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    beau-tenebreux

    mise en ligne 01:30
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  • theatre Mors moi...« Mords-moi sans hésitation » (Vampires Suck)

    Synopsis : Mords-moi ... est une parodie mordante et saignante de tous les films pour ados que l’on a pu voir sur les écrans ces dernières années, un hilarant jeu de massacre qui n’épargne ni les amours adolescentes ni les angoisses des jeunes. Film avec plein de références annexes au paysage télévisuel.
    Réalisé par Jason Friedberg, Aaron Seltzer avec Jenn Proske, Matt Lanter, Ken Jeong, plus

     

    mise en ligne 23:55


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  • Déjeuner avec Mister Lô. Après un mini apéritif chez lui, direction un restau sans prétention. Le temps de bavarder, de décider que manger, il était 14h. Puis plus tard, nous sommes sortis dans le froid à presque 4h1/2 ! Et on déjeunera aussi la semaine prochaine, car le monsieur déménage. Il part de la capitale pour aller se poser à 55 km de là. J'ai l'impression qu'il angoisse un peu de passer de l'agitation urbaine à la relative tranquillité de son nouveau coin. D'accord, c'est une maison dans les bois (ou presque) au lieu d'un appart, qu'il y sera avec son mec, qu'ils ont des travaux à faire, qu'ils doivent en faire un nid douillet, mais tout de même, c'est un changement un peu radical, il me semble. A suivre...

    Surprise de mon choupinou-banquier. Message sur mon portable. Il faudrait que je passe le voir pour signer un papier qu'on a oublié la dernière fois. Donc demain je fonce à la banque, avec plaisir pour une fois.

    mise en ligne 18:03
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  • Après mon déjeuner simple et sympa, je suis rentré pour tomber sur ma jeune nièce qui lance « ah, j'avais oublié, on va au ciné à la séance de 19h ! ». J'attends la suite pour savoir quel film, sachant que c'est Harry Potter 7. J'ai suivi. La grande salle était bien remplie. Majorité d'ados et de grands ados, voire quelques quadras. La moyenne d'âge devait tourner autour de 20 ans. C'est vrai que cette saga dure depuis plus de dix ans si on compte les livres et les films qui suivent à chaque fois et que ces jeunes ont grandi avec leurs héros. Et ces ados étaient venus en petites bandes agitées, nerveuses et impatientes de profiter de leurs héros. 2h30 plus tard nous sommes sortis du ciné. La suite (et fin) sera en juillet.

    Petite escale pour une collation rapide chez Exki puis direction le métro. Rentrée dans le froid. J'ai hâte de faire la marmotte au lit...

    Ah oui, le film... Du H.P. pur jus, parfaitement réalisé, effets spéciaux compris

    mise en ligne 23:20
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  • Retour à mon ancien boulot. Encore deux petits déjeuners de départs sur le coup de 9h00. Il a a fallu que je me lève aux aurores et que je me propulse dans les transports avec un froid polaire en attendant le tram, puis le rer. Tout c'est bien passé, les café et autres breuvages chauds accompagnés de mini viennoiserie ont poussé certains à la gloutonnerie. Fallacieux prétexte pour prendre des calories à cause des grands froids de la grande banlieue. Ah, les goinfres. On a bien rigolé. Et puis l'heure de midi approchant, mes anciens collègues m'ont embarqués au self. Les vieilles habitudes reviennent vite. J'avais juste l'impression d'être simplement revenu de trois semaines de vacances. Je suis reparti vers 14h pour arriver chez moi une heure plus tard, le nez gelé et une envie de pis*** grandiose ! Mais tout n'est pas fini. Pour le pot de fin d'année, à mi-décembre, je suis encore de la fête. Et puis là je pense que ce sera le dernière fois au moins pour les six ou huit mois à venir.

    Mon calendrier commence à se remplir. Mercredi, déjeuner en ville avec mon ancien prof d'anglais. Jeudi, dentiste dans l'après-midi. Vendredi midi, déjeuner avec Mister Lô avec qui nous avons échangés au moins dix sms pour se mettre d'accord sur le jour, l'heure et le lieu.

    Ça me fait super plaisir de le revoir. J'ai plein de choses à lui raconter. Il ne lit pas mon blog car je crois que j'ai oublié de lui donner le lien !

    A propos de déjeuner ou diner, faut que j'écrive à Nicoboy. Nous avions lancés l'idée. A relancer maintenant, mais si près des fêtes, est-ce bien raisonnable ….

    Mais ne croyez pas que je ne pense qu'à sortir pour bâfrer. Entre deux, avant ou après, je vaque aux nécessaires occupations de la vie courante.

    mise en ligne 23:55
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  • - Tu veux quoi pour Noël ?

    - Heuu.... faut voir...

    - Tu as besoin de quelque chose ou tu as envie de quelque chose ?

    Discours subtil, non ? J'ai pas vraiment saisi la nuance, sauf qu'avoir un lot de boxer homme et de chaussettes, c'est moins jouissif que d'avoir une caméra HD. Enfin , je crois...

    Quand je pense que tout le monde s'excite déjà pour les vitrines de Noël. Ça me prend la tête aussi. J'offre quoi et à qui. Quand je pose la question, personne ne me répond. Et j'en ai marre de courir au dernier moment et d'acheter des conneries un peu en catastrophe. Donc je décide de commencer cette semaine mon enquête pour le jeu du « qui veut quoi ». J'ai bien deux ou trois idées, mais je suis méfiant et je préfère me renseigner un peu avant.

    mise en ligne 00:58
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    mec-BELLO-11-7576

    mise en ligne 04:25
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  • ...pour l'instant. Et pour cause, hier mon gentil dentiste a bien essayer de la sauver, mais il a fallu en arracher deux. La première dent ayant sauvagement pollué la deuxième. J'ai la gencive douloureuse. Voilà ce que c'est d'être un tantinet négligeant avec ses crocs. Cela n'entame en rien mon sourire de star, puisque les absentes sont au fond de la bouche. Maintenant va falloir faire la suite et cette fois, c'est pas à la mâchoire que ça va être douloureux mais à mes finances...

    A part cet épisode, la neige arrive et je n'ai qu'une envie : rester au chaud et me mettre en mode marmotte.

    mise en ligne 17:31
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  • Je pensais en toute innocence qu'un après-midi en semaine serait idéal pour aller à la Sécu refaire ma carte V, la mienne commençant à se dépouiller sérieusement. C'est l'horreur. Une trentaine de personnes léthargiques comatent dans un pièce avec au moins 25°C. Et puis, entre le troisième âge pas en forme et les femmes enceintes jusqu'aux dents, j'ai pas résisté. J'ai fais un demi-tour et je suis reparti. Dans la foulée, je me suis dit qu'un tour à la Mairie pour refaire mon permis de conduire pouvait s'envisager. Déjà à l'accueil c'était le bordel, mais il y avait du spectacle. Un mec – pas mal – tentait d'expliquer à grands renforts de gestes et de mimiques – je suis folle, mais ça se voit si peu – un truc à une dame qui visiblement ne comprenait pas tout. J'ai attendu patiemment et quand mon tour est arrivé, le mec est parti en pause en se tortillant du cul et j'ai récolté les infos et les imprimés d'une nana morose et abattue. De toute façon, vu le monde qu'il y avait aux guichets, je crois que je vais tout faire par courrier.

    Cela faisait longtemps que je n'avais pas fréquenté notre belle administration, mais je crois que la prochaine fois … je ne sais pas si il y aura de prochaine fois. A la mairie, peut-être … ?

    mise en ligne 17:10
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  • Le lundi, y' a pas un chat dans les salles, surtout aux séances du matin et du milieu de l'après-midi. Le peu de spectateurs présents doit friser une moyenne d'âge de 70 ans…

    « Potiche »

    potiche En 1977, dans une province de la bourgeoisie française, Suzanne Pujol est l’épouse popote et soumise d’un riche industriel Robert Pujol. Il dirige son usine de parapluies d’une main de fer et s’avère aussi désagréable et despote avec ses ouvriers qu’avec ses enfants et sa femme, qu’il prend pour une potiche. À la suite d’une grève et d’une séquestration de son mari, Suzanne se retrouve à la direction de l’usine et se révèle à la surprise générale une femme de tête et d’action. Mais lorsque Robert rentre d’une cure de repos en pleine forme, tout se complique…

    Réalisé par François Ozon avec Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, Fabrice Luchini, Karin Viard, Jérémie Renier, Judith Godrèche, Evelyne Dandry, Elodie Frégé, Sergi López, Bruno Lochet. (in allocine)

    Années 70 bien restituées en ambiances et en décors. Les personnages sont bien campés et jouent leurs rôles sans fausse note. Cela reste une gentille comédie, sympa et bien ficelée.


    « Red »

    red L'heure de la retraite a sonné ! Mais dans certaines professions, la transition peut s'avérer difficile : Franck ne supporte pas l'inactivité, son collègue Joe végète en maison de retraite, Marvin use d'amphétamines et Victoria fait des petits boulots. Pas facile de décrocher quand on a été... agents de la CIA toute sa vie ! Pourtant, quand leur ancien employeur décide d'éliminer pour de bon ces agents un peu trop compromettants, il va découvrir qu'en dépit de leur âge, ce sont encore de redoutables adversaires.

    Réalisé par Robert Schwentke avec Bruce Willis, Morgan Freeman, Helen Mirren, Mary-Louise Parker, John Malkovich, Ernest Borgnine, Richard Dreyfuss, Julian McMahon, Brian Cox, Karl Urban. (in allocine)

    Avec ces acteurs là, on a forcément un film d'action déjanté sur une histoire tordue avec des papy fondus dans une action qui ne s'essouffle jamais. Un très bon moment divertissant.

    mise en ligne 19:11
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  • Journée ciné avec Lady S. Films à voir avant qu'ils ne soient plus à l'écran (je vous dirai lesquels plus tard).

    Mais en attendant et pour vous faire patienter, je vous propose un petit voyage à Cuba.

    De très beaux mecs vous y attendent, tout seul, à deux, à plusieurs, mis en scène par le photographe Kevin Slack. (http://www.snappedshots.com/index.php)
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    Kevin-Slack-Photo-extrait

    Kevin Slack Photography is the online portfolio site of Kevin Slack featuring Cuba travel photography, Cuban landscapes, portraits, and streetlife.

    mise en ligne 01:20
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    choupi-29138339

    (beau mâle)

    mise en ligne 01:00
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  • Faire quelques courses à Monop' vers 21h est plus facile vu le petit nombre de clients. Je comptais n'y passer qu'un court moment, mais je suis tombé sur une ancienne connaissance. De mon passé de noctambule. Il a changé en moins bien à mon sens. Il avait une bonne gueule mais là, sans cheveux, avec un bouc ridicule et de bonnes joues, c'est autre chose. Moi aussi j'ai changé. Ce qui est resté c'est son débit de paroles. Ça j'avais oublié. En l'espace d'une demi-heure, il m'a posé trois questions, n'a pas attendu la fin des réponses et m'a abreuvé de sa propre histoire. J'étais saoulé. Pourtant, il me semblait que quand je fréquentais son lit il ne parlait pas tant que ça ...Ou alors je ne devais pas le laisser parler … Nous n'avons pas pris rendez-vous pour un nouveau bavardage, le monsieur n'est plus véritablement dans le quartier, si j'ai bien compris.
    Du coup, après un bisou d'adieu, j'ai fini mes courses en oubliant le sel et le sopalin.

    Je me suis consolé de cet intermède en regardant à la tv un documentaire sur la fabrication et la production de la saga Star Wars, avec un Harisson Ford tout jeune et tout mimi.

    mise en ligne 23:00
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  • anniv18m C'est pas moi qui le dit, mais ma nièce. Ouf ! Faut dire que cuisiner pour cinq personnes une volaille aux fruits avec deux feux et un four nécessite une certaine maitrise dans l'enchainement des cuissons et des préparations. Entrée : sushis tout spécialement pris chez Kaiten, et dessert au chocolat de chez Hermé. C'est là que je me suis dit qu'il me fallait une rallonge coulissante sous mon petit plan de travail. Cela évite d'ouvrir un tiroir, d'y poser une assiette avec de fines tranches d'oranges, puis refermer le tiroir pour atteindre le placard dessous et me dire, « m*rde, elle est où l'orange ? » Forcément, plus c'est petit et plus on pose les choses n'importe où. Diner apprécié et jubilation pour les cadeaux des 18 ans.

    La petite fête s'est terminée bien après minuit. Faut dire que tout le monde travaille le lendemain ! Et moi je me suis mis à tout ranger, et du coup 2h après j'étais out ! Et au lit.

    mise en ligne 19:27
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  • Demain soir diner d'anniv' pour ma nièce avec ses parents. Donc, courses en fin d'après-midi. Plat de résistance : cannette aux fruits . Sauf que je suis capable au dernier moment de l'accompagner avec autre chose que des fruits. Direction le volailler. Vous avez remarqué que jusque là tout va bien.

    Et maintenant chez le volailler. Je ne sais pas ce que la « volaillère »avait ou n'avait pas dans le croupion, mais elle voulait absolument me vendre un canard et pas une cannette. Ses deux canards exposés en rayon n'avaient pas une mauvaise mine, mais je voulais une cannette.

    P'tain, quelle chèvre cette volaillère, il a fallu que j'insiste sèchement pour avoir une cannette. Elle a fini par céder et m'a apporté après un moment d'attente, le volatile souhaité. Le commis choupinou m'ayant dit en douce que les volailles n'étant pas toutes déballées à cette heure, j'ai compris pourquoi on voulait me refiler les canards !

    Question : pourquoi faut-il se battre pied à pied pour un truc pareil ?

    La prochaine fois, je fonce sur le choupinou et je me débrouille avec lui, na !

    mise en ligne 23:04
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  • tu n'évoques jamais les événements de la société comme la politique ? "

    C'est en ces termes qu'un proche m'a posé cette question. A y réfléchir, il est vrai que je parle de moi, de mon cercle immédiat de connaissances, de ma vie et il est rare que j'aille plus loin.

    Et pourtant la politique comme l'économie sont non seulement des sujets que je n'ignorent pas, mais tout au contraire qui m'ont passionnés pendant longtemps, tout autant également que la science ou l'histoire de la pensée.

    Aujourd'hui, tous ces grands sujets et quelques autres n'accrochent plus mon esprit que de manière occasionnelle. Sur des sujets plus spécifiques. En des périodes courtes. Je suis moins glouton. Je n'en comprends pas moins ni mieux le monde qui nous entoure, mais j'ai un problème de posture : doit-on être sérieux ? prendre les sujets avec légèreté ou avec cynisme, s'en foutre royalement ou intervenir dans le débat ? Je continue à avoir des emportements et de saines colères intellectuelles, mais je suis plus distancié avec le monde. Mon imaginaire continue à me soutenir dans mes nombreuses réflexions, sans pour autant oublier les réalités.

    Donc, je n'ai aucun avis sur ce nouveau gouvernement. Et surtout je ne donnerai aucun avis ici. Ni le lieu, ni le moment, ni le temps. Car c'est fou le nombre d'avis, avec des mélanges de genres, que tout un chacun exprime ici et là sur le net. Et puis je finirai par une pirouette : avec cinq personnes vous risquez d'avoir six avis différents. Ainsi vont nos contemporains.

    mise en ligne 02:35
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  • Faiblesse de croire qu'en m'endormant vers 2h ou 3h du mat, je peux me réveiller avant 10h sans être dans le gaz. Absurde. Six heures de sommeil peuvent me suffire largement si je m'endors vers minuit. Sinon je suis une loque. Du coup aujourd'hui j'ai trainé jusqu'à midi. Lamentable comme rythme.

    Faiblesse d'avoir lancé, sans réfléchir, une invitation à diner à ma nièce pour son anniversaire. Du coup j'accélère mes rangements, mes poubelles de papiers et vieilles revues, des escamotages de choses que je devais trier plus tard et qui ne devraient plus trainer ça et là. Comme l'invitation aura lieu chez moi, faut faire les courses et préparer un diner pour cinq personnes pour mercredi.

    Faiblesse de penser que le temps est élastique et que les journées peuvent durer 36h pour pouvoir tout faire.

    Faiblesse de croire que l'amour de ma vie m'attends et que je ne le sais pas.

    Faiblesse de croire à plein de conneries et d'absurdités, de contes et de légendes.

    Stop.

    Faiblesse du lundi ne doit pas aller à vendredi .(vieux diction improbable et inconnu.)

    mise en ligne 22:36
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  • Encore un choupinou endormi ....

    sleeping-in

     

    mise en ligne 02:11
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  • Hier j'ai dit « mon banquier. Un jeune choupinou de 1m90 et tout mince, trop mince. ». J'avais gardé un souvenir moins fidèle que prévu. D'abord, il fait plutôt 1m85. Il est mince et bien foutu. Et puis j'avais oublié (ou pas vu la première fois) son sourire. Fuc*, avec ses yeux bleus, c'est à se damner.

    Du coup on est resté 1h30 à faire le tour de mes comptes et des simulations. J'étais le seul rendez-vous jusqu'à 16h. C'était très agréable. Mais le client suivant est arrivé, à l'heure. Nous nous sommes chaleureusement serrés la main. J'avais presque envie de lui faire la bise. On se revoit avant son départ vers mars 2011. Et oui, ça tourne vite dans les banques.

    mise en ligne 21:25
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  • Et oui, un peu mou. Je me suis pris une petite pluie fine en revenant de la poste sur le coup de midi. Et j'ai failli m'endormir en regardant une vidéo. Lamentable. Et maintenant, je suis en train de faire un lapin à la moutarde, pour demain soir. Ça sent super bon dans la maison. Mais j'ai bien peur de dormir avec cette odeur qui flotte dans l'appart. Et ça c'est pas top.

    Demain rendez-vous avec mon banquier. Un jeune choupinou de 1m90 et tout mince, trop mince. Il a des yeux superbement bleus. Mais il n'a que ça. Ben quoi, je fais le difficile. Il est si jeune que j'aurai l'impression de sortir avec un ado. Je sais même pas si il est gay ou prêt à être embarqué dans une folle relation ! Ne rêvons pas. D'abord régler les sous et après le plaisir.

    mise en ligne 19h38
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  • Vous êtes-vous risqué, au moins une fois, dans une salle de concert de musique classique ?

    Je suis sûr d'y être rentré une fois quand j'étais très jeune. Mais qu'ai-je entendu ? Ma mémoire me fait défaut.

    En tout cas aujourd'hui, j'ai envie de renouer avec certains morceaux du répertoire classique, non pas le casque sur les oreilles, mais avec mon corps tout entier, tous mes sens en éveil, dans une salle. Enveloppé par la musique, transporté, déchiré, balloté et ré-assemblé dans cette même musique...

    Pour l'avoir écouté dans le temps passé, j'ai en tête ce Concerto n°1 de Piotr Ilitch Tchaïkovsky. Le premier mouvement, redoutable de précision, dans ce dialogue au micron près entre le piano et l'orchestre. Un micro battement de trop ou de moins et la magie est foutue. Doux, fort, enflammé, tendre et violent, sombre et inspiré. La palette émotionnelle redécouverte à chaque écoute. Un détail par-ci, un souffle par là, un battement ici. Toujours quelque chose à découvrir...

    Les bons enregistrements existent. Mais ce soir je ne peux vous donner qu'une vidéo dont le son n'est pas forcément le meilleur. Mais juste pour découvrir ou redécouvrir la musique de ce compositeur fabuleux que j'aime tant.

    Choix difficile quant à la version.Ce sont tous de très grands interprètes.

    1979 : au piano Emil Gilels à New York et dirigé par Zubin Mehta.
    1982 : au piano Cécile Licad avec le Chicago Symphony Orchestra dirigé par Sir Georg Solti.
    2001 : au piano Martha Argerich à Beppu au Japon et dirigé par Antonio Pappano.

    J'ai choisi 1982.

    mise en ligne 20:25


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  • En lisant le post « CQFD » (1) de Blogisbeautiful, j'ai repensé à l'article « Hétéro, mais pas trop » paru en pages 22 et 23 du magazine « Sensitif » dans son numéro 51.

    Citation :
    « Qui n’a jamais entendu parler d’histoires d’amour, réelles ou fantasmées, entre hétérosexuel et gay ? Mythe ou réalité, …/...

    Il est aussi aisé de penser que ces garçons qui perdent tout sens commun à proximité d’autres garçons hétérosexuels le sont par la faute du mélange des genres qui a trait surtout ces dernières années. Codes vestimentaires, langages, lieux de convivialité homosexuels adoptés par certains hétérosexuels, autant que les concepts marketing des métrosexuels et autres übersexuels, tout est agencé pour faire perdre le nord au gaydar le plus affûté. …/... »
    (article de Sylvain Gueho, magazine 'Sentitif 51')

    Je comprends le désarroi dans lequel on se retrouve. Souvenez-vous de Seb, mon grand amour au boulot, hétéro et gay-friendly. On tombe trop souvent amoureux d'un hétéro. On dépense notre énergie pour un flop et on a envie de tout bazarder. J'ai l'impression que ces situations sont devenues à un point tellement courantes, que l'on finit par se dire « et lui, il est qui ? Il est quoi ? ». Et après ? J'y vais ou pas ? J'attends d'en savoir un peu plus ? Trop tard ! Ben oui, comme je suis pas un fonceur-dragueur mais plutôt un timide-charmeur, je loupe et je me vautre !

    Conclusion ? Y'en a pas !

    (1) Le blog original n'existe plus, mais j'avais sauvegardé le post.

    mise en ligne 08:00
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  • Vaut mieux pas dormir à poil. Les choupinoux sont fragiles et attrapent froid facilement ...

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    mise en ligne 10:00


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  • the-american The American

    Synopsis : Jack est un tueur à gages habile et expérimenté. Toujours en alerte, il n’a aucune attache. Quand une mission tourne mal et lui coûte la vie de la femme qu’il aime, il se fait la promesse que son prochain contrat sera le dernier.
    Cette ultime mission le conduit dans un pittoresque village italien niché dans de hautes collines. Mais pour Jack, chaque lieu peut se révéler un piège et chaque personne une menace. Toutefois, il prend goût aux confidences échangées autour d’un armagnac avec le prêtre du village, et se laisse entraîner dans une liaison avec une belle Italienne. Mais en baissant la garde, Jack prend peut-être des risques. 
    Une menace semble se rapprocher, et la mystérieuse femme qui l’a engagé n’est peut-être pas ce qu’elle prétend. Alors que Jack, de plus en plus méfiant, envisage de vivre et aimer, la tension monte jusqu’à la confrontation ultime.

    Réalisé par Anton Corbijn, avec George ClooneyThekla ReutenBruce Altman (extrait in allocine).

    Film très particulier et prenant. On y voit un Clooney différent et jouant sur un registre auquel il ne nous a pas habitué. Cette région des Abruzzes, si vaste, si âpre, et ce rythme lent toujours maintenu dans cette chasse si particulière, donne au film et aux acteurs une dimension nouvelle. C'est noir sans le montrer. C'est triste sans larme. C'est un grand et beau film. A voir.

    mise en ligne 23:31
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  • (suite du réveil merdique)

    Je suis rentré vers 19h. J'ai sonné chez ma voisine.

    Moi : Bonjour. C'est vous qui avez donné trois coups dans la cloison ce matin ?

    Elle : heu.. oui, c'est moi. D'ailleurs je voulais vous parler. Déjà, depuis la semaine dernière.

    Moi : C'était impossible. J'étais pas sur Paris.

    Elle : Vous êtes sûr ?

    Moi : – (j'ai pris l'air con sans parler)

    Elle : Oui, bien sûr, puisque vous me le dites ….

    Et là, l'explication est claire. Elles est désolée. En fait, elle a un connard de voisin qui mènent ses conversations sur skype dès 6h du mat en beuglant. Et ça dure pratiquement la matinée. Évidemment, il vient de découvrir le monde, l'abruti, et les communications gratuites ! Non content de cela, il regarde la télé la nuit, sans casque, en se foutant de savoir si le son est fort ou pas.

    Donc, j'ai pardonné à ma voisine. Elle s'est répandu en mille excuses. Inutile d'avoir des contentieux de paliers.

    mise en ligne 21:00
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  • Mais pourquoi la voisine a donné trois grands coups dans mon mur au point de me réveiller à 9h du mat ?

    Moi je sais. Mon voisin du dessus que j'ai vaguement entendu bricoler doit le faire sur le mur qui à mon étage est mitoyen avec mon imbécile de voisine. La même qui m'avait agressé quand j'étais venu lui dire qu'on avait un problème de fuites et qu'elle ne devait pas utiliser sa douche.

    Là encore, elle a rien compris. Elle entend un bruit, elle sait pas exactement d'où ça vient. Elle se dit que ça ne peut être que le voisin sur le palier et hop elle t'envoie trois coups dans le mur !

    Elle est vraiment chiante. Si je la croise, je vais lui dire un mot avec mon sourire le plus carnassier possible. Ce voisin bricoleur a emménagé fin août et c'est logique qu'il continue à faire un peu de bruit.

    A elle, je vais peut-être lui acheter des tampons d'oreilles contre le bruit …

    Déjà la fin de matinée. Faut que je me sauve. Lady S m'attend pour un ciné.

    mise en ligne 11:16
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  • Dernière journée de boulot. Vraiment la dernière.

    Début de matinée par un petit-déjeuner d'adieu avec cadeaux et discours rigolo. J'avais filé des pistes sur Tas.chen, et j'ai été servi. De magnifiques bouquins dont un recueil d'estampes japonaises.

    Après avoir papoté avec mes collègues, il était temps de partir au restau à 10 mn du bureau. En petit comité de 15 personnes tout de même. Un déjeuner de midi à presque 16h. Ce n'est pas tant qu'on aie mangé comme des porcs, ni bu comme des éponges, mais une coupe par-ci, une coupe par là, ça fatigue ! Le retour fut lent, et nonchalant. Et j'ai repris le Rer, avec mes bouquins. Putain c'que c'est lourd des livres, surtout les grands formats.

    Il me reste à écrire le mail de remerciements (faut que je fasse vite, mon compte email pro sera coupé dans dix jours). Faut que fasse la liste des collègues avec qui je reste en contact et qui auront le privilège d'avoir mes coordonnées personnelles.

    Et maintenant me direz-vous ?

    Ben pour commencer, je vais glander et plus tard je vous raconterai.

    mise en ligne 23:31


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  • Il est mimi le postier ! Enfin, celui qui amène les colis du dépôt postal jusqu'à la poste. On s'est croisé. J'ai eu juste le temps de lui dire bonjour. Il m'a répondu avec une timidité craquante puis est reparti dans sa camionette....

    Je l'aime déjà, celui là ... (lol)

    mise en ligne 20:30
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  • Si il y a une chose que je deteste c'est de faire la tournée des oncles, tantes, cousins et annexes. Coup de pot, tous les présents (les survivants...) étaient réunis dans le salon d'une tante donc au même endroit. J'ai revu un cousin germain avec lequel dans notre folle jeunesse nous sommes partis à la découverte de nos corps ... Il n'est plus aussi choupinou maintenant et en plus il est marié à une meuf, une vrai gravure de mode. Bref, après les conversations quelqu'un a suggéré que ce serait bien que l'un de nous fasse un coucou, genre je prends de tes nouvelles mais bon je m'en fous un peu, à une "cousine" annexe. Et devinez qui a gagné ? Ma pomme !

    J'ai soupiré, protesté, fait la moue, rien à faire. Il a fallu que je me fasse violence et souriant pendant dix longues minutes. Grand moment de solitude.
    A cet instant j'ai eu l'impression de servir de serpillière.

    mise en ligne 23:45
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  • Ah la campagne ! Le rêve pour certains mais pour moi j'irai pas y vivre toute l'année. J'ai une vie à Paris et un village de 12 habitants l'hiver, c'est pas le pied, sauf pour les vacances. Tout ça pour vous dire qu'au mois d'octobre, quand la température baisse, nos amis les bêtes ont envie de se mettre à l'abri. Si par inadvertance vous laissez la porte de la maison ouverte, sûr qu'un bestiau va rentrer. Comme tous les ans, je vais une semaine mini au vert à cette époque et à cette époque justement, il y a des souris, une portée !

    Cela commence par un bruit suspect derrière le frigidaire. Normal, il y fait chaud et l'accès n'est pas facile. Puis dans la foulée vous découvrez que les bestioles ont découvert les provisions. Elles adorent la farine et les pâtes mais pas du tout les boites de conserves !

    Je suis donc dans l'obligation de poser des pièges garnis de lardons fumés. J'en suis à une par jour depuis 4 jours. Je n'entend plus le bruit parasite du frigidaire. J'ai du avoir tout le monde. Maintenant que j'écris ça, j'ai des remords. Ces souris m'étaient devenues presque sympathiques, mais elle font de tels dégâts et je repars dans 3 jours.

    Désolé "Ratatouille".

    mise en ligne 16:50
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