• Taken
    Réalisé par Pierre Morel
    Avec Liam Neeson, Maggie Grace, Famke Janssen.

    (In AlloCiné) Que peut-on imaginer de pire pour un père que d'assister impuissant à l'enlèvement de sa fille via un téléphone portable ? C'est le cauchemar vécu par Bryan, ancien agent des services secrets américains, qui n'a que quelques heures pour arracher Kim des mains d'un redoutable gang spécialisé dans la traite des femmes. Premier problème à résoudre : il est à Los Angeles, elle vient de se faire enlever à Paris.

    Ca démarre mollement à Los Angeles et arrivé à Paris c'est un rythme d'enfer et très violent.

    On aime ou on aime pas, comme tous les films me direz-vous. Pas tout à fait quand même. Ici, il s'agit de savoir de quel point de vue on va se placer. Si on le considère juste comme un thriller, il n'est pas plus mauvais que certains autres. Si on ressort en se posant la question des trafics de jeunes femmes pour satisfaire la libido de certains connards friqués, c'est encore un autre problème. Si on se repose la question de savoir comment et pourquoi ces trafics perdurent, c'est se poser des questions de société. Bref, ce film peut ne pas laisser indifférent et peut questionner nos existences sur tous les thèmes à la fois.

    mise en ligne 19:18


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  • The 30 Day Fax Picture - 1994 - 151 x 130 cm - Vienne

    Friedensreich Hundertwasser.
    Artiste peintre et architecte autrichien.
    (Vienne,1928 - Nouvelle-Zélande, 2000)


    Son monde est un monde extraordinaire de couleur, d'une richesse de sujets rarement rencontrée.
    Peinture ou architecture ? Les deux et en couleurs !
    Tout un royaume à découvrir.

    J'avais envie de vous offrir cette vision optimiste ....

    mis en ligne 00:45 


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  • Hier j'avais prévu de préparer un tantinet mon entretien d'évaluation de ce matin. Et puis je n'ai rien préparé du tout. Et ce matin, j'ai pris en café en bas de chez moi avant de partir. Et en route pour 23 km de trajet, mais par l'autoroute ça ne fait jamais que 35 mn. Je m'embarque et à 1 km du départ un bouchon, puis vitesse réduite à 5 km/h ! Dix minutes plus tard, infos routière sur le grand panneau. J'ai du mal à croire ce que je lis. Temps de parcours : 2h30 !!! Bordel, je vais arriver à quelle heure ? Il est déjà 8h10 et mon entretien est à 10h.
    Finalement mon boss est aussi dans le merdier de la circulation. Arrivée au bureau à 10h30. Et tout ce bazar uniquement provoqué par des entrées ou sorties, ouvertes ou fermées, des réductions de 2 voies à 1 voie sur des échangeurs, reconnexion des bretelles de je-sais-pas-quoi. Travaux, déviation, travaux, etc...
    Et mon entretien ? Remis à une date ultérieure. Pas de problème.

    La journée à été cafouilleuse pour tout. Même Lady S. s'en ait mêlé. Je lui envoi un mail avec une connerie qu'il faut renvoyer pour la chance sinon, c'est x années de malheur, enfin les trucs débiles de ce genre. A peine envoyé cette idiotie, elle me renvoie le même mail à moi et à d'autres. C'est de la triche ! Si on se met à envoyer le mail en boucle, on n'est pas sorti de l'auberge ! Je lui ai fait une scène au téléphone.

    Sinon, Nico a eu une bien meilleure journée : à son bureau ce matin un choupinou a débarqué pour installer une clim. Et le choupinou est resté toute la journée ...

    Le retour à la maison a été supersonique : 27 mn !
    Et demain c'est déjà jeudi. J'adore les semaines de 4 jours.

    mis en ligne 21:50


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  • Rien fait, rien vu, n'exagérons pas...
    J'ai refait le joint silicone de ma douche qui était devenu bizarrement noir malgré mes nettoyages réguliers. Je me demande si ce n'était pas ce fameux joint d'une marque inconnue, en promo et certainement de qualité très médiocre : il n'a pas résisté aux moisissures malgré les nettoyages. Celui que j'ai utilisé ailleurs, d'une marque connue et réputée, n'a pas bougé. Donc encore des économies de merde! Et j'ai mis un temps fou à retirer l'ancien joint.

    J'ai finalement cliqué pour basculer dans la version 2 du blog... J'ai à peu prêt retrouvé le design, mais sans pouvoir le gérer correctement dans la colonne de gauche, jusqu'à la fin. Tant pis, c'est pas important. D'ici que je choisisse un autre look débile, y'a pas loin.

    Demain mardi, début de la semaine et je n'ai aucune envie d'aller bosser. D'autant que c'est à mon tour d'avoir mon Entretien annuel d'évaluation et que ça, je déteste ; surtout dans les circonstances actuelles. J'ai bien envie de jouer les put* et de dire ce que le boss a envie d'entendre. Nous verrons si notre humeur est au rendez-vous pour jouer ce jeu là.

    mis en ligne 23 :20


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  • Samedi, journée culturelle avec Lady S.

    Au Louvre : Babylone.
    Sur l'Euphrate s'établit il y a 3000 ans av. JC, une civilisation brillante dont les échos parviendrons jusqu'à nous. Qui était Hammourabi, ce souverain qui nous laissera son « code », ensemble de lois, civiles, pénales, commerciales, etc. Pourquoi l'épopée de Gilgamesh continu à fasciner par sa proximité avec certains textes bibliques ? Comment était cette ziggurat (tour) qui était tendu vers le ciel dans cette cité-état dont les rois étaient rois-prêtres ? Comment est-on passé de l'histoire de ce lointain passé aux mythes de la Babel du Moyen-âge ? La légende court encore aujourd'hui à travers de magnifiques pièces présentées dans cette expo.

    Une exposition du Louvre un peu difficile, car cette période de l'histoire est fragmentée, difficile à comprendre voire à restaurer dans sa complexité. Mais à voir car les objets viennent de différents musées et à moins de cavaler sur toute la planète, il vaut mieux faire un tour au Louvre.

    Au ciné : MR73.
    (in Allociné).Un tueur en série ensanglante Marseille. Louis Schneider, flic au SRPJ, mène l'enquête malgré l'alcool et les fantômes de son passé. Le passé resurgit aussi pour Justine. 25 ans plus tôt, ses parents ont été sauvagement assassinés par Charles Subra...

    Film sombre. Certains flics sont aussi glauques que les malfrats. Mais dans cette fange humaine où tout le monde patauge, la violence s'invite de façon permanente. Pas dans un rythme spectaculaire à la Hollywood, mais dans un tempo plus lent, plus dur, soutenu tout au long de l'histoire. Peu de moments de répit. Le sang caillé de la mort sera présent jusqu'au dernier moment ...
    Film noir bien joué, bien monté. On peut ne pas aimer, habitués que nous sommes à des rythmes frénétiques et des séquences syncopées. Moi, j'ai aimé. Ça change d'un polar classique.



    mis en ligne 00:45


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  • Mercredi soir, diner chez Nico. Trois à table.
    Porto, Bourbon et Martini, ramené par ce grand voyageur qui est le maitre de maison !
    Passé l'apéritif en bavardant, le diner fut annoncé et un délicat fumet parvint à nos narines ...

    Vin de Montbazillac
    Soufflé de St Jacques
    Côtelette de porc, marinée au caramel de gingembre et sa petite botte d'haricots verts du jardin
    Petit Cannelé bordelais à la vanille fraiche et au rhum des Iles
    Lait moussé (spécial dédicace)
    Thé vert de Taiwan

    Que vous dire ? Que ce diner fut merveilleux. Saveurs juste dosées. Equilibre des mets.
    J'ai diné chez un grand cuisinier. Je recommande cette table très, très privée.
    En tous cas, si Nico est aussi doué pour la cuisine que pour le reste, je vous laisse imaginer la suite .... !

    mis en ligne 21:40


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  • undefined Papiers ou livres ? Les deux, selon le point de vue et le poids. Vous aurez deviné que je suis allé au Salon du Livre. Je n’ai pas retrouvé l’invitation, mais ma soeur a eu la bonne idée de me téléphoner pour me donner rendez-vous à 20h à l’entrée. Quel bonheur de garer ma voiture près de la maison et d’y aller à pied en 10 minutes. J’ai trouvé qu’il avait moins de monde en nocturne. Il m’a semblé que les allés étaient plus larges, facilitant ainsi une circulation fluide et évitant de crever de chaleur (tout le contraire d’il y a deux ans).

    Donc visite de nos stands préférés : la BNF, les éditions Actes-Sud toujours très prisées, des éditions régionales, mais pas eu le temps de passer chez Ouest-France. Vu aussi les Editions des Musés nationaux, suivi par un demi-tour vigoureux vers les Editions du Cadran (j’ai failli me vautrer et embarquer un jeune intellectuel efflanqué et acnéique.). Puis je suis passé au large de tous les autres par manque de temps. Ma soeur a fait chauffer sa carte bleue, pendant que je butinais de la littérature à l’œil. Je me demande où se trouve sa tirelire... vu le poids des achats. Retour chargé de 4 sacs, faut pas déconner !

    Petite collation, mais pas réduite : il est déjà 22h30. Pour un peu on pourrait prendre cela pour un souper. Je ne sais même pas quels bouquins je trimballais. Ah si, je sais que j’ai un Paul Auster dans le lot. Et pour le reste, je découvrirai ça jeudi. Pourquoi pas mercredi ? Parce que mercredi je vois Nico. Soit dit en passant que ce gentil garçon a mélangé les dates optionnelles, les reportées, les confirmées. J’ai confirmé « mercredi » !

    mis en ligne 23:53


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  • Summertime, Ella Fitzgerald

    OB vient de m'avertir avec emphase que je suis passé à la version 2 du blog ! Je suis super content. Sur les milliers de blogs, je dois bien être le dernier à être en mise à jour. Mais je ne suis pas prêt à trifouiller les css et compagnie. C'était déjà la galère il y a plus d'un an, alors maintenant qu'il faut réadapter, non merci. A moins que je prenne un thème prédéfini, bien chargé et décadent, au look infernal et avec un fond qui rend la lecture démente ! 
    L'important est le contenu, non ? Bon, alors concentrons-nous au lieu de penser à des conneries

    En regardant la liste des films, je me souviens d'une anecdote quand nous avons été voir "I am a legend". Arrivée à la caisse du ciné, tenue par une black à la tête super sympa, je lui demande : " 2 places, s'il vous plaît. Je suis une légende". Et elle de me répondre : "Vous êtes une légende". Éclats de rire partagés et promesse de lui dédicacer une affiche. 
    J'ai adoré ce lapsus...

    Le salon du livre est à ma porte. Mais j'ai plus un euro en poche. Je crois que j'ai une invitation qui traîne et qui pourrai m'inciter à y faire un tour. Où ai-je foutu d'ailleurs cette invit' ?. Du coup je réalise que si un choupinou débarquait, je n'aurais même pas de quoi l'inviter au resto .... C'est nul ! Le plus simple est de m'inviter pour un essai de sa literie ou de sa peau de bête devant la cheminée. Stoooop ! Trouve d'abord l'amoureux ....   

    mis en ligne 23:55


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  • Depuis tout ce temps sans écrire, mais en y pensant tout de même. Et de remettre toujours ça à plus tard, à demain, à la semaine prochaine. Tant et si bien que le temps a fini par ne plus exister. Mais ce n’est par pour autant que je me suis tourné les pouces.

    Vu au Ciné : Je suis une légende, Gone baby gone, Swennly Todd, Sans plus attendre.
    Vu des expos : Courbet, Arcimboldo, Nissim de Camando, L’Enfer de la BNF, Vlaminck
    Lu des bouquins : Sade, Français encore un effort ; Barbery, La gourmandise (en train de le lire).
    Maté des mecs : métro ligne 12 ; bus 62 ; Monop ; et autres lieux
    Vidéos : deux ou trois courts métrages hot.
    Sexe : comme d’habitude, masturbation quand on n’a rien à se mettre sous la ... couette...
    Santé : encore des kilos superflus et c’est pas bien à dit mon médecin (elle m’a engueulé !) 
    Blogs : J'ai un retard de dingue en lecture et il faut que je mette à jour les liens sur le mien.

    Nouvelles de Seb, puis de Nico qui vont comme va le monde.
    Expos et ciné, toujours en compagnie de Lady S.
    Boulot prenant sur une affaire difficile à l’international. Journées un peu longues très souvent.
    Donc tout va très bien.
    C’est court, mais c’est juste un condensé sur 2 mois tout de même !

    A bientôt...

    mis en ligne 00:20


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  • Les fêtes sont passées. Ouf ! Bien que ce fût très calme et que j’avais décidé de faire plein de choses, je n’ai rien fait. Un lumbago, encore une fois, a restreint ma capacité et mon envie de m’agiter. J’ai réussi à faire quand même du rangement de papier. Malgré les 30 sms envoyés pour le nouvel an, il me reste encore quelques mails à écrire, si je retrouve les bonnes adresses.

    Tom, mon lointain ex-lover, a écrit un long mail pour me dire que tout compte fait, il restera aux usa et ne reviendra en France qu’épisodiquement. Ca change de l’année dernière où il était littéralement angoissé et hystérique à l’idée de revenir ici définitivement. Voilà au moins une décision claire.

    Pour ce qui est des bonnes résolutions, tout est prêt. J’en ai beaucoup, comme tous les débuts d’années. Et je me fais une joie de savoir que je n’en tiendrai que très peu et que je ferai mille autres choses futiles mais tellement agréables !

    Je suppose que vous devez recevoir des pubs sur vos messageries. En ce moment c’est un peu les soldes sur plusieurs sites. Aussi, j’ai reçu une pub pour des pulls en cashmere. Comment vous le trouvez ? Le pull évidemment !


    Ah j’oubliais : Grosses bises et bonne et heureuse année à vous tous !!!

    mis en ligne 19:35


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  • Mon rhume se tasse doucement.

    De toute façon, mardi fut une journée radieuse. J’ai reçu un mail de Nicolas. J’attendais ce coucou. J’ai relu son mail au moins trois fois tellement j’étais content d’avoir de ses nouvelles. Relire, pour être sûr de n’avoir rien zappé. Puis j’ai répondu tranquillement et dans l’après-midi j’ai bu un lait chaud et mousseux à la santé de Nico...

    Plus tard dans la matinée, coup de fil de Seb qui était dans le coin et qui voulait passer à mon boulot avant d’aller bosser. Waouhhhh… Il est arrivé vers midi. J’étais super heureux de voir sa silhouette se profiler dans le hall. On s’est salué, mais j’ai pas pu résister : je lui ai passé la main sur le ventre. Une vieille habitude d’autrefois. On a papoté pendant un moment puis il s’est sauvé. Il me fait toujours de l’effet …

    Donc mardi fut bien une bonne journée...

    mis en ligne 11:00

     


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  • Atchoum a été un son majeur depuis plusieurs jours. Je pense que les fabricants de mouchoirs risquent la rupture de stock si je continue. Dimanche était plus calme, mais le coton avait remplacé mon cerveau. C’est effroyable de se trainer dans cet état. Je supporte très mal de me faire dicter mon emploi du temps par un nez qui se complait à éternuer et à moucher. Mais je crois que le plus fort de la tempête est passé.

    Lundi. J’arrive au boulot. Il est 9h30. Je suis dans un état vaseux. Le nez me chatouille. Mon esprit est encore embrumé. Et j’ai mal à une épaule, allez savoir pourquoi.
    Espérons que la semaine passera vite et mieux qu’aujourd’hui.

    aaaatchoooooum…, sniff

    mis en ligne 10h30


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  • On peut aimer ou pas le film « Borsalino » rediffusé et que je n’ai pas regardé, mais le thème écrit pour ce film s’est mis à trotter dans ma tête jusqu’à devenir un rengaine aussi collante que la glue.

    Pour me débarrasser de cet envahissement sonore, je n’ai pas hésité à me saturer de ces notes si usantes. Et j’ai trouvé deux interprètes : l’un à la guitare et l’autre au piano. Le premier se jouant en virtuose de la partition et le deuxième en sortant avec un ragtime.

     

     

    mis en ligne 23:55


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  • Georg-Friedrich Haendel, La grande sarabande

    Semaines un peu bousculées, traversées par des moments de pression et des moments de cafouillage avec si peu à faire, qu’on le repousse au lendemain.

    Entre-deux, vu « L’homme sans âge », FF Coppola. Film d’après une nouvelle de Mircea Eliade, (un chercheur et aventurier de la pensée qui cumule tellement de qualificatif que je vous en épargne l’énumération). En gros, c’est 1938, en Roumanie. Dominic Matei, un vieux professeur de linguistique, est frappé par la foudre et rajeunit miraculeusement. Et je ne vous dis pas la suite. Le film est nul à chier. Les acteurs sont bons mais le scénario ne vaut rien. On attend un truc qui ne vient jamais, et quant à la fin, c’est de la bouillie pour chat.

    Le seul temps fort de cette semaine qui vient de s'écouler, c’est la présence de Nicolas au bureau.
    Mais pour se dire « Au revoir ». Encore un qui quitte la boite. Et comment je fais moi, pour boire mon lait chaud, pour avoir des fous-rires, des quiproquos, des instants d’évasion et de bonheur dans une complicité hebdomadaire.

    Il me restera plus que les mails, le téléphone et une bouffe à l’occasion. Mais pourquoi faut-il que l’on m’abandonne comme ça régulièrement. Je sais : la boite ne va pas bien et ils s’en vont ailleurs. On ne peut vraiment pas leur en vouloir.
    A très bientôt Nicolas. Tu me manques déjà ....

    mis en ligne  20:40


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  • Dimanche : une glande totale. Juste une heure consacrée à un repassage de chemises. Puis lever fort tard pour me préparer au diner chez ma sœur.

    Lundi rtt et cinéma avec Lady S. Vu « Darling » avec Marina Foïs, Guillaume Canet et Océane Decaudain. Tiré d’un livre et d’un fait réel, nous suivons cette femme à travers les violences de sa vie familiale et conjugale. Elle se bat pour exister, pour que rien ne soit une fatalité. Même si ses rêves paraissent vains, elle avancera toujours et toujours avec force et lucidité.

    Rentrée à la maison, récupération de ma voiture avec un démarreur tout neuf.
    Mais demain matin, intermède plombier pour changer le siphon principal. Et c’est une autre société qui fait le boulot. Donc je ne verrai pas le plombier-choupinou de samedi. J’ai averti mon bureau de mon arrivée vers heu ... enfin, plutôt en fin de matinée. Restons vague, cela vaut mieux.

    mis en ligne 17:45


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  • Luz Casal, Es mehor que te vayas

    Coup de téléphone de ma sœur ce matin : on décale le déjeuner d’anniv’ de ma nièce à dimanche soir. A peine raccroché, coup de sonnette de ma voisine un étage au dessous. Sa douche déborde, ne se vide plus, et pire l’eau refoule. Aie, certain que la colonne est bouchée plus bas. Et me voilà montant et descendant l’escalier pour prévenir mes voisins de ne plus utiliser ni les éviers, lavabos ou douches ou ... sani-broyeur ! Ma voisine a appelé un plombier. Moi, pendant ce temps je suis allé dans ma cave pour dégager l’accès au siphon de la colonne.
    Le plombier arrive. Une bonne tête, super sympa. Mais pour intervenir, il faut attendre le syndic. Nous bavardons de choses et d’autres, et il me propose de filer boire un café en attendant que le syndic se pointe. J’ai trouvé que cette matinée qui avait commencée de façon chaotique l’était bien moins à présent. Le syndic débarque. Je lui laisse le plombier.
    Je remonte chez moi.

    Une heure plus tard, le plombier se pointe. Je lui avais demandé de me laisser ses coordonnées professionnelles et il venait me les donner en personne. Franchement, il a du charme, ce mec. Il m’a donné téléphone fixe et portable et il est reparti pour dégorger cette foutue colonne. Mais je ne suis pas assez culotté pour le draguer. Il est très expansif, très sociable, très avenant, mais pour le reste, je ne sais pas.
    Je redescends dans la cave : ils sont maintenant trois à bosser avec la haute-pression dans les tuyaux. Je repars et demande à Romain (le plombier choupinou) de me prévenir quand il aurait fini. Faut bien que je le referme cette cave.

    Je me dis que cet épisode est drôle. Je dois faire des courses puis aller chez le coiffeur. Mais il est déjà 16 h et le temps passe si vite. Je commence à écrire ce billet quand Romain arrive tout essoufflé au 5ème étage pour me dire que tout va bien mais que le siphon est à changer. Nous repartons à la recherche du syndic qui a annoncé son retour vers 16h et que l’on finit par attendre devant l’immeuble. Bavardage pendant une grosse demi-heure. Il mate sans équivoque les nanas qui passent, glisse très vite dans la conversation qu’il a une copine. Mais ne refuse pas que je pose main sur son torse vêtu d’un T-shirt noir quand je lui dis de rentrer dans le hall sinon il va attraper la crève.
    Le syndic se pointe.
    Je dis au revoir à Romain avec mes deux mains en débitant les phrases adéquates. Sa main est chaude est douce. Il ne la bouge nullement pour la retirer. A bientôt dans le quartier, me dit-il. Il est vrai qu’il bosse dans mon arrondissement.

    Il est 17h et j’ai le temps de faire quelques courses et d’aller chez le coiffeur.
    Et maintenant je suis sur mon ordi en train de vous raconter tout cela.
    Pourquoi une complicité aussi immédiate ? A moins qu’il ne soit pas seulement hétéro.
    Les rencontres de ce style me laissent toujours perplexes et teintées d’un goût amer.

    mis en ligne 19:32


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  • Craig David, Just a remenber

    Galère pour aller bosser. Les grèves et ma voiture. Cette dernière à décidé de suivre le mouvement et de plus faire aucun effort. Le démarreur est en rideau de façon très aléatoire. En prévision d’un démarrage douteux, j’ai garé ma voiture toute la semaine... dans une rue en pente avec rien devant son nez pour pouvoir me lancer ! Et histoire de me contrarier, mon véhicule à démarré tous les matins sans aucun incident. Ce soir je l’ai déposé au garage et je la récupère lundi et je serai en Rtt, c’est plus prudent.

    Visite au bureau ce matin et en coup de vent de Nicolas, le temps d’un café. Coup de téléphone à Seb qui aménage la maison qu’il vient d’acheter. Un téléphone rapide avec Lady S pour le ciné de lundi. Comme je suis rentré très tôt, j’ai eu le courage de me faire une ratatouille ! Vu la quantité, je crois que j’en aurais pour deux fois.

    Samedi, anniversaire de ma nièce,. Il va falloir que je sorte de mon lit samedi matin pour aller chercher un cadeau et je n’ai aucune idée. J’en profiterai pour aller chez le coiffeur, s’il n’y a pas trop de monde. Puis déjeuner chez ma sœur.

    Je me suis aperçu qu’il fallait faire encore du classement. Ma boite à courrier est pleine. Pourquoi faut-il archiver autant de papier ? C’est super gonflant, surtout aujourd’hui à l’heure du numérique. Dimanche, si j’ai le courage, si et si et si .....

    mis en ligne 22:00


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  • Césaria Evora, Bo e di meu cretcheu

    Je suis revenu de vacances depuis une semaine et le temps m’a encore joué un tour. Celui de m’engloutir dans le tourbillon du boulot. De me faire dépenser le prix d’une batterie pour ma voiture. De galérer très prochainement à cause des grèves. Mais ne soyons pas pessimiste.

    Tout d’abord « L’élégance du hérisson » de M. Barbery. Un livre à deux destins, une écriture superbe, la langue est ciselée et devient un met de choix. Des épisodes drôles, touchants, poétiques, philosophiques, étonnants, en fait la vie et toutes les variations et les humeurs qu’elle peut nous révéler. Je ne me jette pas sur les prix littéraires, mais ce livre mérite son prix des libraires et doit être lu.

    Et puis visite de Nicolas dans la semaine et découverte de ses photos de vacances en Asie (Cambodge et Vietnam). Un voyage superbe à travers ses photos.

    Samedi, retour au cinéma avec Lady S.
    L’affiche du film « Dans la vallée d’Elah » ne m’enchantais pas plus que les quelques lignes de l’argument du film : un officier de carrière à la retraite enquête sur la disparition de son fils, un soldat exemplaire dont la trace a été perdu après son retour d'Irak.
    Mais le film servi par Tommy Lee Jones et Charlize Theron est superbe d’émotion, subtile dans une histoire trouble et qui vous tient jusqu’au bout. Donc pas de regret.

    Vu des choupinous au fil de notre promenade de Montparnasse à Notre-Dame. Je trouve qu’ils étaient plus nombreux que d’habitude. Ou peut-être avais-je l’œil plus scrutateur ? Qui sait...

    Dimanche : hibernation.

    Et lundi ? Arrivée dans un état ... comme un lundi. Mais je savais que l’après-midi serai éclairée par la présence de Nicolas. Ce fut un bon moment de bavardage. Le café était normal pourtant, mais nos lapsus et nos esprits blagueurs ont déformés en sous entendus nos paroles et nous ont entrainés dans des fous-rires. Pas très discret quand on sait que le coin café est sur le chemin de l’escalier, en face d’une salle de réunion et visible d’un couloir à travers une demi baie vitrée, et qu’il y a un va-et-vient permanent ! Mais on ne s’est pas privé de notre café et du reste.

    mise en ligne 21:00


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  • Loupé, zappé, oublié .... de vous dire que je suis parti en vacances. Les miennes se déroulent régulièrement depuis plusieurs années au mois d’octobre. Je suis toujours débordé quelques jours avant le départ et après l’arrivée. Vous dire que je n’écrirai rien pendant un mois serai faux. Il faut dire que quand je suis au vert, j’adore ressortir un bloc de papier, remplir mon stylo-plume d’une encre noire à l’odeur si caractéristique, et me délecter du bruit soyeux de la plume glissant sur le papier et de la trace calligraphique si plaisante à l’oeil.
    Je sais que les mots ainsi assemblés ne forgent pas obligatoirement des phrases qui seraient le reflet de sublimes pensées, mais le plaisir des sens - avec des gestes aussi simples et des objets aussi quotidiens - est une vraie gourmandise. Après avoir pensé sublimement, une prodigieuse idée qui fera date dans ce foutu siècle, j’écris une ligne fade, sans odeur, incolore, presque transparente sans rapport avec la saveur de sa genèse. Tout s’effondre si platement qu’il appert que c’est pitoyable de devoir le constater. J’ai fantasmé une œuvre d’art et j’ai accouché d’un rien du tout. Déçu ? Non, ainsi va le monde.

    C’est tout le problème du fantasme. Comme tout à l’heure au magasin brico du coin (à 8 km tout de même). Je cherchais, non pas fortune dans les rayons, mais un vulgaire pinceau (pourquoi faut-il qu’il chamboule tout régulièrement ?). Avant de trouver l’objet, arrive au bout d’une allée, un grand et beau gaillard trentenaire en jean et T-shirt blanc sans manche. Je stoppe net ma progression, et regardant faussement un rayonnage de lessives, j’attends. Il avance doucement, il cherche lui aussi. On se regarde vaguement pour constater notre impuissance à retrouver nos rayons et il continu. Sa gueule a du charme, mais ce qui m’a accroché, mais le regard de ses yeux bleus acier ... foudroyé j’étais... Il était très bien de dos aussi... Je peux fantasmer quelques minutes. Mais quand j’ai entendu sa voix demander un renseignement à un vendeur, tout s’est écroulé, fantasme compris.

    J’ai fini par trouver mon pinceau et je ne ferais rien aujourd’hui.

    J’ai commencé à lire « L’élégance du Hérisson » de Muriel Barbery. Je vous en parlerai plus tard.

    mis en ligne : 21:00


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  • Lundi matin. Vaseux comme il se doit. Juste ce qu’il faut pour ne pas se perdre sur la route. La matinée démarre : connexion au réseau, lecture mails, et au boulot. Pause café vers 10h. Je reviens en touillant machinalement mon breuvage.

    Brusquement mon œil de caméléon capte une silhouette. Et, oui, j’ai pas rêvé. Y’a un choupinou derrière la vitre d’un autre bureau sur la face opposée de ce foutu bâtiment en cercle et en patios. Je me renseigne : c’est l’équipe de nettoyage des baies vitrées ! Waouh, je veux bien qu’il vienne nettoyer tous les jours. Le choupinou arrive dans mon bureau, gueule carrée, regard doux, cheveux blond court et en pagaille, un demi-sourire charmeur et un bonjour à peine audible. Je lui montre l’accès extérieur aux baies vitrées. J’ai réunion et je me sauve à regret.

    Une heure plus tard, il est là à deux mètres de moi. Lui à l’extérieur en train de nettoyer cette vitre de deux mètres de haut. Il tend le bras et en bout de course, la manche de sweet-shirt glisse sur un bras musclé et fuselé, pendant que le même sweat découvre une moitié de ses abdos et de son ventre jusqu’au jeans posé sur ses hanches. Elle est haute et longue cette foutue vitre. Je compte la cadence de découverte d'une partie de son anatomie : 12 fois pour ce morceau de baie. Je matte comme un malpropre mais tout en discrétion. 
    Ma collègue me lance : tu exagères, tu va te faire encore du mal avec des choupinous inaccessibles !

    Le choupinou finit tranquille et repasse dans mon bureau reprendre du matériel. Il souffle un au revoir délicieux de moelleux. Et ce n’était qu’un au revoir. Après le déjeuner, nous nous recroisons et je lui lance « re-bonjour ». Il sourit et me dit amusé « alors re-bonjour ». Oups, je craque mais tout en intérieur. Son chef était avec lui et un autre nettoyeur. Nous ne nous sommes pas dit au revoir ....

    Après avoir faussement décrété que ma vitre n’était pas si bien finie que ça dans les coins, un de mes collègues me balance qu’il faudra attendre un trimestre ! Oublions tout ça. Les équipes ne sont jamais les mêmes. Comment voulez vous entretenir un lien. Dommage.....

    mis en ligne 22:30


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  • Je vous le fais dans l’ordre. Samedi dernier, visite de l’expo Vollard à Orsay, puis visite du bâtiment et Musée de la Légion d’Honneur, juste en face du Musée d’Orsay. Vu un charmant et jeune militaire très appétissant, et qui doit « manger à la même cantine que nous. »

    Samedi soir, soirée à la fête du vin et du fromage en banlieue sud. Et à deux heures du mat, on se retrouve à six dans l’ascenseur qui se coince entre deux étages. Au bout d’une heure, nous sommes délivrés et récupérer par les flics du coin. Y’en avait un, blond roux, très choupinou. Le lendemain j’étais nase. La semaine qui vient de s’écouler était calme et sans saveur. Vendredi j’étais en rtt et je n’ai rien foutu de la journée ; mis à part un grand (presque grand) ménage.

    Et samedi je continue à ranger mon appart. J’ai prévu aussi d’aller chez mon coiffeur. Et puis depuis une dizaine de jour, j’ai ressorti ma boite à bijoux et je remets mes bagues. Je les redécouvre, c’est drôle. Je matin j’en choisis une ou deux pour la journée. Mon patron s’en est aperçu. Et ma posé la question de savoir pourquoi je portais celles d’aujourd’hui – acier et laque noire et acier uni - aux majeurs de chaque main. Réponse de ma part : c’est à ces doigts qu’elles vont le mieux. Le pauvre, je crois qu’il se demande quelle excentricité me pique en ce moment.

    Sur mon lieu de travail seul quelques uns savent que je suis gay. Inutile de le dire. Quand ton collègue, en bon macho qu’il est, fait une réflexion sur la beauté du cul de la nana qui passe et que toi tu lui dis que tu préfères le cul du mec qui discute avec elle, alors ton collègue te regarde, se marre et te balance : heureusement que j’ai le cul plat. Histoire de se rassurer que tu ne le désireras jamais. Ce qu’il ne sait pas, c’est qu’il n’a pas le cul plat ! Je suis mort de rire.
    Mais si on devait désirer et avoir dans notre lit tous ceux que nous croisons.... nous serions dans quel état ?

    Je suis retombé sur cette photo de 2006 de Matt Lander ....

    mis en ligne 01:20


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  • Il (Seb) a bien reçu mon sms pour son anniv.
    Je lui ai parlé au téléphone. Mais je n’ai pas fait de scène ! Il avait une raison d’être tendu et je le savais.

    En plus de mes coups de fil professionnels, dans l’après-midi, une bonne surprise. La voix de Nicolas. On s’est raconté plein de choses, y compris la météo en Asie. C’est la destination imminente de ses vacances. Entre une chose et l’autre, nous avons bavardé plus de 45 minutes.

    Nouvel appel de Seb en fin de journée. Son souci s’est envolé. Son attente pour un financement, a pris fin avec une heureuse conclusion. Il peut acheter son home, sweet home. Et nous avons encore bavardé.
    C’était une journée Téléphone.

    mis en ligne 01:04


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  • Il a oublié le mien.
    Je ne lui en veux pas.
    Il a la tête pleine de choses importantes et trop sérieuses pour l’instant.
    J’ai préparé un sms, car je ne pense pas qu’il lise mon blog, ou du moins il ne doit plus le lire depuis un moment ; c’est sans importance.

    Le sms partira dès potron-minet.
    Il me téléphonera et je lui ferai une scène comme il les aime.
    Il me lancera des mots doux en rigolant et me parlera de l’avancement de son projet.

    Bon’Anniv et grosses bises à toi.
    (« Il », c’est Seb)

    mis en ligne 01:00


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  • Déjà une semaine que je n’ai pas vu passer.
    Pas d’événement extraordinaire.
    Vendredi, j’ai joué au Loto et j’ai perdu. Mais on peut toujours rêver...
    Samedi, un tour au musée quai Branly, avec Lady S., suivi d’un thé avec douceurs au chocolat.
    Samedi soir, diner tout simple chez ma soeur : c’était mon anniversaire !
    Dimanche, une paresse infinie. J’ai fais la marmotte malgré un temps radieux.
    Lundi retour au bureau pour un dernier café avec Nicolas, tout frais et rose. Il part un mois en vacances. Il va me manquer.
    Mardi c’est le 11 septembre et certains événements paraissent, parfois, si loin déjà et pourtant tellement proches quand l'info vous réveille. 

    mis en ligne 01:25


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  • Samedi, soirée chez Seb. Anniversaire de sa femme. Lady S et moi avons franchi les 90 km, Veuve Clicquot sous le bras, pour fêter l’événement. Nous étions peu nombreux car leur appart est petit. Causeries parfois décousues mais agréables, buffet assis, debout, au choix.
    Revoir Seb me fait toujours quelque chose, surtout qu’il me provoque en me caressant la nuque du bout des doigts, l’enfoiré.
    Rentrée sur Paris vers 2h du mat.

    Dimanche calme, très calme. Menues activités ménagères. Rien de passionant.

    Reprise du boulot avec une activité en dents de scie un peu chiante.
    Mais retour de Nicolas ! Séance papotages 2 fois par jour – matin et après-midi – comme une ordonnance . En revanche le plaisir lacté n’est plus au rendez-vous. La mousse de lait n’a plus cette légèreté aérienne d’il y trois semaines. C’est nul. Tout fout le camp, mon bon monsieur. J’ai ressorti mes bagues et Nicolas l’ayant remarqué avait mis les siennes aujourd’hui. Nous n’en sommes pas à faire des concours de bijoux, simplement à porter les jolies choses qu’on aime.

    A propos de jolies choses, je trouve la dernière couverture de Têtu scandaleuse d’envie. Pas acheté, mais regardé chez mon libraire. Pourquoi j’ai pas le même choupinou dans mon lit, hein ? Inutile de déprimer, mais ça met l’eau à la bouche....

    mis en ligne 23:51


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  • Nos déjeuners sur l'herbe n'ont pas atteins la notoriété donnée par les peintres, mais cette activité champêtre fut du goût de tous.

    En 1863, Manet peint son « déjeuner » : était-ce un prétexte pour avoir une femme nue ? La pose est aussi naturelle que si elle portait des vêtements. Osé pour l'époque.

     

     

     

     

     

     

     

     


     

    En 1865, c’est au tour de Monet de peindre son « déjeuner », beaucoup plus académique et habillé. Le décor devient salon de verdure.

     

     

     

     

     

     

     

     


    Et puis au, hasard du net, un autre « déjeuner », à Giverny, de 1993. Ici la profusion de fleur et de végétation prend le pas sur les acteurs de ce déjeuner.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Mais nous restons dans le bucolique, la détente et l'impressionisme.

    mis en ligne 17:00


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  • Chose prévue, chose faite pour une fois. Nous avons déjeuné entre collègues au bord du lac. Lady S était aussi du déjeuner ; elle connaît tout le monde. Courses rapides chez Lecl... puis retour au bureau et en route pour le lac en quelques minutes.

    Installation sur l’épaisse table en bois bien ancrée au sol, sous les arbres. Déballage des nourritures : taboulé, macédoine, jambon, fromage, yaourt, raisin noir, pain et eau minérale ! Nous n’étions que tous les quatre à midi pour un pic-nic. Deux oies grises et deux canards blancs déambulaient de loin en nous regardant. Un couple allongé tendrement, beaucoup plus loin dans l’herbe, avait des velléités visibles de câlin. Une bande de mômes à tenues bariolées et à bicyclette, passa au bord du lac. Le temps était serein, mais la chaleur n’était plus celle de l’été (si nous avions eu un été).

    A la fin du déjeuner, nous avons rangé nos petites affaires et avons nourri les volatiles – peu farouches - avec le pain qui restait. Une heure plus tard, retour au bureau avec un crochet au distributeur pour prendre un café.

    Moment très agréable, détendu. La semaine prochaine, on remettra ça. Si le temps reste stable.

    mis en ligne 23:14


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  • Je savais que je possédais cet objet. Il me vient de mon père. J’avais en revanche oublié que je l’avais donné à ma soeur. Je l’ai un peu nettoyé (de sa poussière) et j’ai pris une photo. 

    D’où vient-il, quel est son histoire, que signifient les inscriptions visibles en bas à gauche ? Je ne sais pas.

    Mais je ne vous ai pas dit ce que c’était !

    C’est un « tsuba japonais ». C’est la garde d’un sabre japonais. On distingue très bien au centre le triangle qui correspond au profil de la lame du sabre.

    Voilà, c’est tout pour aujourd’hui.

    mis en ligne 23:02


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  • Vu sur Arte un documentaire d’une heure sur « La révolution Disco »
    (Prochaines rediff. : le 29 à 1h35 et le 01-09 à 8 :45)

    Bien monté, quelques lenteurs, mais très instructif pour se souvenir d'où est sorti le disco et ce qu'il est devenu et a généré.  

    [ in arte-tv]
    Au milieu des années 70, une vague de paillettes déferle sur les États-Unis. Quelles sont les origines de la musique disco ? Comment a-t-elle influencé la société américaine de l'époque ?
    Dans les années 70, un nouveau style musical fait danser l'Amérique. Il s'accompagne d'un sentiment d'euphorie et de liberté. Sa devise : "United in the name of fun !" Gloria Gaynor, Randy Jones des Village People et George Clinton se souviennent de la grande époque du disco et de la folle vie nocturne new-yorkaise à la fin des années 70. Certaines discothèques étaient alors de véritables temples de la musique où les DJ testaient les disques directement sur le public dès leur sortie. Le documentaire retrace l'évolution du disco depuis ses origines - le philly sound, un style musical underground très apprécié des minorités noires et homosexuelles. Le succès de musiciens issus de ces communautés leur a d'ailleurs permis d'être mieux reconnues et plus influentes. Le disco avait aussi ses ennemis : en 1979, des radios rock ont organisé une campagne anti-disco et des autodafés de disques. Plusieurs fois donné pour mort, ce style musical a pourtant largement influencé la dance, le R&B et la house... "I will survive", chantait Gloria Gaynor.

    En fait le prétexte était de vous remontrer ce moment d'humour
    sur « I will survive ... » !!!

     

    mis en ligne 23:04


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  • Un lundi matin laborieux et surtout pas envie de continuer sur un dossier commencé la semaine dernière. Mais à 11h58 très exactement un mail de Nicolas : je suis là pour quelques heures. Donc petit rendez-vous dans l’après-midi. Papotages devant un chocolat pour lui et le fameux lait pour moi. Mais la mousse était moins aérienne, toujours aussi douce et sans goût mais moins légère. Au final cela n’avait pas trop d’importance. Nico goûte aussi pour se rendre compte. J’étais super content de le voir après sa longue absence. Bon, il repart et je ne le reverrais que lundi prochain. En attendant, je me remets au café et je vais finir ce foutu dossier.

    Je me demande si demain et vu le temps très agréable, je ne vais pas proposer à mes deux potes, un pic-nic au bord du lac dans la semaine. Nous ne sommes plus que trois à manger ensemble et la bouffe du self est toujours aussi redoutable à digérer. Je crois donc que c’est une bonne idée.
    Mais j’y pense, j’ai aussi prévu de déjeuner avec Lady S dans la semaine. Donc faut organiser. Le lac est à cinq minutes, le boulot de Lady S est à 30 minutes. Pour le pic-nic, nous faisons les courses au centre commercial, à trois minutes en voiture. Et puis il faut profiter du soleil. La météo peut changer brutalement... nous verrons.

    A demain ...

    mis en ligne : 23:40


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