• Depuis des années je me dis que j'achèterais bien un détecteur de métaux. J'ai écumé les sites pour me faire une idée et après des clics dans tous les sens je ne savais absolument plus quel modèle pouvait me convenir. Retour à la case départ, un clic sur le modèle, un clic sur la CB et un clic pour le lieu de livraison. Et j'ai reçu l'engin. Un Garrett ACE150, pour débutant. Comme je ne vais pas faire de la détection sur le parquet de mon logis, le détecteur partira avec moi au printemps à la campagne. Je pourrai le tester.
    Et si je trouve un trésor, je ne vous dirais rien du tout  !

    En revanche mon gaydard, qui n'a plus besoin d'être testé lui, a détecté ce matin en attendant un Rer, un charmant mec. Même wagon que ma pomme, mais trop loin et trop de monde pour me faufiler jusqu'à lui. Et dieu sait qu'on était serré dans ce foutu wagon. J'ai mis en route ma zik pour oublier ce trajet de merde, en matant le minet convoité, qui est descendu deux arrêts avant moi. Quelle poisse, j'ai pas assez de trajet pour mener une attaque. Mais l'espoir fait vivre.

    Pink Martini - Amadio Mio

    mise en ligne 23:18


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  • Pas de sortie samedi. J'étais pas très en forme. Mes maux de dents me réveillent la nuit. Pas de cinéma d'autant que Lady S avait très peu de trains à disposition. Donc j'ai fait du ménage tout en douceur. J'ai fait mes courses et j'ai acheté un lapin. J'ai cuisiné la bête avec une recette à moi à la moutarde. Mais je n'ai rien mangé le soir même. C'est tellement bon le lendemain quand toutes les saveurs ont imprégné la chair.

    Un lapin de 1,6 kg pour moi seul, c'est trop. Je suis donc descendu dimanche soir avec le plat de lapin chez ma frangine et là nous étions quatre à table, ce qui est beaucoup plus convivial.

    Demain, au boulot, avec des horaires réduits sur le Rer.

    mise en ligne 23:30
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  • Encore une rage de dent qui me tenait depuis lundi. Mercredi la chose s'étant intensifiée, j'ai foncé chez Maitre Dentiste. Et j'en suis ressorti avec des antibio, un calmant, deux autres rendez-vous et l'espoir de sauver la molaire.
    Au bureau, mes chers collègues et néanmoins langues de p* ont déclaré que j'étais en mal d'amour ou que j'avais contracté une maladie d'amour. Ils ne sont pas très sûr. Moi je suis sûr qu'il me manque un mâle en amour, sinon j'aurais pas mal aux dents.

    A part ça j'ai allumé le chauffage hier. Il commence à faire froid et un mec dans mon lit serai le bienvenu... L'hiver approche. Et le premier qui me suggère de dormir avec une bouillotte, je le mords.

    mise en ligne 18:35
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  • J'aurai pu sortir et courir avec ce choupinou, non ? Et bien j'ai rien foutu aujourd'hui.

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    young man

    mise en ligne 22:50
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  • Mardi, maison. Grève transport et pas envie de me trainer en quête d'un ReR. Vous me direz que mercredi je risque de galérer. En plus je n'ai même plus Mister Lô avec moi pour subir les attentes et faire le trajet. Tant pis !

    Tom a décidé sans me solliciter. C'est génial. En fait je pense qu'il a lu mon article du 25 septembre et qu'il a décidé de m'épargner. Donc, aux dernières nouvelles il ne vient pas dans sa maison bordelaise. Il reste aux US. Silence radio de Mat qui doit être soulagé.

    mise en ligne 22:50
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  • à John Lennon

    Que choisir ?

    Le son qui a percuté mes très jeunes oreilles il y a un moment, celui des Beatles et qui n'a pas arrêté depuis, jusqu'au solo de John...

    http://fr.wikipedia.org/wiki/All_You_Need_Is_Love


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  • (suite d'hier)

    Fin de mission pour Mister Lô et Marge. Pour (re)fêter leur départ – ainsi que l'anniv' du DAF – petit intermède en fin d'après-midi autour d'une flute de champagne et de petits trucs à grignoter. Vers 17h, retour en RER avec Mister Lô. Bonnes vacances à lui et grosse bises. On se reverra fin octobre à son retour pour un déjeuner.

    En attendant et vu le temps d'aujourd'hui je ne peux pas faire autrement que de vous emmener au bord de l'eau. Il faisait quand même 24°C à Paris !

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    evandro-soldati-2
    (Evandro Soldati)
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    mise en ligne 18h50
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  • Mister Lô finit sa mission demain, ainsi que Marge, une autre collègue. Pour fêter dignement leur départ, on s'est tous retrouvé au resto vers midi. Quinze personnes triées sur le volet, cela faisait longtemps que ce n'était pas arrivé. Sacrée ambiance et on n'a pas forcé sur le vin mais le digestif fut doublé. Personne n'était dans un état comateux.

    Le trajet de retour à pied a prit plus de temps qu'à l'aller. En arrivant vers 14h30, c'était 2 cafés nescapsules par personne. Et puis chacun a repris ses activités habituelles, sauf moi qui ai littéralement glandé jusqu'à 16h30, heure à laquelle j'ai décidé de rentrer. Et j'ai embarqué Mister Lô au passage.

    mise en ligne 23h55
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  • Connaissez-vous ces portes-cartes-monnaie-billets, enfin ce truc multi-choses aussi large qu'un livre de poche et plus long, recouvert d'un tissu indéfinissable rose passé et qui regroupe un foule de trucs pour dépenser son argent et gagner des points de fidélité.

    Aux caisses de Monop' à 19h00. La pouffe est devant moi avec des airs de Madame la Duchesse, trépigne et regarde de haut la pauvre caissière en train de se taper les bip-bip des articles scannés. Pov'caissière lève la tête et annonce le total. La pouffe, dans un mouvement qui se voulait certainement élégant, brandi son porte-tout et l'ouvre pour payer. Et voilà que l'objet lui glisse des doigts. La tentative foirée de rattrapage en cascade se solde par une magnifique dispersion de cartes, de monnaie (un paquet), de bazars divers. Stupeur de la pouffe qui hurle presque « touchez à rien, je m'en occupe » puis un ton plus bas « bordel, merde, c'est pas le bon jour... ». Elle me foudroie du regard comme si j'y étais pour quelque chose. J'ai pris mon air le plus absent, les yeux mi-clos et j'ai détourné légèrement la tête du spectacle lamentable d'un ramassage acrobatique de tout le fourbi du porte-tout ! Enervée, elle a ressorti un billet puis a décider de payer en CB.

    Les clients derrière moi s'interrogeaient sur ce cafouillage et n'ont pas hésité à commenter à voix très basse et en termes peu délicats la situation. Deux jeunes étaient morts de rire car ils réécrivaient l'incident en plus loufoque.

    La pouffe est repartie sur ses 7 cm de talons en maugréant et en regardant derrière elle au cas où elle aurait oublié de ramasser quelque chose.

    Et voilà comment j'ai passé un temps fou pour payer 3 malheureux articles.

    mise en ligne 20:40
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  • Journée harassante à lire des pages et des pages concernant une nouvelle restructuration. La 3ème en 5 ans ! Ce qui veut dire crûment que des collègues seront foutus dehors. Exit les bons d'hier devenus les mauvais aujourd'hui. Non, je plaisante. C'est qu'une question de « target », de sous, de marge, juste de la finance. Et encore c'est un bien grand mot. Ce que ça peut être déprimant ce genre de situation. Encore une nouvelle ambiance de merde jusqu'à la fin de l'année, c'est sûr. Du coup, je me sens morose et sans beaucoup d'énergie, d'autant qu'il faisait super chaud dans nos locaux.

    Je suis parti tôt – vers 17h – et bien, le ReR, toujours fantasque, est parti avec 10 mn de retard pour nous larguer 2 stations plus loin. Du coup changement de quai, d'escaliers et de train mais avec les mêmes voyageuses qui racontaient derrière moi leurs démêlés avec leurs chefaillons hystériques « pire que des gonzesses » (sic). A priori elles assumaient « à leurs âges » et le ton était franchement piquant et humoristique. Heureusement pour elles. Elles sont descendues en cours de route et j'ai repris mon état somnolent.

    Pink Martini "Sympathique" (je ne veux pas travailler)

    mise en ligne 19:30


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    endormi1

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  • « The Town »

    theTown Synopsis : Doug MacRay est un criminel impénitent, le leader de facto d’une impitoyable bande de braqueurs de banque qui s’ennorgueillit de voler à leur gré sans se faire prendre. Sans attaches particulières, Doug ne craint jamais la perte d’un être cher. Mais tout va changer le jour où, lors du dernier casse de la bande, ils prennent en otage la directrice de la banque, Claire Keesey.
    Bien qu’ils l’aient relâchée indemne, Claire est nerveuse car elle sait que les voleurs connaissent son nom… et savent où elle habite. Mais elle baisse la garde le jour où elle rencontre un homme discret et plutôt charmant du nom de Doug….ne réalisant pas qu’il est celui qui, quelques jours plus tôt, l’avait terrorisée. L’attraction instantanée entre eux va se transformer graduellement en une romance passionnée qui menacera de les entraîner tous deux sur un chemin dangereux et potentiellement mortel.

    Réalisé par Ben Affleck avec Ben Affleck, Rebecca Hall, Jon Hamm.

    Ben Affleck by Ben Affleck ! 2H d'action sans trucage, dans Boston, avec une belle histoire servie par un jeu d'acteur efficace. A voir.

    Après le ciné, direction la Fnac avec Lady S qui a encore craqué pour des livres. Moi j'ai craqué plus tard pour un choupinou au salon de thé (mais il était pas si choupinou que ça d'ailleurs.)

    mise en ligne 19:30
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    GustavoMendezM

    (Gustavo Mendez)

    mise en ligne 00:35
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  • « 3 fois plus loin » de Jérôme Camut & Nathalie Hug .

    3xplusloin Présentation de l'éditeur : « Il y a des chemins qu’on ne devrait jamais quitter. Des ruines qu’on ne devrait jamais fouiller. Et des secrets qu’on ne devrait pas convoiter. »
    Dans les années 50, quatre scientifiques traversent la jungle vénézuélienne en quête d’une espèce de singes muets. Ce qu’ils vont découvrir va changer le cours de leur vie.

    Amazonie, de nos jours : Nina Scott dirige une équipe de cueilleurs d’essences rares pour l’industrie américaine dans une région contrôlée par les braconniers et les trafiquants de drogue. En s’éloignant du groupe, Nina découvre les vestiges d’un site magnifique, où les singes sont silencieux et les arbres recouvrent des charniers. Alors que la mort frappe ses compagnons, elle est miraculeusement épargnée. Des mines d’émeraudes colombiennes aux bidonvilles de Caracas, des palaces de la côte d’Azur aux confins du désert marocain, Nina va alors s’embarquer dans une aventure qui pourrait mettre en péril sa vie et bien plus encore.

    J'avais dévoré et aimé l'épopée de Malhorne, mais avec ce roman la magie n'est pas totalement au rendez-vous. Restons simple tout de même, car il y a un travail de documentation impressionnant. Le style ou devrais-je dire les styles d'écriture ne m'ont pas séduit. Certaines descriptions m'ont parus très longues à tel point que j'en ai lu certaines en diagonale (c'est pas cool, je sais). Maintenant je ne vous dévoilerai pas l'intrigue. Sachez que c'est un thriller bien ficelé, avec des actions quelquefois violentes tant sur le plan humain que scientifique et au bout un secret pour le futur ...

    mise en ligne 23:30
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  • Démarrage de la journée à 9h par un p'tit-dej de départ à la retraite d'un collègue. L'alcool étant prohibé, il est très tendance de faire ce genre de truc avec discours, applaudissements et cadeaux. Trois-quart d'heure plus tard, notre pince-fesse matinal étant terminé, je suis parti dans une réunion intense et sans concession. Mais à midi, Mister Lô m'a gentiment rappelé qu'on déjeunait au resto. Et nous voilà parti tous les deux. Repas simple - entrée et dessert - et une bouteille d'un Médoc tout a fait correct. Sauf que mon Mister Lô avait un je ne sais quel vague à l'âme et qu'il n'a pas hésité une seconde pour commander deux Get27. Breuvage vert et glacé qui fut offert par le patron dont je pense que c'est une copine.

    Le retour fut joyeusement rigolard, bras dessus, bras dessous. Mister Lô était déchaîné au point qu'il est monté sur un table de réunion. N'ayant pas de casting en vue pour le Banana-Café, je lui ai fait remarquer qu'il était inutile de se déchirer au bureau. L'après-midi fut courte, caféïnée et peu discrète surtout quand Mister Lô a décidé brusquement de s'assoir 10 secondes sur mes genoux pour me susurrer une confidence à l'oreille ! Tête d'une collègue qui passait par là... Il était temps de quitter le bureau. Départ à 16h30. Trajet ReR calme.

    En début de soirée, coup de fil de NicoBoy, qui avait rattrapé ces derniers jours son retard en lecture de blog et écrit des sms. Un grand moment de bonheur à parler, à papoter et à décider d'un diner en novembre. Le où et le quand serons décidés, comme d'habitude, par un échange copieux de mails dont nous avons le secret.

    Soirée : je crois que je vais pas bouger de la TV...

    mise en ligne 20:45
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  • C'est la saison de Tom. Habituellement ses mails inondent ma boite mail en octobre. Cette année c'est un peu plus tôt dans la saison. Je trouve que Tom a prit de mauvaises habitudes depuis plusieurs années. Il commence par des mails de joie à l'idée de venir en France dans sa maison du bordelais. Puis suivent des mails de doutes entre autre sur le thème « si je reviens, c'est pour combien de temps ? ». Ce sont les mails où idées noires et roses se télescopent. Il faut être patient pour tout lire et surtout pour répondre sans trop s'impliquer à ce stade.

    Le plus difficile c'est quand il est sur le point de décider et qu'il demande mon arbitrage. Alors là, je suis dans la merde et le mot n'est pas trop fort. Car cet arbitrage sera l'alibi parfait pour dire à Mat (son mec), que je suis d'accord avec lui. Conneries ! Je hais ce ménage à trois à travers les mails. Car Mat m'écrit aussi. N'y voyez rien d'extraordinaire, je les connais tous les deux et ils ont fait parti de ma vie très intime il y a longtemps (séparément, j'entends).

    Tout ce que je veux moi, c'est qu'ils vivent leurs mois d'octobre sans moi. Sans me prendre la tête. Je trouve que c'est hyper vicieux d'entretenir ce rituel imbécile de l'automne.

    A suivre … de pas trop près.

    mise en ligne 23:00
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  • … fut cette journée. Démarrage ce matin avec un lever en retard. Puis s'est enchaîné la suite du rationnement des RER proposé en même temps que des régulations pour trafic, une jolie panne de matériel et des annonces floues à souhait. Le tout servi tout frais dans le courant d'air d'un quai bourré de monde pendant 55 minutes ! Le pied total.

    J'avais une réunion à laquelle je suis arrivé à la bourre et qui se terminant en eau de boudin plus tard que prévu a flingué mon déjeuné avec Mister Lô. Du coup nous sommes restés au bureau. Il restait 2 yaourts dans le frigidaire de la cafétéria qui ont fait notre pitance avec 4 nescapsules... L'après-midi ne fut pas plus bordélique, mais tout aussi foireuse, décousue, de bric et de broc.

    La pluie est arrivée... Encore un truc à se faire rincer en rentrant ce soir. Mais comme une éclaircie a montré le bout du nez, je me suis sauvé à 17h pour attraper un p*utain de RER qui avait conservé ses horaires élastiques de la veille.

    Et maintenant ? Je suis en pleine forme !

    LittleRichard - TuttiFrutti

    mise en ligne 19:51

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  • Ce matin dans le bus, une passagère se lève pour descendre et laisse une place libre. Une jeune fille (20 ans à peine) à coté de moi me regarde, regarde la place libre et avec gentillesse me demande : « voulez-vous vous asseoir ? » Surpris, j'ai décliné l'invitation. Et elle s'est assise sur le bout des fesses...

    Après coup je me suis demandé si j'avais une gueule de décavé ou si mes cheveux poivre et sel (style Georgesklounait) m'avaient fait passer brutalement dans les jeunes vieux à qui on propose une place dans le bus.

    J'ai raconté l'anecdote en arrivant au bureau et bien évidemment, les intimes du jour m'ont rassuré. Tout allait bien, mauvaise lumière sur ta belle gueule, t'as l'air en pleine forme même si t'as pas encore pris de vacances, etc, etc. Comme langues de p*tes, on fait pas mieux, d'autant qu'ils sont partis en vrille sur un tas d'autres conneries concernant ma libido, ma vigueur sexuelle, j'en passe et des meilleures. Ah les pauvres, il leur en faut pas beaucoup pour s'éclater. Il sont jaloux de mon éclatante et éternelle jeunesse et de mes 10 kilos de trop !

    Mais je me vengerai. De toute façon, demain midi Mister Lô et moi filons au restaurant pour se faire plaisir, na !


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  • Ce matin réveil comme tous les jours et pourtant on est samedi... Mais réveil avec une envie de baise ! Et ça ce voit ! Je me dis que le plaisir passe avant tout, mais en même temps j'ai rendez-vous avec mon banquier et je peux pas arriver en retard. Que faire ? Me faire plaisir ou … Trop tard. Mon corps a décidé de se passer de son cerveau et il est allé au bout de son désir. Banquier attendra. Puis quand je me suis étiré voluptueusement sous une douche bien chaude, j'ai réalisé que j'avais prévu large pour l'heure du réveil. Du coup je suis arrivé dans les temps à la banque. Le jeune choupinou qui « gère » mon compte m'attendait tout sourire. Rendez-vous détendu, sans problème. Ravi de me rencontrer me dit-il, on doit se revoir vers la fin de l'année pour peaufiner mes finances. Suis rentré pour le déjeuner. Puis menu tâches ménagères.

    En fin d'après midi, direction la Biennale des Antiquaires qui se tient au Grand Palais. Lady S avait prévu nos entrées ainsi que pour ma frangine. Je ne cours pas dans ce lieu tous les deux ans, mais on y découvre de vrais merveilles et on fait des kilomètres. Des objets superbes. Inutile de demander les prix, c'est hors de portée de mes finances. Cependant ma frangine qui ne se retient pas forcément question dépenses, n'a pas hésité pour acquérir un pot à crème du XVIIIe siècle de la Compagnie hollandaise de Indes Orientales (VOC). Et vlan pour 500 euros dans le commerce. Mais c'était son cadeau d'anniversaire. Et puis c'est le genre d'objet qui prend de la valeur au fil des années, alors, pas de problème. On est ressorti vers 20h pour récupérer un autobus direction at home. Je suis un peu crevé.

    mise en ligne 22:15
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  • Cela fait deux jours que j'arrive à la bourre à mon bureau. Le fait en soit ne dérange personne mais je n'ai aucune envie de travailler. J'sais pas pourquoi. Le temps ? Mon humeur changeante ? En tout cas Mister Lô est dans le même état d'esprit. Décision immédiate à 11h : on déjeune au resto.

    A pied il faut un quart d'heure pour y accéder, mais cela change de notre éternel va et vient entre le self d'entreprise et nos locaux. A 12h15 nous étions installés et la commande était passée. Déjeuner correct, accompagné d'un très agréable Brouilly. La bouteille y est passée. Bavardage sur nos vies, nos envies, nos phantasmes, sur les autres, matage vers les autres tables, mais il n'y avait qu'un seul choupinou à déguster ! Un très agréable moment avec Mister Lô, complice de nos conneries.

    Finalement on ne se quitte que pour rentrer at home, et encore on fait le trajet du soir ensemble et on s'envoie des sms pour se dire grosses bises et à demain.

    mise en ligne 19:50
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  • mal-can35Pourquoi vous annoncer la livraison d'une nouvelle machine à laver le linge ? Primo : j'avais annoncé la mort subite de l'ancienne et deuxio, j'ai tourné, viré, pour la deuxième et je suis tombé en arrêt devant un petit modèle ravissant pour 3,5 kg ! Et ouais, j'ai craqué complètement comme si j'avais découvert un objet rare. Qui a dit « Little is beautiful »? ou un truc du genre (larg.51, haut.70).

    La livraison était annoncé entre 8h et 13h. J'étais sur le pied de guerre à 7h40. Tout excité d'attendre ma machine qui est arrivé à 9h30. Après une lecture assidue du mode d'emploi, j'ai lancé un cycle court à vide. Et fasciné, j'ai regardé comme un idiot les indications défilant sur l'écran digital. Comme si c'était la première fois que j'achètais quelque chose. Il faut dire que j'entretiens parfois des rapports très forts avec certains objets aussi différents par nature qu'un stylo-plume et une machine à laver. Et je ne sais pas pourquoi. L'esthétique de l'objet y serait-il grandement pour quelque chose ? Certainement en partie. Mais si je perds ou si je casse l'objet, rien de dramatique ne se passe. Je suis contrarié un moment, mais je n'en fait ni une catastrophe, ni un regret éternel. Je passe à autre chose. br />

    Bon, et maintenant je vais lancer une lessive, une vraie. Je suis d'un futile quelquefois….


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  • bruit-glacons

    "Le Bruit des Glaçons"

    Synopsis : C'est l'histoire d'un homme qui reçoit la visite de son cancer. " Bonjour, lui dit le cancer, je suis votre cancer. Je me suis dit que ça serait peut-être pas mal de faire un petit peu connaissance... "

    Réalisé par Bertrand Blier avec Jean Dujardin, Albert Dupontel, Anne Alvaro, Myriam Boyer, Audrey Dana, Christa Theret, Emile Berling, Geneviève Mnich, Eric Prat, Farida Rahouadj.

    Je pensais avoir fini ma période noire et voilà ti-pas que lady S a eu envie de voir ce film. J'étais pas très chaud, car je n'aime pas des masses J. Dujardin. Finalement les acteurs jouent bien, le film est bien foutu, quelques répliques drôles ou mordantes émaillent le récit.

    Je dois ajouter que Dujardin, écrivain, reçoit son cancer en la personne de Dupontel, mais que Anne Alvaro, sa bonne à tout faire reçoit aussi le sien en la personne de Myriam Boyer. Nous voilà donc partis dans un histoire où bientôt le combat des vivants prendra une dimension toute particulière quand Dujardin et Alvaro vivront un amour improbable pour échapper à la mort. Mais ce couple réservera au duo mortel un sacré surprise. Tel est prit qui croyait prendre, en quelque sorte.

    mise en ligne 22:23


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  • J'ai passé un milieu de nuit dingo. Une subite rage de dent, comme ça, sans raison apparente. Pas d'antalgique sous la main. Et au bout d'une heure, la douleur entre dent et gencive était partie. Bizarre.

    Journée chiante au boulot avec mon élève, qui est obsédé du détail et des règles, normes et autres joyeusetés. Il me raconte son ancien job par petits bouts …. c'est d'un lourd. Je suis pas son psy, bordel ! Mais j'ai l'impression que ça l'aide à reprendre pied dans le monde du travail après plusieurs mois de chômage. J'essaie d'être patient et quand je peux plus, je me sauve en mission ultra-rapide auto-programmée. Allez, plus que vendredi et c'est le w-e. Yeessss !

    mise en ligne 22:02
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  • Pas fait grand chose ces temps derniers. Hier, jour de galère pour les transports, j'ai pris un jour de congé. Comme Mister Lô en avait fait autant, nous avons déjeuné en terrasse entre ombre et soleil, dans un petit resto près de Beaubourg.

    Ce matin les coups de téléphone et les sms ont afflué. C'est mon anniv ! Lady S a ouvert le feu dès 8h du mat. Mister Lô m'a offert un parfum superbe (DG, the One for Men) au bureau avec bise en prime. J'ai trouvé la chose très touchante d'autant qu'il n'est là que depuis l'été et qu'il va partir début octobre.

    Ce soir diner chez ma frangine.

    Samedi, déjeuner en ville et diner ailleurs...

    Dimanche... certainement grand dodo.

    mise en ligne 19:13
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  • Un bail que je n'avais pas mis les pieds au théâtre. C'est d'autant plus bête qu'on trouve sur le net des sites qui proposent plein de pièces pour une somme très modique. Bien sûr ce ne sont pas les grands classiques du répertoire mais ce sont des œuvres légères, drôles, grinçantes, qui nous emmènent pour un moment de détente et de divertissement.

    Allez-y sans hésitation. 1h15 au rythme enlevé par un trio mortel ! Et dépêchez vous, vous n'avez que jusqu'au 8 septembre pour vous propulser au théâtre Les Feux de la Rampe dans le 9ème arrondissement de Paris. Faites un tour sur le site http://www.billetreduc.com pour avoir des places à taux réduit.

    La voilà présentée, mieux que je n'aurais pu le faire.

    « Si je t'attrape, je te mords mort »

    theatre09 Une pièce "mortellement" drôle qui vous fera voir la vie différemment !

    Caroline et Franck forment un couple classique, donc en crise.
    A la limite de "l'implosion sentimentale", ils n'ont rien trouvé de mieux que de séparer leur appartement en deux ! Un soir, ils reçoivent la visite inattendue de la Mort, maladroite, sensible et drôle et finalement pas si méchante que l'idée que l'on veut bien s'en faire !

    Si vous aimez les quiproquos, les vraies fausses révélations, l'humour noir mais pas trop, les disputes inutiles, les retournements de situations et les dénouements totalement imprévisibles, alors n'hésitez plus, venez découvrir en couple, entre amis ou en famille, cette joyeuse comédie originale qui fauchera toutes vos idées reçues sur la "grande lumière blanche au bout du couloir " !

    Succès ! 200ème !

    Auteur : Olivier Maille . Artistes : Marie lelong, Olivier Maille, Rui Silva. Metteur en scène : Olivier Maille
    (in billetreduc.com)

    mise en ligne 23:55
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  • Frederika Stahl, Fast moving Train

    ... cette fois-ci c'est moi le prof. Depuis mardi matin je suis chargé de former un mec sur mon boulot. Je me suis dit que cela pouvait être marrant. Ben pas du tout. D'abord, je suis obligé de bosser en continu. Je ne peux pas encore lui dire : «Prends ce dossier et commence. On en parle dans deux heures ». En plus je dois faire attention à hiérarchiser l'info. Je me suis aperçu que je sautais d'une chose à l'autre un peu trop souvent. Je pense qu'il doit penser que je suis brouillon et bordélique dans ma tête. Détrompez-vous, pas du tout. Enfin, je crois.

    Heureusement j'arrive à faire deux pauses cafés avec Mister Lô car mon élève ne boit pas de café.

    Résultat, je suis crevé de tenir le crachoir à ce mec, sympa au demeurant, mais sans intérêt. En plus je croyais qu'on était mercredi aujourd'hui. Du coup je suis ravi d'avoir gagné un jour. Je crois que la semaine prochaine, je vais le refiler au moins une journée à un autre collègue.

    En plus ça va être une semaine hachée. Je ne travaille pas mardi et jeudi je suis en réunion à l'extérieur de la boutique.

    mise en ligne 22:45


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  • Une petite carte postale de mes vacances …. C'est le dernier jour et demain c'est déjà septembre.

    (je mets pas de légende, je pense que c'est inutile.)

    toureffeil

    mise en ligne 23:50


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  • Je me suis réveillé encore dans nuit. Puis la nuit est devenue plus claire et le temps de frapper mon réveil (et oui, je le frappe au hasard pour choper le bouton d'arrêt de la sonnerie), le jour était déjà là. Mon humeur était sereine malgré un point douloureux sur le crane. Un petit Nescapsules et le tour était joué.

    Arrivée au bureau dans le cirage habituel, mais serein. Je ne sais plus ce que j'ai fait très exactement tant les tâches étaient morcelées, mais tout le petit monde était présent sans stress ni crispations pendant plus de huit heures. Fait rare qu'il faut souligner.

    Ce fut une bonne journée …
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    rothko8 (Mark Rothko)

    mise en ligne 20:00
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  • Ils sont rentrés. Paris s'est rempli de ses habitants. Monop et les autres magasins étaient blindés. J'ai mis un temps fou samedi pour faire trois courses. J'étais comme un zombie. C'était peut-être la conséquence de la semaine morbide qui vient de s 'écouler. Un connard a grillé un rouge alors que je traversais et j'ai eu la trouille de ma vie. J'ai fait deux rêves de mort. J'ouvre la télé et je tombe (sans jeu de mot) sur un film de cimetière. Au bureau, une discussion à laquelle je ne participe pas, s'ouvre sur pompes funèbres et incinération. J'ai l'impression de flirter avec un karma de mort. Ça donne un impression bizarre.

    Et l'après-midi, avec ce temps couvert, n'engendre pas la joie. Je crois que je vais me mettre au lit dès que le soleil sera couché...

    mise en ligne 18:25


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  • Anniv' de ma frangine. Elle a eu droit à son sms à 7h30 du matin. Elle était ravie. J'étais le premier et pour cause, elle est en vacances. L'heure du lever n'est pas la même que la mienne.

    Je sens une petite baisse de tonus. Ce temps variable et mes nuits en pointillés pompent puisent dans mes réserves (je raye le verbe pomper qui pourrai donner à penser que...bref).

    Je suis arrivé au bureau à 9h et en suis reparti à 16h30 avec Mister Lô. Oui je sais, ça fait une petite journée. Mais pour 2 coups de téléphone, 3 pauses café et 2 courriers, ça valait pas plus.

    J'ai plongé dans un quatrième livre en rentrant : « Les arpenteurs du monde » de Daniel Kehlmann et Juliette Aubert.

    J'ai toujours pas décidé quelle machine à laver j'achète. Du coup je me dis que si je modifie toute la cuisine, je peux acheter aussi un lave-vaisselle. Je suis en peu indécis. J'ai toujours pas changé mon cumulus...

    En fait, je crois que je n'ai aucune envie de bricoler. Ça me gonfle à l'extrême. Si quelqu'un connait un magicien ou veut bien s'occuper de tout ce bazar, je pars en vacances pour laisser le champ libre. Pas d'amateur ? Dommage j'avais une surprise. Tant pis.

    mise en ligne 19:05


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