• Petit tour au cinéma samedi. Vu l'Apprenti Sorcier. Inutile de vous précipiter. Quelques bonnes trouvailles, un clin d’œil à des films connus, de bons acteurs, mais ça reste un film pour enfant. Et comme je ne suis plus tout à fait un enfant….

    apprentiSorcier

    Synopsis : Balthazar Blake est un grand sorcier vivant de nos jours à Manhattan. Il tente de défendre la ville contre son ennemi juré, Maxim Horvath. Balthazar ne pouvant y arriver seul, il engage alors - un peu malgré lui - Dave Stutler, un garçon apparemment ordinaire qui a pourtant un vrai potentiel, pour devenir son apprenti. Le sorcier donne à son apprenti réticent un cours express sur l’art et la science de la magie, et ensemble, ces deux associés improbables vont tenter de stopper les forces des ténèbres. Il faudra à Dave tout son courage, et même davantage, pour survivre à sa formation, sauver la ville et embrasser la fille qu’il aime…

    Réalisé par Jon Turteltaub avec Nicolas Cage, Jay Baruchel, Teresa Palmer, Toby Kebbell, Monica Bellucci, Alfred Molina, Omar Benson Miller, Jake Cherry, Robert Capron, Peyton List, Alice Krige, James A. Stephens, Sean Patrick Reilly.

    Ballade dans Paris, crochet pour voir les modèles de machines à laver et retour cool at home.

    mise en ligne 22:50


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  • Reçu un coup de téléphone de Mister Lô du bureau. Il avait envie de déconner et quand je lui ai dit que j'avais l'intention de lui envoyer un sms en sortant de ma douche, il a sauté sur l'occasion pour me dire que je pensais à lui sous la douche. Que nenni. Mais la prochaine fois j'y penserai ...

     

    machineLaverMa machine à laver a eu coup de chaud au sens littéral. Je me suis dis que trois lessives en enfilade dimanche dernier, c'était peut-être un peu beaucoup. J'ai donc attendu aujourd'hui et j'ai remis en route. Rien à faire : le programmateur avance d'un cran toutes les secondes et l'eau est en chauffe en lavage, rinçage, bref en permanence. Cette machine et moi étions maqués depuis 7 ans et je crois que c'est bien la fin de notre union ! Va falloir choisir une autre machine et pas dans vingt ans, mais tout de suite dans les jours qui viennent.

     

    pecheVigne

    Petites courses et bien sûr, des pêches de vignes. Il faut que je les laissent mûrir un jour ou deux.

     

    mise en ligne 17:15


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  • (Suite du post précédent)

    InvisibleFinalement il m'aura fallu à peine 3 jours dans les transports pour lire les 290 pages de « Invisible » de Paul Auster.

    Ce n'est pas uniquement la maîtresse du mécène qui est « sulfureuse » comme le présente l'éditeur, c'est ce roman. On a l'impression que sur la voie de la complexité relationnelle, du sexe et de la mort, tous les coups tordus sont permis ou presque.

    Les personnages qui évoluent sous nos yeux sont en noir et blanc, coté clair et coté obscur. Et cela fait une sacrée histoire, patiemment et inexorablement poussée vers des destins mortels. La mort du corps, de l'âme, de l'amour. Il n'y a aucune rédemption possible. Au moment où la cible semble à portée de soi, elle a déjà disparue. Tout se croise et s'entrecroise dans un temps discontinu mais ne désarme pas le lecteur et l'incite à aller à pas forcés au bout de l'histoire.

    Demain je prends un jour de repos. J'ai tellement de choses à faire et c'est si calme au boulot...

    mise en ligne 23:55


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  • Doit-on en laVieEnSourdine core présenter David Lodge ? Certes pas. Il écrit depuis des dizaines d'année et ses livres sont toujours attendus avec impatience. Son roman « La vie en sourdine » (2008/2010) est peut-être le plus autobiographique. David Lodge qui a 75 ans, dépeint un homme, du même âge, avec sa surdité, ses faiblesses  sexuelles, ses irritations familiales, la mort de son père, sa liaison extra-conjugale sulfureuse non consommée et tous les riens de la vie. C'est la lecture au jour le jour de son journal intime. Les choses sont dites simplement et crûment sans fard ni habillage de style. Il faut donner une mention particulière à son couple de traducteur qui travaille avec lui depuis si longtemps.

    Lancez-vous, vous avalerez les 460 pages de son roman sans indigestion !

    Présentation de l'éditeur

    Desmond a des problèmes d'ouïe. Et d'ennui. Professeur de linguistique fraîchement retraité, il consacre son ordinaire à la lecture du Guardian, aux activités culturo-mondaines de son épouse, dont la boutique de décoration est devenue la coqueluche de la ville, et à son père de plus en plus isolé, là-bas, dans son petit pavillon londonien. Lors d'un vernissage, alors que Desmond ne comprend pas un traître mot de ce qu'on lui dit et répond au petit bonheur la chance, une étudiante venue d'outre-Atlantique lance sur lui ce qui ressemble très vite à une OPA. Pourquoi Desmond ne l'aiderait-il pas à rédiger sa thèse ? Le professeur hésite. Pendant ce temps, son père, martial, continue à vouloir vivre à sa guise, et son épouse à programmer d'étonnants loisirs... Comique, tragique, merveilleusement autobiographique, le nouveau roman de David Lodge s'inscrit dans le droit fil de Thérapie.


     

    etSiCetaitVrai Marc Lévy. Dix romans. Un auteur traduit dans le monde entier et adapté au cinéma. Mais je n'avais rien lu de lui. Je ne me sentais pas du tout attiré ni par le personnage, ni par ses romans. Pourquoi ? Je n'en sais strictement rien. Et ce n'est pas ici que je vais tenter de comprendre la chose.

    Je me suis lancé à prendre son dernier roman « Et si c'était vrai... » paru en décembre 2009. Je me suis dit que 250 pages, c'était suffisant et que cela meublerai quelques trajets maison-bureau. Mon sentiment ? Agréable à lire, idée originale, bien écrit, mais je ne suis pas sûr de lire un autre roman de cet auteur. Nous verrons plus tard.

    Je vous laisse juge.

    Amazon.fr présente :

    Lauren est dans le coma, c'est indéniable. Mais elle est aussi dans le placard d'Arthur, un peu comme un fantôme, cela est tout aussi indéniable... Arthur, en tout cas, est bien obligé de l'admettre : il la voit, l'entend, la comprend et finit même par l'aimer. Mais que peut-on espérer d'un fantôme que l'on est le seul à distinguer ? On ne tombe pas amoureux d'un mirage, on ne force pas son meilleur ami à dérober une ambulance pour kidnapper un corps dans le coma, on ne ment pas à la police pour sauver une ombre, et pourtant...

    Marc Lévy signe ici un premier roman particulièrement grisant, qui s'amuse du lecteur et de ses certitudes, toujours avec légèreté : comme Arthur, on se laisse prendre au jeu de Lauren, et comme lui, on finit par se dire, entre deux rebondissements : Et si c'était vrai....

    Phénoménal succès de librairie dès sa sortie, ce roman trouvera bientôt une consécration sur grand écran puisque Steven Spielberg a décidé de porter cette invraisemblable histoire à l'écran. --Karla Manuele --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.

    Présentation de l'éditeur

    Que penser d'une femme qui choisit le placard de votre salle de bains pour y passer ses journées ? qui s'étonne que vous puissiez la voir? qui disparaît et reparaît à sa guise et qui prétend être plongée dans un profond coma à l'autre bout de la ville? Faut-il lui faire consulter un psychiatre ? en consulter un soi-même? ou tout contraire, se laisser emporter par cette extravagante aventure. Et si c'était vrai ?... Une histoire tendre, une aventure plein d'humour et de rebondissements.


     

    Invisible Le presque troisième livre n'est pas encore lu : ce sera « Invisible » de Paul Auster (sortie mars2010)

    Présentation de l'éditeur :

    New York, 1967: un jeune aspirant poète rencontre un énigmatique mécène français et sa sulfureuse maîtresse. Un meurtre scelle bientôt, de New York à Paris, cette communauté de destins placés sous le double signe du désir charnel et de la quête éperdue de justice. Superbe variation sur "l'ère du soupçon", Invisible explore, sur plus de trois décennies, les méandres psychiques de protagonistes immergés dans des relations complexes et tourmentées. Le vertigineux kaléidoscope du roman met en perspective changeante les séductions multiformes d'un récit dont le motif central ne cesse de se déplacer. On se délecte des tribulations du jeune Américain naïf et idéaliste confronté au secret et aux interdits, tout autant qu'on admire l'exercice de haute voltige qu'accomplit ce très singulier roman de formation. Au sommet de son art narratif, Paul Auster interroge les ressorts mêmes de la fiction, au fil d'une fascinante réflexion sur le thème de la disparition et de la fuite.

     

    mise en ligne 21:30


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  • Lieu : près de la photocopieuse (endroit stratégique, parfois plein de monde)

    Spectateurs : 2 stagiaires et nous

    Mister Lô : Hum, tu sens bon

    Moi : … ben, ouais …

    Mister Lô se penche vers mon cou pour mieux sentir : Tu mets quoi ?

    Moi : Diorhomme'sport

    Mister Lô renifle cette fois ci mon avant-bras : hum, c'est super bon !

    Moi : Tu sens très bon toi aussi, lui dis-je en reniflant son avant-bras.

    Les deux stagiaires nous regardaient, un peu désemparées. Deux mecs qui se reniflent... Heureusement qu'elles n'ont pas dit un truc du genre : vous n'allez pas faire comme les chiens … Les connaissant, elles se lâchent grave parfois.

     

    mise en ligne 23:55
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  • Hier soir, impossible de fermer l’œil. Mon esprit en prise avec des problématiques perso tournait à plein régime et je me suis endormi à 2h30 du mat.

    Je broyais du noir et pour illustrer mon état seul un tableau de Soulages pouvait être le reflet de mon état.

    artwork pierre-soulages1  

     

    Pas terrible mais assez significatif.

     

    Et puis ce matin, j’étais mieux. Je suis arrivé à l’heure au bureau. Et j’ai pensé à Hundertwasser.

     

    hundertwasser IslandofLostDesire1975

     

    Ah, c’est plus sympa.

    mise en ligne 18:30
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  • Il est des jours où la journée se déroule en pilotage automatique ou presque. Puis soudain vous émergez et vous vous occupez d'une chose qui vous est étrangère en temps normal.

    J'avais presque fini ma petite bouteille d'eau et ne voulant pas jeter le peu qui restait, je me suis dit que les plantes du bureau avaient soif. Sur les meubles bas, trônent les plantes vertes et parmi elles il y en a une très colorée qui donne de la couleur à l'ensemble. Vu sa beauté fragile je me précipite vers elle tout en discutant avec un collègue. Il me voit arroser doucement et commence à se marrer : « hé, pas trop d'eau, ça risque de la faire pousser trop vite ! ». Et à ce moment je découvre - l'air ahuri - que j'arrose un plante artificielle ! A l'avenir, je continuerai à comater en ignorant la verdure des bureaux. Mon collègue m'observait, mort de rire.

    fleurburartif1


    mise en ligne 19:20
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    petitsmeurtresalanglaise1 « Petits meurtres à l'Anglaise »

    (Titre original : Wild Target)

     

    Synopsis : Victor Maynard , un assassin vieux et solitaire, vit pour satisfaire sa formidable mère Louisa. Sa routine professionnelle est interrompue quand il se trouve attiré par l'une de ses prochaines victimes, Rose. Il épargne sa vie et obtient inopinément un jeune apprenti dans le processus, Tony.

    Réalisé par Jonathan Lynn avec Bill Nighy, Rupert Grint, Emily Blunt, Rupert Everett, Eileen Atkins, Martin Freeman, Gregor Fisher, James O'Donnell, Geoff Bell, Graham Seed.

     

    Sympathique, des moments drôles et inattendus; un divertissement sans plus. A voir si nous voulez vous détendre et que le temps est humide …

    mise en ligne 15:00
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  • (no comment)

    love-is-in-the-air

    mise en ligne 17:30
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  • Hummm, j'ai bien envie de goûter cette pizza ...

     

    naked pizza guy costume

    mise en ligne 17:22
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  • Décision il y a 24 h de fêter l’anniversaire de deux collègues. Cela faisait très longtemps que nous n’avions pas organisé ce genre de festivité à l’heure du déjeuner. Hier soir je me suis propulsé chez Nico*and Co pour acheter deux bouteilles de campagne champagne et comme je ne bois que de la Veuve Cliq*, le choix était facile. Du coup j’ai téléphoné à Mister Lô pour qu’il achète le même breuvage. Les autres collègues invités ayant à charge de compléter le tableau alcoolique plus celui des amuse-gueules (cidre, crémant, poiré et champagne rosé).

    Retrouvailles à 11h45 autour de la table de réunion du CE (pas prévu pour ça) et là en devisant du DAF jusqu’à moi qui ne fait pas partie de cette direction, nous avons bu avec application et sérieux en dévorant des trucs apéritifs, du saucisson, du pâté en croute et des apéricub*.

    Conversations et plaisanteries y sont allées bon train avec son lot de sous entendus et de plaisanteries semi-gays menées par Mister Lô et rattrapées par les autres. Pas farouches les hétéros quand c’est de l’allusif au 2ème ou 3ème degré et qu'ils ne trempent pas - si je puis dire - dans nos affaires.

    Mais avoir devant le nez 8 ou 9 bouteilles pour 12 personnes et les écluser sans effort apparent laissent des traces. Trop tard pour manger quelque chose à la cantine. Après les cafés nescapsules, il était temps de remonter pour bosser un temps soit peu…surtout qu’il était déjà 14h passé !

    Ils sont calmes et pas très vivaces, mais ils finiront la journée sans speed, cool et rêveur pour certains.

    Demain relâche. Je reste à la maison. J’ai une journée pour essayer de dépatouiller un problème de résiliation d’assurance. Ça c’est pas cool.

    mise en ligne 14:50


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  • Cela faisait un moment que je n'avais mis les pieds au ciné. Quand je dis un moment c'est 1 mois et encore.

    Vu samedi dernier : Inception. Le sujet du film m'attirait mais la bande annonce ne m'avais pas emballé plus que ça. Il faut dire que les effets spéciaux spectaculaires, je m'en méfie. Parfois le meilleur est concentré dans la bande annonce et finalement le film que vous voyez a perdu une certaine saveur. Là ça n'a pas été le cas.

    inception1 Synopsis : Dom Cobb est un voleur expérimenté – le meilleur qui soit dans l’art périlleux de l’extraction : sa spécialité consiste à s’approprier les secrets les plus précieux d’un individu, enfouis au plus profond de son subconscient, pendant qu’il rêve et que son esprit est particulièrement vulnérable. Très recherché pour ses talents dans l’univers trouble de l’espionnage industriel, Cobb est aussi devenu un fugitif traqué dans le monde entier qui a perdu tout ce qui lui est cher. Mais une ultime mission pourrait lui permettre de retrouver sa vie d’avant – à condition qu’il puisse accomplir l’impossible : l’inception. Au lieu de subtiliser un rêve, Cobb et son équipe doivent faire l’inverse : implanter une idée dans l’esprit d’un individu. S’ils y parviennent, il pourrait s’agir du crime parfait. Et pourtant, aussi méthodiques et doués soient-ils, rien n’aurait pu préparer Cobb et ses partenaires à un ennemi redoutable qui semble avoir systématiquement un coup d’avance sur eux. Un ennemi dont seul Cobb aurait pu soupçonner l’existence.

    Réalisé par Christopher Nolan avec Leonardo DiCaprio, Marion Cotillard, Ellen Page, Cillian Murphy, Michael Caine, Joseph Gordon-Levitt , Ken Watanabe, Tom Hardy, Tom Berenger. (extrait in allociné)

     Malgré un début un peu lent – mais peut-être nécessaire pour mieux comprendre la suite – on plonge pour 2h30 dans des actions emboitées dans les rêves des protagonistes. Mais est-ce vraiment un rêve ? Et la réalité ? Jusqu’où nos perceptions nous conduisent-elle ? Comment fonctionne notre cerveau et notre corps qui l’héberge ? Autant de problématiques soulevées.

    C’est un bon film, bien joué et bien réalisé. J’ai aimé. A vous de voir.

    mise en ligne 15:20


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  • Samedi, debout 8h. Attendu en grande banlieue avec RER pour que Lady S m'attrape en voiture. Direction Rouen. Arrivée vers 11h. Mais qu'est ce que tu es allé foutre à Rouen un samedi matin Pouxi (au lieu de faire la grasse matinée) ? Ben, pour allez voir une expo au Musée des Beaux-Arts de Rouen !

    >Et oui, 5 euros l'entrée, pas une seule minute d'attente, pour voir plus d'une centaine de tableaux consacrés aux impressionnistes de l'Ecole de Rouen. En dehors des Monet, Pissarro, Corot, Gaugin, Turner, et des autres on a le bonheur d'y découvrir les impressionnistes , locaux comme Delattre, Frechon, Pinchon, Lemaître qui n'ont rien à envier à leurs confrères et amis parisiens tant leur peinture est aussi prenante que les autres. Il y avait la fameuse série de Monet « Cathédrales » (11 tableaux sur 30) dont je ne suis pas le plus fan. En revanche certains des paysages de Bord de rivière ou Bord de l'eau étaient sublimes. J'aurais bien voulu en accrocher un ou deux chez moi...

    Avant l'expo, visite de la Cathédrale, balade en vrais touristes dans le petit train qui fait un tour de la vieille ville. Déjeuner sur la place où Jeanne d'Arc fut brulée. Et après l'expo, rafraichissement en terrasse puis retour pour la gare. Lady S avait un diner plus loin et filait en voiture et moi un diner sur Paris. Retour sur la capitale par le train. 

    mise en ligne 17:30


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  • Le temps est au stagiaire des mois d'été. Et cette année, en plus des filles on a un garçon. Connaissance du Grand argentier, il est un peu plus jeune, environ la même taille et a peu près le même style. Ce qui a fait encore bavarder mes collègues sur ses préférences amoureuses.

    Je leur ai dit de ne pas s'occuper du futile, je m'en charge. Ce nouveau minois que nous nommerons Mister Lô aime l'humour à plusieurs degrés, le café Nescapsules, (nous avons une machine pour) et plein d'autres choses. Nous avons échangés tous les deux sur l'humour, le café, et la vie à Paris (Mister Lô y réside). J'ai le temps de le découvrir, puisque moi, je ne pars pas en vacances, mais les autres, oui ....

    mise en ligne 17:30
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  • Je suis rentré de vacances … avec le rhume que j’ai attrapé le jour de mon arrivée, que j’ai cultivé pendant deux semaines, dont je pensais m’être débarrassé et qui me tient toujours.

    Du coup je ne suis pas très frais pour les choupinoux de l’été. Mais je survis entre deux séries d’éternuements.

    Sinon, rien de spécial. La chaleur accablante de ces derniers jours, tant chez moi qu’au bureau, me liquéfie complètement. Samedi matin entre deux courses urgentes, j’ai pris le temps d’aller jouer avec un iPad. Oui, bof. Je n’irai pas dépenser mes sous avec cette tablette. J’ai tout - en plus petit - sur le iPhone avec le téléphone en plus.

    Allez, assez joué ! Je vais rentrer, prendre une douche et ne rien faire jusqu’à demain matin.

    mise en ligne 17:40
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  • Je commence par la fin : reçu de Nicoboy une très jolie carte postale d'Islande qui représente des phoques curieux, allongés sur un bout de banquise. Et Nico d'écrire « Comme je sais que tu aimes bien les animaux, j'ai choisi tes préférés. Tu me diras lequel tu préfères. »
    No comment, please ! Ben je crois que lui dirai rien du tout. Sauf si il vient s'allonger avec moi sur la banquise, na !

    Next ... 

    Je l'avoue, je suis en retard sur tous les fronts. Le boulot me bouffe plus de temps que prévu. Je suis retombé sur la série tv « Stargate SG1 » et je ne peux m'empêcher de regarder tous les épisodes qui passent ou presque. Mon PC sous Linux m'a demandé du temps pour mettre les bons trucs au bons endroits. Et maintenant, j'attaque le rangement de mes dossiers informatiques. C'est comme la cave : on garde des tonnes de choses qui ne servent pas et des bizarreries obsolètes !

    Entre deux, vu au cinéma « Tête en friche » tiré du livre de Marie-Sabine Roger.

    « La Tête en Friche »

    tetefriche1 Synopsis : Germain, 45 ans, quasi analphabète, vit sa petite vie tranquille entre ses potes de bistrot, sa copine Annette, le parc où il va compter les pigeons et le jardin potager qu'il a planté derrière sa caravane, elle-même installée au fond du jardin de sa mère, avec laquelle les rapports sont très conflictuels... Un jour, au parc, il fait la connaissance de Margueritte, une très vieille dame, ancienne chercheuse en agronomie, qui a voyagé dans le monde entier et qui a passé sa vie à lire.

    Elle vit seule, à présent, en maison de retraite. Et elle aussi, elle compte les pigeons du parc.

    Entre Germain et Margueritte va naître une vraie tendresse, une histoire d'amour " petit-filial ", et un véritable échange...

    Réalisé par Jean Becker avec Gérard Depardieu, Gisèle Casadesus,Maurane, Patrick Bouchitey, Jean-François Stévenin, François-Xavier Demaison, Claire Maurier... (extrait in allocine)

    Un très beau moment de cinéma. Un jeu simple et naturel de Depardieu et Casadesus, ces deux monstres du cinéma, sans que l'un prenne le pas sur l'autre. Les autres rôles sont tenus avec beaucoup de réalisme et de sensibilité. A voir.

    Je me sauve deux semaines en vacances. Je reviendrai frais et dispo …. pour les choupinoux de l'été.

     mise en ligne 20:30
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  • J’ai quand même bien glandé à la maison pendant ma semaine de vacances.

    Retour au bureau. Les affaires en cours ont bougées et finalement le projet de réimplantation de nos bureaux est repoussé. Tant mieux car j’étais dans le coup (coup tordu de mon boss). Au moins je vais pouvoir reprendre d’autres sujets sans pression excessive.

    Grand bonheur hier soir en attendant mon train. Coup de téléphone de Seb après une longue période de silence. Papotage de tout, de l’important et du futile pendant ½ heure seulement ! L’arrivée du train a abrégé notre conversion qui reprendra bientôt. 

    mise en ligne 15:20
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  • Eh oui, il faut solder ses congés avant le 31 mai. Donc je suis en vacances et je reprendrai le boulot le 1er juin.

    Je reste à Paris. De toute façon, il fait un temps de chien dans le sud, et pour une semaine, j'ai plein de trucs à faire.

    En début d'après-midi j'ai fait un saut chez l'opticien. Cela fait 3 semaines que je traine une ordonnance pour des nouvelles lunettes. J'ai fini par choisir après un temps infini d'hésitations une paire simple mais avec deux paires de branches différentes. Plus bien évidemment une paire de plus pour 1 euro.

    Je vous montrerai tout la semaine prochaine.

    Depuis une heure j'ai éternué au moins 15 fois. Serai-je allergique au pollen de je ne sais quoi ? Cela me ferai bien chier, moi qui ne suis allergique à rien (sauf à la connerie) et qui suis fortement pollué par la ville. Mais je vais être de nouveau en vacances vers le 17 juin et là je me sauve 10 jours dans le sud.

    Je viens de réaliser que je ne serai pas là pour le 21 juin et le 26 juin. C'est pas bien grave dans le sens où je ne me traine plus à la Fête de la Musique ni à la Gay Pride. Mais cette année, je m'étais dit « pourquoi pas... » et je réalise que mon calendrier ne colle pas.

    En rangeant des papiers, je suis tombé sur une lettre d'un de mes ex. Ça fait tout drôle de relire ces lignes. C'est tout à la fois lyrique, puéril, idiot, béat d'amour et en même temps l'émotion d'avoir aimé ce garçon me rend mélancolique. Surtout que cette lettre d'amour est aussi une lettre de rupture, en douceur certes, à mots couverts bien sur, mais une rupture. Et pourquoi cela a foiré ? Je ne sais pas et je me fous de le savoir. J'ai pris cette lettre de 82 et je l'ai remise dans le tas de papiers à trier !

    Comme l'a dit Mick Jagger en parlant des Stones à Cannes au festival : « Nous étions jeunes, beaux et bêtes. Maintenant nous ne sommes plus que bêtes. ». C'est vite dit, je trouve.

    Pour lundi, ça sera une virée à Vaux-le-Vicomte. Le château de Nicolas Fouquet que je n'ai pas vu depuis des années, a ouvert le premier étage et je pense que le temps est parfait pour une virée dans les jardins.

     

    mise en ligne 21:20
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  • Après l’achat de la TV HD, j’ai pas pu résister. Faut dire que Mister A, qui était mon conseiller, m’a aiguillé sur une petite merveille : un boitier multi-média Xtreamer Sidewinder (sans ventilo). Avec des fonctions pour presque tout (il sait pas faire le café). Et pour un prix tout fait raisonnable par rapport à ses caractéristiques et à ses concurrents.

     

    xtreamersidewinder

     

    Site > www.xtreamer.fr

    Présentation sur le site : Le Média Player Xtreamer Sidewinder est le moyen le moins cher de lire, de streamer les fichiers HD (MKV H.264) Films, ou Vidéos crées par les utilisateurs. Il permet aussi d'écouter de la musique numérique de haute qualité et de montrer des diaporamas, des photos en haute résolution à votre famille sur votre téléviseur. L'expérience de la qualité d'image et de la vidéo HD et spectaculaire ainsi que le son audio numérique clair et cristallin. Utilisez la télécommande fournie pour naviguer simplement dans les menus animés du Xtreamer.

     

    mise en ligne 14:55
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  • Reçu dans une newsletter de adventice.com ... une pub pour son sous-vétement ...

    mode PE10 14jga

    Il est 1:45 du mat. Bonne nuit !
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  • Green Zone

    greenzone

     

    Synopsis : Pendant l'occupation américaine de Bagdad en 2003, l'adjudant-chef Roy Miller et ses hommes ont pour mission de trouver des armes de destruction massive censées être stockées dans le désert iraquien. Ballotés d'un site piégé à un autre, les militaires découvrent rapidement une importante machination qui modifie le but de leur mission. Pris en filature par des agents, Miller doit chercher des réponses qui pourront soit éradiquer un régime véreux soit intensifier une guerre dans une région instable. En peu de temps et dans cette zone explosive, il découvrira que la vérité est l'arme la plus insaisissable de toute. L'histoire tourne autour des agissements américains en Irak et de la façon dont le gouvernement provisoire, organisé par l'administration Bush, s'est constitué d'amis loyaux du Président plutôt que de personnalités efficaces et capables. Pourquoi n'avoir placé personne, à la tête du gouvernement irakien, qui sache parler arabe ? Pourquoi n'avoir pas engagé des spécialistes de la reconstruction sociale d'après-guerre ?

    Réalisé par Paul Greengrass, avec Matt Damon, Amy Ryan, Greg Kinnear

    Film vu ce week-end. On connait l'histoire, bien sûr. On connait aussi le mensonge énorme monté de toute pièce par les conglomérats militaro-industriel et pétroliers. Mais on y voit aussi cette faculté de Paul Greengrass, le réalisateur, à montrer l'histoire en train de s'écrire, surtout celle qui traine des ombres, des cadavres, des fous-furieux qui ont un pouvoir. Inutile de vous dire que le film est un film d'action de bout en bout. Et puis j'ai un faible pour Matt Damon...

    Après ça, petit tour à la Fnac et un thé avec madeleines. Lady S. était de la ballade, mais nous n'étions pas aux mieux de notre forme. Rentré tôt à la maison. Petit tour pour acheter un petit poulet de Bresse, cuit à la broche pour le diner. Un délice.

    La semaine qui arrive : trois jours. Cela devrait être supportable.

     

    mise en ligne 23:55
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  • Trois jours de w-e ! Vendredi en chômage partiel. On s'habitue très vite à ne bosser que 4 jours par semaine. Et à la fin de cette semaine, je remets ça. Mais ce n'est pas pour autant que j'avance dans mes affaires perso comme je le voudrais. Le beau temps étant de la partie je n'ai aucune envie de faire des choses chiantes, enfermé chez moi, même si comme en ce moment la fenêtre est grande ouverte et la température super agréable.

    Mister A., avec qui je correspond par mail un jour sur deux, confirme qu'il a bien joué à Euromillions pour nous deux. Faut dire qu'avant son départ, on filait au centre commercial SQY, pour jouer de temps en temps. Uniquement pour les grosses cagnottes. Et on continue, on ne sait jamais. On ne change pas une équipe qui gagne, ouais, qui va gagner !

     

    mise en ligne 18:00
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  • Jean Le Bitoux, ce militant gay fondateur de la première revue gay « Gai Pied », est mort. Il fut une grande figure des années 80 et se battait encore dans les années 2000. Pourquoi j’en parle ? Parce qu’il a fait beaucoup de choses pour que la vie des gays soit moins difficiles. C’était juste une petite pensée pour lui. (Têtu et d’autres évoquent son parcours mieux que je ne pourrai le faire)

    J’ai reçu un mail de Mister A. J’étais super content de lire sa prose. Je me suis aperçu qu’il me manque sacrément. On avait un rythme agréable à vivre à deux au boulot, malgré l’ambiance exécrable. Chacun venait un peu à reculons dans cette boite. Mais la présence de l’autre rendait les journées plus supportables. Faut faire avec.

    Demain, je suis en chômage partiel. Du coup, j’ai un week-end de trois jours. Je me suis fait un programme... Je prends le risque de n’en faire qu’un tiers, mais au moins ce tiers là sera fait.

    mise en ligne 11:20


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  • arbreguy Tous les jours pour aller déjeuner, nous passons presque sous cet arbre en fleurs. Ils sont deux.

    Un blanc et un dans les tons rouges. Il y a même un banc à coté, histoire de faire une pause au retour.
    Le printemps s'installe franchement.

    Aussi j'ai cueilli photographiquement une branche pour le bandeau de ce blog.

    Quand les fleurs tomberont, vous le saurez sans que je vous le dise.

     

    mise en ligne 23:55

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  • Jeudi

    Nicoboy est arrivé au resto avec un rhume, mais comme il m'avait averti de la chose et demandé par sms du doliprane et du whisky, j'ai apporté du doliprane et des mouchoirs!
    Dîner très agréable chez Kaïten. Le resto était blindé et un peu bruyant mais Nico fit
    kaiten2 honneur aux sashimi qui défilaient sous notre nez. Je ne vous raconterais pas tous les sujets évoqués. De toutes façons, comme d'habitude, nous n'avons pas épuisé certains sujets. Et j'ai oublié de lui parler d'autres sujets qui me trottaient en tête... Bah, ça sera pour la prochaine fois. J'étais super content de le voir et c'est le principal.
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    Vendredi

    Lessives et rangement en rentrant du boulot. Du basique nécessaire vu les occupations du w-e.
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    Samedi 1ère partie

    Tournée avec Lady S.

    invitesdemonpere1

    Les invités de mon père

    Synopsis : Lucien Paumelle a toujours eu des convictions fortes. Médecin retraité, il reste un homme d'action, réputé pour son implication dans de nombreuses causes humanitaires. Son engagement le conduit jusqu'au mariage blanc avec une jeune femme moldave, Tatiana, pour lui éviter l'expulsion.

    Mais ses enfants, Babette et Arnaud, s'aperçoivent rapidement que le comportement de leur père n'a plus grand-chose à voir avec les principes qu'il a toujours prônés : malgré ses 80 ans, Lucien aurait-il succombé au charme de sa flamboyante épouse ?

    Tandis que Tatiana et sa fille prennent leurs marques chez les Paumelle, le chaos s'installe dans le quotidien de Babette et Arnaud. Bientôt, ce sont toutes les relations familiales qui sont à redéfinir...

    Réalisé par Anne Le Ny, avec Fabrice Luchini, Karin Viard, Michel Aumont, Raphaël Personnaz...

     

    Comédie bien jouée et interprétée tout en finesse et en humour par des acteurs talentueux et justes. Et puis le choupinet de film, Raphaël Personnaz, waouh, super appétissant.

    kaiten2Déjeuner, devinez où ? De nouveau chez Kaïten ! Je suis un peu accro … mais je vais me calmer au moins pour un bon mois, vu les notes de ma CB.

    Puis après la fraicheur de ce déjeuner, direction l'expo « Turner et ses peintres ».

    Turner2010a Bien sûr vous verrez du Turner, mais aussi tous les maitres, petits et grands, qui ont nourris sa propre peinture, comme Claude Gelée dit Le Lorrain, à qui il voua une admiration sans borne. Je pense que la lumière de Turner a puisé dans la lumière de Claude Le Lorrain. L'expo et intéressante dans le fait qu'elle essaye de suivre le chemin de la pensée et de la créativité de Turner. Vous trouverez peut-être que le trait de Turner est moins fini que celui de ceux qu'il admirait, mais ne vous y trompez pas : Turner ira si loin dans sa quête d'absolu que le sujet à peine tracé, finira par se fondre dans ses couleurs éblouissantes.

    A voir pour ceux qui ont envie d'émotions et de raison. Jusqu'au 24 mai 2010.

    A la sortie de cette expo, traversée du Rond-Point des Champs-Elysées pour se poser au Berkeley. L'endroit est bon chic bon genre, mais on s'en fout. On s'y pose pour boire un thé et non pas pour se montrer. Pas plus cher qu'ailleurs, le thé. Papotage mais le temps passe vite. Ladys S. part pour attraper son train et moi pour faire un saut à la maison avant de repartir à un diner en banlieue. Et je suis sans voiture.
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    Samedi 2ème partie

    Tram et RER, je suis arrivé un peu, franchement à la bourre. L'apéritif bien entamé. J'ai eu le temps de rattraper les autres au Porto.

    Notre Maitre-queue (chef-cuisinier pour ceux qui , bref...), un charmant togolais, avait préparé ce repas. Diner togolais … épicé, très épicé et très bon. Autrefois, les épices me rendaient amoureux et allumeur. Et puis là, rien. Il semblerait que mon abus d’épices puis mon abstinence pour ces volcans en bouches qui ont faillis tuer mon estomac, aient stérilisés un de mes déclencheurs amoureux. Valait peut-être mieux ce soir là… Faudra que je vérifie avec le Togolais....

    Galère pour avoir un taxi par téléphone à 2h du mat. Mais après deux appels sans résultat, le troisième fut le bon.
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    Dimanche, une loque comme d’hab … !

    J’avais pris mes précautions et mes lessives hebdomadaires étaient faites. Je me suis propulsé du lit le dimanche vers 13h vers un p’tit-déj tardif, suivi de mon repassage. Mon déjeuner s’est un peu confondu avec mon diner sur le coup de 19h.

    Une vie de rentier ou une vie de patachon ? L’expression un peu désuète, « vie de patachon », veut-elle encore dire quelque chose aujourd’hui où nos rythmes nous emmènent sans s’occuper des lieux et des heures.
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    Lundi

    Un calme inhabituel. Une partie de mes collègues en vacances et l’autre en chômage partiel. La boite n’est pas en super forme, c’est sûr.

    Mise en ligne 21:40


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  • Je ne sais pas ce que j’ai foutu avec mon biorythme, mais je suis décalé. Je m’endors vers 1h30 du mat et quand le réveil sonne un peu avant 7h, je ne sais plus où j’habite !

    Du coup, je suis zombie et j’arrive dans le potage au boulot. En plus depuis le début du mois, l’horaire d’arrivée maxi est 9h00 au lieu de 9h30. Je suis donc bien en décalage horaire. Faut le faire en ne prenant pas l’avion pour changer de fuseau horaire.

    Je suis un peu crevé et je mange en décalé. Impossible de perdre le moindre gramme. Je devrai. Je ne tiens pas à racheter un pantalon avec une taille de plus. Je vais faire un effort, sinon comment voulez vous que le choupinet ait le moindre regard vers mon élégante silhouette (ça va les mecs, inutile de vous marrer !).

    J’aurai pu vous mettre la pub pour Som*toline Homme … Le mec dort de façon très naturelle bien sûr avec une vue imprenable du torse au ventre (plat of course) et on veut nous faire croire qu’il veut et va perdre 2 cm de tour de taille avec la crème Som*toline Homme. Et à ce moment précis, je me dis qu’on nous prend pour des cons ! Comme d’hab. !

    Oops, déjà la fin de matinée, faudrait que je bosse un peu.

    mise en ligne 11:45

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  • Ben oui, j'ai rien écrit pour le poisson d'avril et pas d'avantage pour les cloches !

    Je suis plongé dans mes lectures.

     

    « L'Evangile selon Pilate » de E-E. Schmitt, qui se lit d'un trait. (et peu importe votre religion ou pas, pour ceux qui auraient de l'urticaire …). C'est l'histoire d'un mec … fils de menuisier, un agitateur, un faiseur de miracles, mis à mort. Trois jours plus tard, au matin de Pâques, Pilate dirige la plus extravagante des enquêtes policières. Le cadavre de ce magicien de Nazareth, a disparu...

     

    « Les fleurs bleues » de Queneau. Deux personnages ; deux histoires imbriquées en rêve ; temps, époques différentes. On saute des tribulations moyenâgeuses de l'un aux siestes actuelles de l'autre, d'une ligne à l'autre. Cela donne un récit déjanté, acrobatique, rabelaisien et drôle.

     

    « À rebours » de J-K. Huysmans.

    (Extrait résumé sur amazon) Des Esseintes, le héros fin de siècle par excellence ! Cynique, misogyne et romantique à l'extrême. Aristocrate oisif, esthète dilettante, isolé, il se livre à une méditation sur l'existence, l'art, la religion, les femmes... Il fouille l'expérience de l'ennui jusqu'à l'écœurement. Son acuité intellectuelle de même que le raffinement de ses sens lui font mépriser le vulgaire tout en éprouvant l'inévitable souffrance d'une sensibilité trop aiguisée. Le personnage de des Esseintes dérange, indubitablement.

    (Extrait de la présentation de l'éditeur) La Bible de l'esprit décadent et de la " charogne " 1900. A travers le personnage de des Esseintes, Huysmans n'a pas seulement résumé, immortalisé les torpeurs, les langueurs, les névroses vénéneuses et perverses du siècle finissant. Des Esseintes est aussi un héros kierkegaardien, à la fois grotesque et pathétique, une des plus fortes figures de l'angoisse qu'ait laissées notre littérature.

    Dans un style, précis sophistiqué et parfait, un texte truffé de références, qui n'offre pas la facilité, mais un plaisir intellectuel intense. Savoureux et difficile.

    Après ça, je pense qu'il faut s'éclater et s'envoyer en l'air avec le premier mauvais garçon venu, histoire de retomber dans le réel charnel et bien vivant.

     

    A propos de mauvais garçon, il y en avait un dans le RER. Fashion victime, les pieds sur la banquette face à lui (ça je déteste), il offrait au regard de ses voisins son corps abandonné dans une posture somnolente très érotiquement provocante. J'exagère peut-être un peu... Il m'en faut pas beaucoup pour voir des choses. Surement que mon voisin a trouvé le bad boy écroulé comme un porc, sans tenue et sans charme, allez savoir.

    De toute façon j'étais arrivé à destination et mon garagiste m'attendait. C'est fait. Je me suis débarrassé de ma voiture. Elle ne me servait plus et avait loupé son contrôle technique. Vu le prix pour tout remettre d'aplomb (égal au prix de la voiture), valait mieux s'en défaire. Maintenant plus de frais d'essence, d'assurance, de réparation, de PV, etc. Tiens, du coup je vais avoir plus de sous, non ?

     

    mise en ligne 23:50


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  • The Ghost Writer

    ghostwriter1 Synopsis : The Ghost, un " écrivain - nègre " à succès est engagé pour terminer les mémoires de l'ancien Premier ministre britannique, Adam Lang. Mais dès le début de cette collaboration, le projet semble périlleux : une ombre plane sur le décès accidentel du précédent rédacteur, ancien bras droit de Lang...
    Réalisé par Roman Polanski, avec Ewan McGregor, Pierce Brosnan, Kim Cattrall

    J’ai aimé. Surtout avec McGregor !

    Je n’irai pas dans la critique dithyrambique ou le blasé lointain. Les critiques que l’on lit ça et là sont très partagées. Le problème c’est qu’on navigue entre les inconditionnels de Polanski et ceux qui attendent du maitre l’exceptionnel à chaque fois. C’est agaçant au possible. Je sais qu’il est difficile d’avoir un regard neuf comme si ce film était le premier d’un inconnu, mais arrêtons d’avoir une arrière pensée en allant voir un film. Même si on est un bon, voire souvent un grand, on ne peut pas être au top à tous les coups. N’attendons pas de nos réalisateurs et acteurs plus que ce qu’ils peuvent donner. C’est jamais simple de jouer la comédie. Les visions du scénariste, du réalisateur et des acteurs sont rarement identiques. Elles convergent et c’est déjà pas mal.

    Tout cela pour vous dire que j’ai pris un réel plaisir à me laisser porter dans ce film. En plus, je suis tombé amoureux de Ewan … ainsi va la vie.

    En sortant du ciné, descente rue de Rennes avec une halte chez Patrick Roger, un chocolatier exceptionnel. Sa boutique est sur le thème de Pâques. Avec un concept étendu : des œufs (normal !) ; des poules ; des souris et un magnifique renard regardant avec envie tout ce décor …. Et le tout en chocolat !

    Puis en continuant à pied cette promenade, découverte avenue de l’Opéra d’une boutique installée depuis octobre 2009 : La cure gourmande. Tout un programme de gâteaux, de chocolat, de calissons et de friandises prêts à êtres mis dans de superbes boites rondes ou rectangulaires décorées aux couleurs de la Provence. La boutique est superbe dans son jaune essuyé, à la manière des boutiques d’antan.

    Comment voulez-vous que les promenades à travers la capitale soient un exercice salutaire. A ce train là, je ne risque pas de perdre le moindre gramme. Ça aussi c’est la vie.

    mise en ligne 14:30


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  • Un dimanche à la campagne…

    J’avais évoqué l’année dernière les départs nombreux de mes collègues. L’ancienne équipe s’était salement raréfiée. Je suis resté proche de Mister A, informaticien, avec qui on a fait souvent des courses ensemble à l’heure du déjeuner, dans le grand centre commercial tout proche. Mais aujourd’hui il quitte lui aussi la société. Et comment je vais faire maintenant ? Surtout qu’il a décidé de vendre son logis et de partir en province. Ça me fera toujours une escale à prévoir, mais c’est pas pareil. Donc avant qu’il s’en aille je suis allé déjeuner chez lui à la campagne, dans un petit, tout petit village. Journée très agréable. J’ai failli louper mon train pour le retour, d’autant que mon timing était serré : je devais voter. La chose fut faite trois minutes avant la fermeture du bureau de vote.

    Comme je déteste les soirées TV électorales, où les mêmes pingouins répondent depuis des années aux mêmes questions idiotes des journalistes, j’ai attendu la fin de soirée pour profiter de mon grand écran.

    Hier, lundi. Pas en forme. Journée zappée.

    Ce matin, grève mais des transports sans trop de retard. Seul hic qui m’a fait flipper : je suis parti de chez moi sans pouvoir verrouiller ma porte. J’avais oublié mon trousseau de clé chez ma sœur et c’est seulement en fin de matinée, qu’elle a fermé.

    Et maintenant je suis sur un dossier bizarre et confus. J’ai pas une super énergie, mais j’avance….

    mise en ligne 15 :00
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  • J’y pensais, j’ai comparé, j’ai attendu, j’ai encore cherché, j’ai calculé. Ça a duré 4 mois, mine de rien ! Et puis hier soir j’ai décidé de casser ma tirelire, et j’ai craqué pour ce magnifique écran plat de 82 cm, à LED. Mon achat a duré 10 mn et je suis rentré en taxi, vu la taille du carton. Ça change de mon ancien tube cathodique. C’est bluffant. Je vais pouvoir revoir certains films en HD avec un plaisir retrouvé.

    sharplc32n

    mise en ligne 10:17


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