il vit replié sur lui-même, occupant ses journées à bricoler, traînasser et siroter des bières. Avant de mourir, sa femme exprima le voeu qu'il aille à confesse, mais Walt n'a rien à avouer, ni personne à qui parler. Hormis sa chienne Daisy, il ne fait confiance qu'à son M-1, toujours propre, toujours prêt à l'usage...
    Ses anciens voisins ont déménagé ou sont morts depuis longtemps. Son quartier est aujourd'hui peuplé d'immigrants asiatiques qu'il méprise, et Walt ressasse ses haines, innombrables - à l'encontre de ses voisins, des ados Hmong, latinos et afro-américains "qui croient faire la loi", de ses propres enfants, devenus pour lui des étrangers. Walt tue le temps comme il peut, en attendant le grand départ, jusqu'au jour où un ado Hmong du quartier tente de lui voler sa précieuse Ford Gran Torino...
    (extrait in Allocine)

    C'est une histoire brutale, aussi bien dans les actes que dans les paroles et les sentiments. Mais c'est aussi et surtout une histoire de rédemption. L'histoire d'un homme qui porte en lui un lourd fardeau et si lourd qu'il ira jusqu'au sacrifice pour se racheter.
    Admirablement distribué et joué, un film à voir sauf si on n'aime pas Clint Eastwood.

    mis en ligne 01:17 


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  • ...de quoi ? D'écrire un article ? Dites plutôt que la paresse est venue me séduire et m'a rendue marmotte. C'est pas bien ça !
    Il faut dire que je suis un peu débordé au boulot et que je rentre un peu tard. Maintenant qu'on est plus qu'un pelé et un tondu, faut s'organiser autrement. En plus on va déménager. Conséquence : faire du ménage. Comme c'est pour avril, ça nous fera un grand nettoyage de printemps !
    Mais je suis pas si marmotte en fait.

    - CINE -
    SEPT VIES
    Hanté par un secret, Ben Thomas cherche sa rédemption en transformant radicalement la vie de sept personnes qu'il ne connaît pas. Une fois son plan mis en place, plus rien ne pourra l'arrêter. C'est tout du moins ce qu'il croit. Mais Ben n'avait pas prévu qu'il tomberait amoureux de l'une de ces personnes et que c'est elle qui va le transformer...
    (in Allociné)


    J'aime cet acteur. Et dans ce film il est omniprésent. Il occupe toute l'histoire et tout l'écran. Le rythme est pratiquement constant, sans précipitation, avec une lenteur calculée. Il faut dire qu'une rédemption ne se fait pas à la vite dans le stress et la précipitation. Le choix de personnes à sauver se fait avec rigueur, autant avec sa tête qu'avec son humanité. Il y pourtant quinze jours que je l'ai vu et il me reste en tête parce que le sujet abordé n'est ni banal, ni facile et que parfois nous eussions aimé « sauver » au moins une personne qui nous était chère.... Rien de larmoyant, juste de l'émotion.

    - CHANDELEUR -
    C'était décidé et se fut tenu. Nico nous avait invité quelques gentils garçons pour une soirée crêpes. Entre galettes salées et crêpes sucrées, accompagnées de cidre, nous avons passé une très agréable soirée. Evidemment, les mêmes se sont retrouvés en cuisine pendant que les « diva » péroraient au salon ! Mais on aime ça aussi... Clôture au champagne et rentrée vers 2h du mat.

    Et les travaux de Nico ? Les travaux de Nico restent à faire. Je me demande si je vais pas faire appel à la bonne volonté de gays bricoleurs pour finir.

    D'ailleurs y'en a un qu'on peut embaucher tout de suite, non ?
























    mis en ligne : 01h34


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  • Enfin, tout ou presque. Après avoir un peu ramé pour avoir un disque dur pour mon PC (il est pas si vieux, mais passé 4 ans, un portable est quasiment obsolète !), j'ai remis en état la bête. Ca prend un temps fou de tout réinstaller. Mais c'est pas fini. Il faut que je fasse le ménage et ne remettre que des fichiers « utiles ». C'est comme ma cave. Bourrée à bloc et pas encore triée !

    Entre deux, je suis allé au cinéma et ... et ... c'est un comble je ne sais plus ce que j'ai vu. Lady S me rafraîchira la mémoire.

    Visite aussi au Musée d'Orsay :

    Une expo « Masque, de Carpeaux à Picasso ». Quelques pièces superbes mais sans plus.
    Arnold Böcklin (1827-1901) - Bouclier avec le visage de Méduse1897 - Papier maché, peint et doré - H. 61 cm


     

    L'autre était sur les pastels. Là aussi de superbes pastels du 18° siècle et des pastels des impressionnistes étonnants.

    C'est une technique qui me fascine. Ce rendu satiné, velouté, qui attrape la lumière pour mieux vous la rendre dans le sujet est toujours une énigme pour moi.

    William Degouve de Nuncques - Nocturne au Parc Royal de Bruxelles.


    Sinon la reprise au boulot est catastrophique... Pas de commande et rien en vu. Et nous sommes directement liés aux investissements de l'automobile .... Le plan social commencé dans la douleur se termine doucement mais de façon décousue et brouillonne. Conséquence de cet amaigrissement de personnel, nous déménageons vers des locaux moins grands, mais dans le même secteur.
    A propos de maigrir, je ne vous fait pas de dessins....

    Depuis novembre, je prends les transports en commun, où je rencontre des choupinoux que je ne revois que rarement puisque je ne prends pratiquement jamais le même horaire de trains. Ce qui fait qu'un plein d'essence dure presque un mois. Oui, je sais, ma voiture n'est toujours pas vendue. Entre temps, la serrure électrique coté conducteur cafouille à nouveau et toutes les portes se verrouillent quand elles ont le temps. Je ferai la réparation plus tard.

    Bricolage dans ma salle de bains avec montage de paroi de douche. Moi j'avance, contrairement à Nico, qui est toujours en travaux. Je vais d'ailleurs à un crêpe-partie dans 15 jours et je verrai de visu où il en est.

    mis en ligne 02:45


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  • Pour commencer, "Bonne année et Bonne santé" !!!

    C'est la moindre des choses en ce début d'année. En tout cas, j'espère que pour moi, la fin 2008 et le début 2009 n'étaient que des incidents : j'ai cumulé fièvre et mal de bide le 30 et le 31. Le 31 mon PC m'a lâché tout en douceur lentement mais sûrement (le disque dur et un autre truc vu le dernier message). Résigné, je me suis dit que c'était le bon moment pour penser à autre chose. Le 2 janvier, je fais une lessive et je fais chauffer un truc au micro-ondes. Quel rapport, me direz-vous ? Aucun. Si ce n'est que le léger bruit de moissonneuse-batteuse ne venait pas du lave-linge mais du micro-ondes (je pense que le ventilo part en vrille). J'ai arrêté l'engin et j'ai mangé froid !

    Donc j'attends les soldes avec impatience pour renouveler un minimum de matériel. J'avais bien dis que c'est encore Noël ! Mais c'est moi qui porte la hotte pour ma pomme, c'est bizarre, non ?

    Encore à tous de grosse bises et la meilleure année possible pour chacun.


    mis en ligne 23:40

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  • Je suis en vacances et j'en profite ! Je suis en période boulimique culturelle et bouffe. Si lire, aller au ciné ou voir une expo est sans danger ou presque, je vous assure que les marrons glacés, les pates de fruits et autres fantaisies sont redoutables. Et comme chaque année, je ferai la liste - la mini liste - de mes résolutions pour la nouvelle année ! Mais en attendant ...

    - EXPO -
    Jackson Pollock et le chamanisme

    (in site pinacothèque)
    La fascination éprouvée par Pollock pour l'art amérindien et ses rituels, ainsi que leur influence sur son travail n'ont jamais été véritablement étudiées.
    L'exposition se penche sur cette question essentielle. Elle montre l'idée que Pollock se faisait de l'inconscient comme illustration des rituels indiens et du chamanisme. Avec des dessins et tableaux importants puisés dans son travail abstrait et semi abstrait, elle sera la première à illustrer ses images et ses formes en les comparant à l'imagination chamanique, dont on ne connaît pas grand-chose, tout en admettant son existence.

    De Pollock, figure majeure de l'expressionisme abstrait américain, on a souvent en tête ses "dripping". L'expo présentée alterne entre objets amérindiens et tableaux et nous propose une nouvelle lecture, audacieuse et originale de son œuvre.
    L'exposition est déroutante et difficile à "lire" par moments. Mais il faut éviter de vouloir intellectualiser. Se laisser porter par les formes et les couleurs. Laisser son esprit et son œil observer. Un début de compréhension viendra plus tard.

    - CINE -
    Louise Michel
    (in Allocine)
    Quelque part en Picardie, le patron d'une entreprise de cintres vide son usine dans la nuit pour la délocaliser. Le lendemain, les ouvrières se réunissent et mettent le peu d'argent de leurs indemnités dans un projet commun : faire buter le patron par un professionnel.
    Réalisateurs : Gustave Kervern et Benoît Delépine.
    Acteurs : Yolande Moreau (Louise); Bouli Lanners (Michel) et Benoît Poelvoorde

    En prise avec la réalité, ce film traite le sujet avec truculence, outrance, et un décalage qui le rend comique, déjanté, farfelu, cruel. C'est un bon film qui ose, qui vaut la peine d'être vu et qui change du reste des productions.

    - LIVRE -
    L'accroissement mathématique du plaisir
    (sur amazon.fr)
    Présentation de l'éditeur
    Science-fiction, fantastique et fantasy... Catherine Dufour aborde l'ensemble de ces domaines avec un égal bonheur et s'affirme ici comme une nouvelliste de tout premier plan. Au programme : des préfaces signées Richard Comballot et Brian Stableford, vingt récits dont sept inédits, une postface de Catherine Dufour, un entretien, une bibliographie exhaustive. L'Accroissement mathématique du plaisir, qui réunit vingt nouvelles dont "L'Immaculée conception", lauréate du Grand Prix de l'Imaginaire 2008, est son premier recueil.
    L'auteur
    Catherine Dufour est née à Paris en 1966. Le Goût de l'immortalité, son premier roman de science-fiction, paraît en 2005. Succès, tant public que critique: le livre remporte peu ou prou l'ensemble des prix littéraires dédiés au genre - Grand Prix de l'imaginaire, Prix Rosny Aîné, Prix Bob Morane, Grand Prix de la Science-Fiction Française...

    Vingt nouvelles à longueurs variables. Mais dont le ton est différent. L'écriture aussi. Parfois, on se demande si on lit le même auteur. L'écriture est parfaite, construite, y compris quand le texte parait plus familier dans la façon de raconter. Quelques thèmes plongent à la frontière du trash ou de l'horreur, d'autres sont plus légers et certains sont franchement drôles et délirants.
    Livre intéressant à lire et que l'on peut déguster en tranches.

    mis en ligne 23:29


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  • C'est rapide. On a à peine le temps de voir les mecs. On clique sur replay, forcément .....
    PS. Le fichier est un mp4. Si besoin, mettez à jour votre flash-player ou utilisez VLC media player.




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  • Burn after reading

    Osborne Cox, analyste à la CIA, est convoqué au quartier général de l'Agence en Virginie : il est viré. Cox ne prend pas bien la nouvelle et décide de rentrer chez lui à Georgetown pour écrire ses mémoires et noyer ses ennuis dans l'alcool. Sa femme a une liaison avec un marshal branché sexe et jogging. Il y a aussi la coach d'une salle de gym obsédée par sa prochaine opération esthétique et son collègue sympa et à l'intelligence limitée. A cause d'un CD avec des infos secrètes, toutes ces existences vont se télescoper.


    Et là les frères Cohen, réalisateurs, vont imaginer une histoire loufoque, déjantée où le ridicule ne tue pas les acteurs mais nous fait marrer. Une comédie, bien ficelée, avec de l'absurde et de l'humour. Un bon moment.


    Avec : George Clooney ; Brad Pitt ; Frances McDormand ; John Malkovich ; Tilda Swinton ; Richard Jenkins ; Elizabeth Marvel

     
    mis en ligne 23:23


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  • Depuis la dernière fois.
    Rien de spécial. Non pas que je n'ai rien à vous dire, mais mon esprit était ailleurs et un peu de désordre s'y était installé.

    Je continu à mettre de l'ordre dans mes écrits sans véritablement savoir où cela me mènera. Mais entre deux, je continue à suivre les projets de mon cousin. Ladys S est toujours là pour nos virées ciné ou expos.
    Depuis le dernier post j'ai lu, et vu plein de choses. Il faut en profiter quand le temps est incertain et maussade, que les choupinoux ne sont pas à l'horizon et que votre vie professionnelle ressemble à un tas de boue.
      

    - LIVRE -
    Maurice-G Dantec, « Babylon babies », livre de 719 pages

    2013. Un mafieux sibérien collectionneur de missiles. Un officier du GRU corrompu et lecteur de Sun Tzu. Une jeune schizophrène serai-amnésique trimbalant une arme biologique révolutionnaire. Des scientifiques assumant leur rôle d'apprentis sorciers et prêts à transgresser la Loi. Une poignée de soldats perdus à l'autre bout du monde, se battant pour des causes sans espoir. Des sectes post millénaristes à l'assaut des Citadelles du savoir. Des gangs de bikers se livrant à une guerre sans merci à coups de lance-roquettes. De jeunes techno-punks préparant l'Apocalypse. Un écrivain de Science-Fiction à moitié fou prétendant recevoir des messages du futur. N'ayez pas peur.
    (4ème de couv.)

    Entre roman noir et science-fiction, mais on sent bien que l'auteur à des obsessions et des marottes. Il y a quand même des longueurs même si le rythme est présent et que quelques descriptions hard émaillent le récit. Les protagonistes sont bien campés dans une grande saga violente et brutale et dense. Je n'ai pas vu le film qui a été tiré de ce livre et je n'irai pas le voir.
    Le livre ne m'a pas assez emballé outre mesure. L'auteur invente des mots et des notions dont on sent bien qu'il a tenté d'extrapoler - sans convaincre - les dernières avancées de la recherche en général.


    - FILM -
    « Musée haut Musée bas »

    Un conservateur terrorisé par les plantes vertes, une mère plastifiée pour être exposée, un ballet de Saintes Vierges, des gardiens épuisés par Rodin, un ministre perdu dans une exposition de sexes, une voiture disparue au parking Rembrandt, des provinciaux amoureux des Impressionnistes, touristes galopins galopant d'une salle à l'autre, passager clandestin dans l'art premier, Picasso, Gauguin, Warhol, ils sont tous là dans ce petit monde qui ressemble au grand, dans ce musée pas si imaginaire que ça, valsant la comédie humaine jusqu'au burlesque.

    Je pense qu'il est inutile de présenter ce film qui a bénéficié d'une promo intensive.
    J'ai bien aimé ce film, bourré de sous-entendus, et de situations à peine imaginaires.


    - FILM -

    « Le Jour où la Terre s'arrêta »
    Avec Keanu Reeves, Jennifer Connelly, Kathy Bates Plus...
    Remake de « Le Jour où la Terre s'arrêta »

    L'arrivée sur Terre de Klaatu, un extraterrestre d'apparence humaine, provoque de spectaculaires bouleversements. Tandis que les gouvernements et les scientifiques tentent désespérément de percer son mystère, une femme, le docteur Helen Benson, parvient à nouer un contact avec lui et à comprendre le sens de sa mission. Klaatu est là pour sauver la Terre... avec ou sans les humains.
    Comme c'est un remake, on ne va pas en faire une montagne. C'est gentil, sans plus, avec les méchants, les bons, les héroïques, les innocents et tous les rôles tellement convenus qu'on sent bien le happy end. Un bon moment quand même grâce aux acteurs.


    - EXPO -
    Expo au Grand Palais « Emil Nolde »

    Première rétrospective en France consacrée à Emil Nolde (1867-1956), l'un des représentants majeurs de l'expressionnisme allemand. Cette exposition ambitieuse réunit quatre-vingt dix peintures et soixante-dix aquarelles, gravures et dessins.
    L'ensemble est présenté selon un parcours chronologique découpé en douze sections thématiques (La montagne enchantée, Un pays, Années de combat, Tableaux de bibles et légendes, L'oeuvre graphique, Nuits de Berlin, Welt, Heimat, « Phantasien » et « images non peintes », La mer).
    Pour le grand public, ce sera donc une découverte ; pour les connaisseurs, une occasion unique de voir rassemblés des tableaux provenant du monde entier et illustrant la totalité de l'œuvre.

    Jour de moisson (1905)







    Crépuscule (1916)









    Une vraie découverte. L'affiche de l'expo est sombre et c'est dommage, car E. Nolde est aussi un peintre de la couleur. Celle qui claque, qui vous surprend, qui vous donne un plaisir de l'œil avant tout le reste.
    A voir car je ne pense pas que nous aurons autant d'œuvres de cet artiste avant longtemps.


    - EXPO -

    Expo au Petit Palais - La culture zen s'expose au Petit Palais.
    L'exposition « Shôkokuji, Pavillon d'or, Pavillon d'argent. Zen et Art à Kyôto».
    Grâce à 80 œuvres d'art, du XIIe au XVIIIe siècle, sélectionnées parmi les trésors artistiques de trois des plus célèbres temples zen de Kyôto et jamais encore présentées en Europe, cette exposition sera l'occasion pour le public français de découvrir la culture Zen en ses multiples composantes, au-delà des visions occidentales ou parfois réductrices.
    Une caractéristique essentielle du Zen au Japon étant la transmission directe de la Loi (Dharma) de maître à disciple, une première section révèlera les portraits peints ou sculptés des maîtres zen ainsi que des calligraphies zen appelées bokuseki ou « traces d'encre », supports fondamentaux de l'enseignement spirituel.
    Les traditions cultuelles sont représentées par d'imposantes peintures de divinités et figures sacrées datant des XIVe et XVe siècles, accompagnées d'objets rituels d'une grande force esthétique.
    Essentielle à la culture zen, la peinture à l'encre sera présente grâce à des chefs-d'œuvre des maîtres du XVe et du XVIe siècle : Shûbun (XVe), Sesshû Tôyô (XVe), Kanô Motonobu (XVe-XVIe).
    Apparaîtront ainsi les liens étroits entretenus par les moines zen avec la culture savante de leur temps, les poésies et la littérature chinoise notamment.
    L'évolution de la cérémonie du thé sera évoquée par de magnifiques objets ayant appartenu au 8e shôgun Ashikaga Yoshimasa (1436-1490), grand amateur d'art et commanditaire du Pavillon d'Argent, Gingakuji. En complément figureront des œuvres liées aux deux très célèbres maîtres du thé du XVIe et XVIIe siècle : Sen no Rikyû et Genpaku Sôtan. En explosion picturale finale, des peintures des maîtres du XVIIIe siècle - Itô Jakuchû, Maruyama Ôkyô, Ike no Taïga - ouvriront aux mondes du paysage, des fleurs et des animaux réels ou fantastiques.
    Un parcours introductif construit par les photographies contemporaines d'Hiroshi Moritani révélera au public la vie quotidienne des acteurs actuels de la tradition spirituelle zen.


    Exposition très riche et très dense sur une civilisation fascinante.
    Cette exposition reste difficile, même si l'effort d'explication est là.


    - EXPO -

    Expo au Petit Palais - « Kurosawa, dessins »
    Akira Kurosawa, (1910-1998) est universellement connu comme un des cinéastes les plus éminents de la seconde moitié du XXe siècle. Mais connaissez-vous le dessinateur Akira Kurosawa ?
    Grâce à une rétrospective inédite en France, regroupant 87 dessins, conçus pour ses derniers films, le Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, souhaite révéler au public le fabuleux dessinateur qu'il a aussi été.
    Cette exposition révèle une facette méconnue du cinéaste, dessinateur exceptionnel, mettant le trait et la couleur au service d'une force émotionnelle rare. Elle permet au visiteur de parcourir la carrière du maître en cheminant parmi ses dessins, sorte de parcours initiatique, thème cher à Kurosawa.

    Ces dessins ne peuvent se résumer à un travail préparatoire à la réalisation de ses films.
    Conçus comme des œuvres autonomes, ils sont accessibles à tous y compris à ceux qui n'auraient pas la chance d'avoir vu ses films. Synthèse originale des cultures orientales et occidentales, par leur force expressionniste, ces dessins reflètent la personnalité de Kurosawa, son enracinement dans le patrimoine japonais comme son admiration pour l'art de Van Gogh, Cézanne, Chagall ou Rouault et la lecture de Shakespeare, Dostoïevski ou Tolstoï.

    Descendant de samouraïs, Kurosawa est né dans le Japon de l'ère Meiji. C'est indéniablement cette atmosphère particulière et son environnement qui le poussent très tôt à assouvir sa soif pour l'art occidental. Après avoir été tenté par une carrière de peintre, il s'oriente vers le cinéma. Ce n'est qu'en 1978 que Kurosawa recommencera à peindre. Les dessins du film "Kagemusha" (l'ombre du guerrier) l'aideront à trouver les fonds nécessaires à la réalisation de son film qui relancera sa carrière en France. Il recevra d'ailleurs la palme d'or au festival de Cannes et le césar du meilleur film étranger.
    Le grand cinéaste nous a laissé également quelques clefs pour décrypter les étapes d'un processus créatif complexe : « Il y a une multitude de choses auxquelles je pense lorsque je dessine des story-boards. Le cadrage de l'endroit, la psychologie et les émotions des personnages, leurs mouvements, l'angle de camera nécessité par la capture de ces mouvements, l'éclairage, le costume et les accessoires [...] Si je n'ai pas pensé aux spécificités de toutes ces choses, je ne peux pas dessiner l'image »

    Découverte d'un artiste dans ces différentes facettes. J'ai beaucoup aimé. Cette façon de voir le monde (ses films) en dessinant et en peignant est fascinante. Et puis ce mélange des influences occidentales et orientales qui rend ses œuvres universelles.
    A voir sans retenue.


    - EXPO -

    Expo au musée Jacquemart-André : « Van Dyck ».

    L'expo retrace les grandes étapes de la carrière d'Antoon Van Dyck (1599-1641) à travers un genre où il excella : l'art du portrait. En rassemblant les toiles les plus marquantes des grands musées européens et américains, cette exposition met à l'honneur un peintre auquel les musées français n'ont jamais consacré d'exposition à caractère monographique.
    Elève de Rubens et inspiré par l'école italienne, il met au point son propre style à mi-chemin entre l'héritage de son maître et le modèle du Titien. Brillant portraitiste de Cour, il peint les membres de la famille royale d'Angleterre et tout particulièrement le roi Charles Ier. Cette expressivité mélancolique et élégante séduit l'aristocratie anglaise et nous offre une superbe galerie des grandes figures de l'Europe de son temps et plus particulièrement de l'Angleterre des Stuart
    .


    Van Dyck - Portraits des princes palatins : Charles-Louis Ier, électeur, et son frère Robert.

    Ce sont les deux seuls choupinoux de l'expo ! Le tableau présenté est beaucoup plus beau que cette piètre reproduction. A voir si on aime ce genre de peinture élaborée et soucieuse de donner bonne figure aux sujets. Malheureusement, les pièces où sont présentées les œuvres sont petites et vu la foule, il est quasiment impossible de prendre de la distance pour admirer un tableau.
    On peut tout même visiter le reste du musée qui présente de très belles collections.


    - EXPO -
    Expo au Grand Palais - « De Miró à Warhol. »
    La Collection BERARDO à Paris
    « Un musée d'art contemporain digne des plus grandes capitales européennes a ouvert ses portes au Centre Culturel de Belém, à Lisbonne. (...) La collection, qui peut rivaliser avec celles de la Tate Modern de Londres ou du Centre Pompidou à Paris, est la première du genre au Portugal.» Le Monde, 31 juillet 2007.  « Au-delà du Guggenheim» The Independent, 22 août 1998.
    José Berardo est l'un des plus importants entrepreneurs portugais. Animé par son désir de la partager avec le public, il signe, il y a deux ans, un partenariat avec l'État portugais. Sa collection riche de 862 œuvres, permet de « faire l'expérience du XXe siècle » selon ses propres mots.
    Plus de soixante-dix œuvres présentées au Musée du Luxembourg s'articuleront autour de quatre thèmes : le surréalisme (Miró, Dali, Ernst, Breton...), l'un des axes majeurs de la collection pour la période l'avant-seconde guerre mondiale, l'abstraction de 1910 à l'immédiat après-guerre (Mondrian, Tanguy, Arp...), la confrontation Europe-Amérique des années 1960 avec le Nouveau réalisme et le Pop Art (Warhol, Klein, Soulages, Mitchell...) et la création post-1970 (Schnabel, Stella...).

    Ca vaut le coup ! J'ai regretté qu'il n'y ai pas plus d'œuvres présentées, mais l'espace est vaste et il y avait peu de monde ce jour là, alors se promener dans la peinture du XX° siècle fut un vrai plaisir. Sauf que je n'aime toujours pas Soulages : il me fout le bourdon !


    mis en ligne à 17h30


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  • Trois jours de week-end ... C'est bien surtout avec ce foutu temps. Pas vraiment envie de sortir de chez soi. J'ai fait des grasses matinées vraiment longues. Même pas honte ! Rangement de papiers importants. De ceux que l'on doit garder des années et des années. J'ai bien pensé à faire du numérique, mais c'est pas bon pour tout. Certains organismes veulent voir des originaux papiers, comme ma mutuelle qui veut avoir les originaux sécu. Faut dire qu'avec les outils informatiques d'aujourd'hui il est facile de « fabriquer » et de modifier ce que l'on veut. Donc le bon vieux tri s'est imposé.

    Trois jours... en me laissant vivre. Samedi, anniversaire de ma nièce. Seize printemps c'est pas rien. Et comme elle refait (avec ses parents) toute la déco de sa chambre, elle a un «Bon» pour acheter ce qu'elle veut. Je me suis aperçu après coup que je n'avais précisé aucun plafond pour le cadeau : c'est un truc à se faire ruiner ! Tant pis, on n'a pas seize ans tous les jours.

    Je viens de faire le compte de mes RTT. Il en reste un peu trop. Du coup, je vais faire quelques semaines de 4 jours pour les liquider.

    Mardi au boulot. Avec un début de déménagement dans la suite de notre réorganisation. J'aurais pas du dire au boss que j'allais revoir l'archivage du 1er sous-sol. C'est poussiéreux et sombre. Mais il faut bien que quelqu'un s'y colle.

    mise en ligne 01:34


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  • Je suis quand même rentré de vacances... il y a 10 jours !

    J'ai retrouvé le monde aussi fou qu'en partant. Finalement, pour mon genou au ménisque en vrac, c'est stand-by. J'ai autant d'avis pour et contre l'intervention. Quand les hommes de l'art seront ok, je suivrai.

    Le bureau se réorganise dans la douleur pour certains et dans l'espoir pour d'autres. Mon cousin - avec son projet de sculpture géante - est toujours sur les dents. Il a hâte de partir et on se voit beaucoup en ce moment. Miss M, son ex, est revenue de Londres pour l'assister. L'ambiance est studieuse, mais leurs décalages de vie, lever à midi et coucher à 3h du mat n'est plus mon rythme. Moi je rentre avant minuit, ou presque.
    Lady S vadrouille beaucoup en ce moment mais nous avons eu le temps de déjeuner, puis d'aller chez « Angelina » pour déguster son fameux chocolat chaud et son Mont-Blanc à la crème de marron. Le soir j'étais à la soupe de légumes et Lady S est rentrée chez elle avec une crise de foie ! Faut se calmer sur les nourritures riches qui deviennent indigestes si on en abuse.

    Coté voiture, réparation dès mon retour. Mais la facture est salée, et il faut que je recontacte mon acheteur potentiel pour savoir si c'est oui ou non.

    Nico m'a envoyé une carte postale de Thaïlande « le pays des temples et des choupinoux ». Sur la carte y'avait des temples...et des temples. Têtu a fait une couverture de choupinou thaï... et pas des temples !

    Mis en ligne 12h30


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  • Déjà presque 3 semaines de vacances passées avec un soleil toujours radieux ...et aujourd'hui une brume gris sale, accompagnée de pluie fine entrainée par des petites rafales de vent ! La douce température, légèrement fraiche et tonique du matin a disparue, la tenue légère n'est plus de mise. Avec le soleil, je n'ai pas eu envie de lire 4 ou 5 bouquins comme d'habitude. J'ai retrouvé des textes, des essais d'écriture. J'ai replongé dedans. Certains ont 6ans. Le temps passe super vite, je trouve. Comme toujours, les textes démarrent bien et après, le manque d'inspiration ou la paresse intellectuelle s'en mêle et je ne sais plus quoi écrire. Ou bien le maquis des mots et des idées prend le dessus et les incohérences et les incompréhensions deviennent une forme bizarre de pensée inextricable... Je persévère encore un peu, mais il faut que je mette de l'ordre dans mes idées.

    Avant-hier, aperçu un voisin choupinou ultra pressé, mais pas revu depuis ce post. Pas encore de nouvelles de mon boulot pour savoir si on saborde le navire ou si on continu dans un canot de sauvetage. Et on sait par expérience que ce genre d'embarcation ne dure pas très longtemps.

    Coq à l'âne ....

    Je viens de me souvenir qu'il y avait un plan de fête costumée avant mon départ. Mais comme Seb est un inconstant et ses plans souvent un peu foireux, il n'y a pas eu de fête costumée ! Dommage car je voulais m'habiller en romain, cheveux bouclées, tuniques courtes à mi-cuisses, sandales légères. La tenue parfaite pour s'habiller rapidement et se déshabiller encore plus vite ! (soupir). Tant pis, ce sera pour une autre fois. J'avais trouvé aussi le romain qui allait avec la tenue mais il n'avait pas affiché son prix.

    Coq à l'âne (bis)....
    Je sais que le temps est pas terrible ailleurs et que le monde patauge en plein marasme. Mais comme je ne prends aucune nouvelles ni infos, ce qui est certainement un tort, je me laisse vivre. Tout au plus je jette un œil distrait sur les manchettes des journaux installés sur le tourniquet rouillé de la libraire. C'est d'ailleurs une règle suivie quand je suis en vacances : pas d'infos. Est-ce bien raisonnable ? C'est un autre débat.

    Je viens de retrouver ce mail par hasard, bizarre... pas de quoi remonter le moral, mais c'est pas le but !

    (Date de 2003)
    LE MONDE ET TOI

    Si nous comparons l'humanité entière à un village de 100 habitants et si nous tenons compte de tous les peuples existants, ce village serait composé de:

    57 Asiatiques
    21 Européens
    14 Américains (Nord et sud)
    8 Africains
    52 seraient des femmes
    48 seraient des hommes
    70 ne seraient pas des blancs
    30 seraient des Blancs
    70 non-chrétiens
    30 Chrétiens
    89 hétérosexuels
    10 homosexuels
    6 Personnes posséderaient 59% de la richesse mondiale totale
    6 Personnes viendraient des USA
    80 n'auraient pas de logement
    70 seraient analphabètes
    50 seraient dépendants de quelqu'un
    1 mourrait
    2 seraient mis au monde
    1 auraient un PC
    1 serait diplômé

    Si on voit le monde de cette manière, il devient clair que la compréhension, l'acceptation et les études sont nécessaires.
    Si tu t'es réveillé ce matin et que tu n'es pas malade, tu es plus heureux que 1 million de personnes, qui vont mourir dans les prochains jours.
    Si tu n'as jamais vécu de guerre, la solitude, la souffrance des blessés ou la faim, alors tu es plus heureux que 500 millions de personnes au monde.
    Si tu peux aller à l'église, sans la crainte qu'on te menace, qu'on t'arrête ou qu'on te tue, tu es plus heureux que 3 Milliards de personnes au monde.
    Si il se trouve à manger dans ton frigo, que tu es habillé, que tu as un toit et un lit, tu es plus riche que 75% des habitants de ce monde.
    Si tu as un compte à la banque, un peu d'argent dans ton portefeuille ou un peu de Monnaie dans une petite boîte, tu fais parti des 8% personnes les plus riches au monde.
    Si tu lis, cette information tu es doublement béni car :
    1. Quelqu'un a pensé à toi
    2. Tu ne fais pas partie des 2 milliards de personnes qui ne savent pas lire
    Et... Tu as un PC!

    C'est la semaine internationale de l'amitié.
    Envoie Ce Mail à tous tes amis et autres personnes importantes pour toi. Si tu ne le renvoies pas, il ne se passera absolument rien! Par contre, si tu le renvoies, tu décrocheras peut-être un sourire à quelqu'un.

    A bientôt.

    mise en ligne 23h30


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  • Enfin en vacances. Vu le bazar intégral au boulot avec leur restructuration, il vaut mieux que je sois loin de tout ça. Quatre semaines, c’est pas du luxe. Mais qui bossait pendant que les autres se baladaient au soleil en matant des choupinoux, hein ? Je sais bien qu’en ce moment le temps est variable et que les journées raccourcissent, mais pour moi c’est la meilleure période pour décompresser et se recharger à bloc.

    J’espère qu’on va pas profiter de mon absence pour me virer... Ils seraient bien capable de me faire la surprise en rentrant. D’autant qu’une galère m’attends à l’arrivée. Le soir de mon départ, ma voiture n’a rien voulu savoir. La panne complète et je l’ai laissé sur le parking de la boite. En rentrant, non seulement je prendrai le train et tout et tout pour aller bosser, mais ce qui m’empoisonne le plus ça va être de gérer ce dépannage à 25 km de chez moi.
    En attendant, je vais faire un vrai break...
    A bientôt.

    mis en ligne 22h30


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  • Vous souvenez-vous que je l'avais sous plusieurs angles ?

    Et maintenant, essayer de savoir qui il dévore des yeux ?

    C'est pas moi, j'étais pas là. Mais vous, où étiez vous ?

    Bon week-end.



    mis en ligne 17:05

     

     


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  • Rien écrit depuis longtemps...

    Depuis le dernier post, il y a eu mon anniversaire, quelques sorties, des lectures, un rhume, un épisode allergique, en bref une activité banale. Même la restructuration au boulot devient banale et pourtant ça ne se passe pas très en douceur.

    Pour moi, c'est la fin de l'année. Je pars en vacances dans 10 jours. Et j'en ai vraiment besoin. Je suis crevé. Cette année fût difficile et stressante. Un mois au vert et au repos absolu est devenu au fil des années un moment très attendu.

    Encore quelques trucs à régler avant le départ et ce sera parfait.

    mis en ligne 13:45


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  • La semaine qui est passée était chargée, presque trop. Rentrée à 20 h pratiquement tous les jours. En plus j'ai eu 2 soirées de travail avec mon cousin et rentré chez moi à 1h du mat. Le week-end a été sur le même rythme. Couché à 2h du mat vendredi et lever 8h samedi ! Plein de choses à faire : prendre du cash, retirer des affaires du pressing, filer à la librairie, racheter mon eau de toilette, puis déjeuné. Travail sur le dossier de mon cousin, coucou rapide à un vieux pote en fin d'après midi. Lessive et courses. Et vers 9h du soir, on file visiter le studio photo-vidéo d'un ami de mon cousin. On n'était pas les seuls. Et dans un brouhaha de conversations on a visité et exploré le lieu qui était un ancien cinéma il y a fort longtemps. Diner tard. Debout ou assis, verre de vin en main. Buffet chaud de nourritures indiennes et rentrée tardive.

    Dimanche : rien, nada, que dalle, que tchi,.... etc. enfin presque puisque je vous écris ce mot.

    Tom écrit longuement qu'il veux me voir. Il sera en France en novembre. C'est drôle : tout d'un coup j'ai vraiment envie de le voir, de discuter à la terrasse d'un café, de rire de n'importe quoi, de me souvenir des temps plus lointains où nous étions ensemble... Ne nous emballons pas. Les souvenirs aussi doux soient-ils, restent des souvenirs. Et puis la grande affection que je lui porte n'est plus de l'amour. Simplement une amitié sans limite. Attendons. D'ici qu'il décale sa venue, y'a pas loin et il en a prit un peu l'habitude ces dernières années. Je vais maintenant répondre à son mail. 

    PS2. Reçu une carte postale d'Avignon. Lady S était en vadrouille.

    mis en ligne 19:42 


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  • La pêche de vigne avec sa chair rouge, presque sanguine, est mon régal en cette saison. Cela n'arrive qu'une fois par an, dure peu de temps, n'est pas bon marché, mais c'est un vrai bonheur et ce sont les seules pêches que je mange dans l'année.

    Pour le diner d'anniversaire de ma frangine la semaine dernière, je m'étais proposé de m'occuper de l'entrée. Un tartare de saumon me semblait sympa. Je demande sa recette à Lady S par mail. Et puis je me sauve du bureau et j'oublie la recette ! Je l'avais lu, mais par précaution, je vais sur le net pour retrouver les proportions. Et là je découvre une recette simple bien sûr, mais où le marmiton ajoute de la sauce soja japonaise. C'est délicieux et parfaitement adapté au tartare de saumon.

    A part ça mon genou me fait des misères. Le mois d'août n'est pas le mieux pour se faire soigner ou avoir un avis qui tienne la route. Et mon cousin doit finalement revoir un chirurgien. En attendant, il s'est lancé dans un projet de Land-art dans plusieurs pays. Et il me sollicite beaucoup pour formaliser son projet. En fait je suis un super assistant-secrétaire. Mais je ne m'en plains pas. C'était déjà le cas il y quelque temps. Nous ne faisons que retrouver nos habitudes et notre complicité en attendant qu'il reparte.

    Mon activité au bureau est tellement light certain jour, que j'ai pu tranquillement écrire ou reprendre des textes. C'est amusant de redécouvrir certains écrits. On passe du sympa au vraiment bien pour tomber sur le nul à chier ou le truc délirant qui ne veux rien dire. Et il faut faire un tri sans concession ! En fait, on devrait... !

    mis en ligne 11:50 


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