• J'attendais que la boutique de retouche ouvre ses portes, quand à travers la vitrine du magasin de l'autre coté de la rue, je l'aperçois. Un saut plus tard j'étais dans le magasin.

    Il est venu vers moi, très affable. Ma vue de m'avait pas trompé. C'était bien un choupinet au sourire éclatant sur une dentition parfaite. Vous remarquerez combien cette jeune génération soigne ses dents. Une visite du magasin, puis un tour au sous-sol dans un autre espace d'exposition et retour au rez-de-chaussée.

    Lecture en diagonale du catalogue, commentaires enjoués, quelques infos perso, etc. Il habite Paris, du coté de Bercy. Je lui est laissé mes coordonnées (commercial oblige) et il m'a incité à revenir quand je voulais. Bien sûr, un café est prévu à ma prochaine visite. Puis un au revoir plein de promesse, accompagné d'une poignée de main ferme, virile et si douce.

    J'ai retraversé la rue. La boutique de retouche était enfin ouverte. J'ai donné mes pantalons, prononcé quelques mots, mais mon esprit était encore dans l'autre magasin.

    Ah oui, vous avez raison, je ne vous ai pas dit ce que vendait le choupinet. Des aménagements de cuisines et de salles de bains...


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  •  mec


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  • Petit Palais : « Carl Larsson, l’imagier de la Suède »

    expo Carl Larsson

    L’exposition «Carl Larsson, l’imagier de la Suède» au Petit Palais présente pour la première fois en France la grande figure de l’art suédois des années 1900. Cent vingt œuvres - aquarelles, peintures, estampes et meubles - plongent le visiteur dans une vie domestique paisible et une campagne tout aussi policée, symbole de l’art de vivre à la suédoise. Grâce aux prêts exceptionnels consentis par le Nationalmuseum de Stockholm et la maison de Larsson à Sundborn, le public découvrira les différentes facettes de son art. Travaillant aussi bien la peinture, l’aquarelle et la peinture murale, c’est surtout pour son travail d’illustration que Carl Larsson (1850-1919) a connu de son vivant une gloire internationale qui s’est maintenue jusqu’à nos jours.

    L’artiste eut pourtant une toute autre ambition. A l’issue de sa formation académique à Stockholm, il séjourna à partir de 1877 et pour plusieurs années en France, d’abord à Paris en quête d’une reconnaissance qu’il tarda à obtenir, puis à Grez-sur-Loing à partir de 1882. Il prit tout de suite une place déterminante dans la colonie d’artistes anglo-saxons et scandinaves qui s’y était implanté non loin de la forêt de Fontainebleau. Il y découvre une autre vision de la nature et explore avec sensibilité la technique de l’aquarelle pour rendre les effets de lumières vaporeux et le travail paisible des paysans dans les potagers. De retour en Suède en 1889, il obtient de réaliser des décors monumentaux important, dont celui du grand escalier du Nationalmuseum de Stockholm. Cette production très importante est évoquée dans l’exposition par des dessins et esquisses préparatoires d’une grande vivacité.

    Larsson sut finalement s’imposer dans un registre inédit : la description de sa vie familiale dans l’univers coloré de sa maison du village de Sundborn, dans la région pittoresque de Dalécarlie. L’album « Notre maison » et les suivants qui connurent une grande diffusion, ont inspiré les jeunes couples sur le point de fonder un foyer. Ils firent de lui le porte-étendard d’une nation fière de son confort domestique et de ses valeurs humanistes. Ces aquarelles continuent d’ailleurs d’influencer la décoration intérieure en Suède. Mais le caractère fascinant de ces images repose également sur une science du cadrage moderne qui distingue sa production de celle de ses suiveurs. Le Petit Palais est heureux de présenter, pour la première fois en France, toute la force et la séduction de son invention graphique exceptionnelle.

     (in http://www.petitpalais.paris.fr)


    Carl Larsson - Petit Palais par paris_musees


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  • Les Impressionnistes en privé au musée Marmottan Monet
    Cent chefs-d’œuvre de collections particulières

    Marmottan Coll. privéesDu 13 février au 6 juillet 2014

    Le musée Marmottan Monet présente ainsi du 13 février au 6 juillet 2014 une exposition intitulée : Les Impressionnistes en privé, réunissant exclusivement des œuvres en provenance de collections particulières. L’historienne de l’art, Claire Durand-Ruel Snollaerts et Marianne Mathieu, adjointe au directeur du musée Marmottan Monet chargée des collections, assurent le commissariat de cette exposition.

    Cinquante prêteurs se sont associés avec enthousiasme à ce projet et ont accordé des prêts en provenance de France, des Etats-Unis, du Mexique, de Suisse, de Grande-Bretagne et d’Italie. Cette exposition offre l’opportunité unique au public de découvrir des tableaux pour la plupart jamais vus. Une centaine de chefs-d’œuvre impressionnistes constitue un ensemble d’exception. Quatre-vingt peintures et une vingtaine d’oeuvres graphiques par Jean-Baptiste-Camille Corot, Eugène Boudin, Johan Barthold Jongkind, Édouard Manet, Frédéric Bazille, Claude Monet, Pierre-Auguste Renoir, Edgar Degas, Camille Pissarro, Alfred Sisley, Gustave Caillebotte, Berthe Morisot, Armand Guillaumin, Paul Cézanne, Mary Cassatt, Eva Gonzalès et Auguste Rodin permettent de retracer une histoire de l’impressionnisme à travers des œuvres inédites.

    Le parcours de l’exposition présente d’abord les prémices de l’impressionnisme. Il continue avec son éclosion vers 1874, puis avec les années 1880-1890 quand le groupe des impressionnistes se disloque pour laisser place au génie créatif de chacun de ses membres. Enfin, l’œuvre ultime de maîtres tels Pierre-Auguste Renoir, Camille Pissarro, Alfred Sisley et Claude Monet, qui, par bien des égards se situe au-delà de l’impressionnisme, ouvre une fenêtre sur l’art moderne et clôt la manifestation.

    L’accrochage, chronologique, commence par des paysages de Jean-Baptiste-Camille Corot, Johan Barthold Jongkind et Eugène Boudin, dont, de ce dernier, La Plage de Bénerville, d’un format hors du commun. Le Bar aux Folies Bergères d’Édouard Manet d’une part, et La Terrasse à Méric de Frédéric Bazille d’autre part concluent cette première partie. Chaque impressionniste est ensuite représenté à travers une dizaine de peintures couvrant l’ensemble de sa carrière. Sur les planches de Trouville, hôtel des Roches Noires de Claude Monet (1870), en passant par cette jeune inconnue portraiturée par Berthe Morisot en 1871, une Meule de Camille Pissarro (1873) ou Le Jardin de Maubuisson de Paul Cézanne (c. 1874), sont quelques exemples éblouissants de la section dévolue aux années 1870. Le Tournant du Loing à Moret d’Alfred Sisley (1886), Les Jeunes filles au bord de la mer d’Auguste Renoir (vers 1890), le double portrait de Pagans et le père de l’artiste d’Edgar Degas (vers 1895) ou Les Dahlias, le jardin du Petit-Gennevilliers de Gustave Caillebotte (1893), sont en revanche des travaux typiques de la fin du XIXème siècle. A côté de ces toiles, l’exposition dévoile deux exceptionnelles sculptures, La Petite danseuse de 14 ans par Edgar Degas et Le Penseur, en terre cuite, d’Auguste Rodin, représentatifs d’une sélection digne des plus grands musées.

    Cette exposition, unique et incontournable, témoigne de la présence et de l’engouement toujours vifs des maîtres impressionnistes au sein des collections privées.

    (in site http://www.marmottan.fr)


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  • Monuments Men

    cinema : Monuments menLa plus grande chasse au trésor du XXe siècle est une histoire vraie. Monuments Men est inspiré de ce qui s’est réellement passé. En pleine Seconde Guerre mondiale, sept hommes qui sont tout sauf des soldats – des directeurs et des conservateurs de musées, des artistes, des architectes, et des historiens d’art – se jettent au cœur du conflit pour aller sauver des œuvres d’art volées par les nazis et les restituer à leurs propriétaires légitimes. Mais ces trésors sont cachés en plein territoire ennemi, et leurs chances de réussir sont infimes. Pour tenter d’empêcher la destruction de mille ans d’art et de culture, ces Monuments Men vont se lancer dans une incroyable course contre la montre, en risquant leur vie pour protéger et défendre les plus précieux trésors artistiques de l’humanité…

    avec George Clooney, Matt Damon, Cate Blanchett, John Goodman, Jean Dujardin, Hugh Bonneville, Bob Balaban.(in allocine).


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  • Je me demande ce que doit penser le garçon de café, du cirque que je lui fais. En prenant un euro.millions, j'ai lancé "gardez moi du champagne au frais ! cette fois-ci, c'est moi qui gagne".
    C'est le genre de réflexion idiote qu'on dit un soir en passant. Mais chaque fois que je prends un ticket, le garçon me regarde et me rappelle que le champagne attends. Et moi je renchéris en lui balançant une petite vanne.
    A y regarder de plus près, il a du charme ce mec. Tatouages sur les bras, piercing oreille, cheveu noir bien droit. Un beau sourire sur une dentition superbe. Je crois que si un soir il me propose de boire du champagne sans avoir gagné, je dis oui tout de suite !

    Mais dois-je attendre ? Et si je faisais le premier pas ? Attendre, attendre, c'est pas un job. J'suis pas une potiche, hein ? Au prochain ticket acheté, je me lance, na.


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  •  petit-dej


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  • Et voila t'i pas que la plate-forme m'écrit "on s'ennuie sans vous" ! Effectivement, je n'avais pas posté depuis le 30 janvier. D'autres sites (pricem...) font de même en ajoutant un truc du genre "nous étions si bien ensemble...". On croit rêver !

    Patience. Demain je vais au ciné, en principe. Donc je vous dirai ce que j'ai vu.


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  • Le loup de Wall Street. L’argent. Le pouvoir. Les femmes. La drogue. Les tentations étaient là, à portée de main, et les autorités n’avaient aucune prise. Aux yeux de Jordan et de sa meute, la modestie était devenue complètement inutile. Trop n’était jamais assez…

    Réalisé par Martin Scorsese avec Leonardo DiCaprio, Jonah Hill, Margot Robbie. (in allociné)

     

    Plutôt que de plagier, je préfère partager cette critique …. Je deviens fainéant...

    Critique de Le Loup de Wall Street - par traversay1 - note : 4.5 - Excellent

    A 71 ans, Martin Scorsese, qui n'a plus rien à prouver (si ce n'est à lui-même ?), aurait pu signer un film tranquille et gentil comme son Hugo Cabret. Moyennant quoi, avec Le loup de Wall Street, le voici qui se lâche totalement, outrepasse les limites du bon goût et réalise une véritable bombe cinématographique qui ferait passer Tarantino ou Oliver Stone pour des auteurs de bluettes. Énorme, excessif, démesuré, extravagant, ce portrait d'un courtier en bourse qui ne vit que pour l'argent, la drogue et les femmes. A côté, les gangsters des Affranchis ont presque l'air de garçons en culottes courtes. Cynisme et cupidité à tous les étages, Scorsese se délecte des dérives outrancières et scandaleuses de son "héros" sans morale, si ce n'est celle du plaisir. Il y a dans Le loup de Wall Street une bonne demi-douzaine de scènes d'anthologie dont la mise en scène épouse les contours avec une virtuosité sidérante. Dans cette symphonie fantastique, Leonardo DiCaprio repousse lui aussi ses limites. Il est gigantesque, mêmes ceux qui ont toujours émis des doutes sur son talent ne pourront qu'en convenir. De très bons seconds rôles le secondent, la plupart 'inconnus au bataillon excepté Matthew McConaughey, dévastateur, et notre Jean Dujardin, hilarant. Scorsese a remis les pendules à l'heure : le plus grand metteur en scène américain vivant, c'est bien lui. (28-12-2013)


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  • Samedi, virée express à l'expo du Musée d'Orsay « Masculin/Masculin ».

    Beaucoup de monde d'autant que c'étaient les prolongations. Donc pas beaucoup de place pour circuler ou pour regarder à bonne distance les œuvres présentées. Ce fut néanmoins intéressant. Comme je le dis toujours, entre regarder une œuvre en reproduction – si fidèle soit-elle – et un original, y'a pas photo. Peintures, sculptures, dessins et photos venaient des quatre coins du monde. Et c'était la grande force de cette expo. J'ai acheté le catalogue (un pavé exhaustif).

    Présentation (sur le site du musée):

    Alors que le nu féminin s'expose aussi régulièrement que naturellement, le corps masculin n'a pas eu la même faveur. Qu'aucune exposition ne se soit donné pour objet de remettre en perspective la représentation de l'homme nu sur une longue période de l'histoire avant le Leopold Museum de Vienne à l'automne 2012 est plus que significatif. Pourtant, la nudité masculine était pendant longtemps au fondement de la formation académique du XVIIe au XIXe siècles et constitue une ligne de force de la création en Occident.

    S'appuyant sur la richesse de son propre fonds (quelques sculptures inconnues) et des collections publiques françaises, le musée d'Orsay se donne donc comme ambition avec l'exposition Masculin / Masculin d'approfondir, dans une logique à la fois interprétative, ludique, sociologique et philosophique toutes les dimensions et significations de la nudité masculine en art.

    Parce que le XIXe siècle puise au classicisme du XVIIIe siècle et que son écho résonne jusqu'à nos jours, cette exposition élargit l'horizon traditionnel du musée d'Orsay pour embrasser plus deux siècles de création, dans toutes les techniques, peinture, sculpture, art graphique et bien sûr photographie, qui auront une place égale dans le parcours.


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  • Ben, oui. Les rois ça se fête. En plus de la galette on peut toujours tremper ses lèvres dans un peu de champagne. Ça ne gâche rien. Et puis il y a l'espoir de sentir en bouche un objet ferme qui (vicieux...) n'est autre que la fève. Ainsi vous êtes consacré "Roi" et vous devez choisir votre roi. Pardon votre reine. Enfin, qui vous voulez. Cela dépend aussi de ceux qui vous entoure.  

     


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  • Une année qui commence... Tous mes vœux ! En fait, je m'en fous. J'en ai un peu marre de répéter tous les ans les mêmes conneries. Faites ce que vous voulez de votre année car ceux ne sont pas mes vœux qui vous aideront. Vous seul décidez que cette année et les suivantes d'ailleurs, soient bonnes ou pas. Et ne me parlez pas des listes à la con des bonnes résolutions, alibis stériles de notre conscience . Maintenant que mon pessimisme fielleux est passé, passons à autre chose.

     

    mec (http://hotfitguys.tumblr.com/post/72115418461).


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  • pere noel


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  • cineXavier a maintenant 40 ans. On le retrouve avec Wendy, Isabelle et Martine (quinze ans après L’Auberge Espagnole et dix ans après Les Poupées russes).

    La vie de Xavier ne s’est pas forcément rangée et tout semble même devenir de plus en plus compliqué. Désormais père de deux enfants, son virus du voyage l’entraîne cette fois à New York, au beau milieu de Chinatown. Dans un joyeux bordel, Xavier u cherche sa place en tant que fils, en tant que père… en tant qu’homme en fait ! Séparation. Famille recomposée. Homoparentalité. Immigration. Travail clandestin. Mondialisation. La vie de Xavier tient résolument du casse-tête chinois ! Cette vie à l’instar de New York et de l’époque actuelle, à défaut d’être cohérente et calme vient en tout cas nourrir sa plume d’écrivain…

    Film de Cédric Klapisch avec Romain Duris, Audrey Tautou, Cécile de France, Kelly Reilly, Sandrine Holt.

    Aimable comédie avec de bons acteurs et quelques répliques drôles.


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  • bomec du samedi

    Logan McNeil


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  • Impossible de passer à coté de la mort de Mandela. Il y eu peu d'homme comme lui à travers l'histoire.

    Je souhaites maintenant que l'Afrique du Sud poursuive sa route vers les idéaux portés par cet homme.


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  • Georges Braque au Grand Palais.

    "Le Grand Palais présente la première rétrospective consacrée à Georges Braque (1882-1963) depuis près de quarante ans. Initiateur du cubisme et inventeur des papiers collés, il fut l’une des figures d’avant-garde du début du XXe siècle, avant de recentrer son œuvre sur l’exploration méthodique de la nature morte et du paysage. L’exposition propose un nouveau regard porté sur l’œuvre de l’artiste et une mise en perspective de son travail avec la peinture, la littérature ou la musique de son temps."
    (extrait, in site de l'expo).
     

    (Note : Je ne raffole pas du tout de cette affiche ...)

    Il est vrai que cet homme discret n'a pas fait souvent, comme d'autres de ses contemporains, la "une" de l'actualité people de son temps.
    Il est né en 1882, a fait la guerre de 14, en est revenu blessé et a peint sans relâche auprès d'une seule épouse, jusqu'à sa mort en 1963. Un être qui fut à l'origine de l'art du XXème siècle, au même titre que Picasso.
    Les deux hommes se connaissaient très bien et ont "travaillé" ensemble une dizaine d'année jusqu'à l'incorporation de Braque .


    En quoi cette expo est différente de quelques autres ? Du fait que cela faisait longtemps que les œuvres de Braque n'avaient pas été exposées en un si grand nombre. Les tableaux et objets sont venus du monde entier. Plus de 250 œuvres - tableaux, sculptures, etc., garnissent les salles les unes après les autres. Certaines salles ne couvrent que 2 à 3 ans de son travail.
    C'est extraordinaire de partir de ses paysages très "Cézanne" pour glisser de la période Fauve vers le Cubisme avec cette recherche acharnée d'une nouvelle vision, voire d'une nouvelle représentation du quotidien qui nous entoure. Il sortira du cubisme pour continuer à explorer encore et encore, et faire des allers-retours avec ses débuts.
    Il est rare d'avoir autant d'œuvres à sa disposition. Il est ainsi moins difficile - peut-être - de suivre la trajectoire de l'artiste dans son travail, sa recherche et ses doutes. Il a été aussi un très grand maître pour quantité d'artiste, qui s'exprimeront après lui. Il ne faut pas oublier que Picasso et Braque ont inventé le cubisme.

    Quant à la librairie, elle propose plusieurs ouvrages. Tout d'abord, un catalogue petit format de l'expo (+ de 300 pages) où l'on retrouvera la totalité des œuvres exposées (sans baratin, ni explications fleuves).
    Ensuite, le catalogue magistral grand format - abondamment illustré - qui nous livre des textes pour comprendre et connaître la vie et les époques de cet artiste et enfin un opuscule grand format - illustré aussi - pour la période si déterminante de l'amitié Braque-Picasso qui engendrera le nouvel art du début du XXème siècle.


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  • ...sur Google, bien sûr.

    Quand Dr Who s'invite...Le doodle fait fureur et la productivité va en prendre un sacré coup.

    Le premier coup j'ai gagné mais en 50 minutes tellement je déconnais. Après la deuxième partie s'est faite en 15 minutes.

    Mais en plus de ça vous avez le plaisir d'avoir sur Google Maps l'adresse de la fameuse cabine téléphonique et de pouvoir entrer dans le fameux Tardis.

    Adresse de la cabine :Quand Dr Who s'invite...
    Police Telephone Box
    Earl's Court Rd, London SW5 9RB, Royaume-Uni ‎

     

     

     

     

     

    Quand Dr Who s'invite...Vous verrez une double fléche au sol. Cliquez dessus et vous entrez dans la cabine !!! Dans le tardis évidemment.


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  • homme du vendredi

    Colin Brazeau (via pinterest - C. Brazeau)


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  • Déjeuner at home (samedi) et ciné après. « Snowpiercer, Le Transperceneige ».

    snowpiercer 2031. Une nouvelle ère glaciaire. Les derniers survivants ont pris place à bord du Snowpiercer, un train gigantesque condamné à tourner autour de la Terre sans jamais s’arrêter. Dans ce microcosme futuriste de métal fendant la glace, s’est recréée une hiérarchie des classes contre laquelle une poignée d’hommes entraînés par l’un d’eux tente de lutter. Car l’être humain ne changera jamais…

     

    Le concept était intéressant. Un film de deux heures. L'aventure commence et on se laisse porter par ce voyage interminable mais somme toute pas si palpitant que ça. La fin est franchement décevante. Faudra la réécrire ! C'est sûr ! Je ne vous en dis pas plus, le voir n'étant pas une priorité.


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  • Je veux bien prendre les deux en pension …. humm, pourquoi pas ?

    chiot tumblr 123

    01:16
    .


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  • Et hop, encore un scandale. Des dizaines d’œuvres fausses mais superbes quant à la réalisation. Faux Rothko et Pollock entre autres, vendus comme véritables. Une magouille super bien montée et un chinois copiste, faussaire sans le savoir. Étonnant !

    Pour vous consolez – mais est-ce bien utile – je vous livre un échantillon des Rothko…

    Mark-Rothko-oeuvres512x223

    01:41


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  • Cela faisait quelques mois que je n’avais pas de nouvelle de Seb. Ceux qui me lisent se souviendrons peut-être qu’il est un des grands amours platoniques de ma vie. Pour son anniv en septembre, j’avais envoyé un sms qui était resté sans réponse et puis voilà qu’aujourd’hui il m’écrit. Sebastien35 Mon petit cœur était tout ému (j'suis en mode midinette). De passage à Paris pour un salon professionnel, Seb aimerait bien qu’on se voit. Pas de chance, je suis dans le sud et impossible de boire un petit café en sa compagnie. Je lui promet de le voir à mon retour. Dépêches toi me dit-il car j’ai peut-être une opportunité de job vers Toulouse en janvier. Donc il faut vite organiser un dîner quand je rentre.

    Toulouse ! Mais c’est incroyable, Lady S a aussi une opportunité sur Toulouse. Je sais bien que l’aéronautique se porte bien et que le secteur est demandeur de compétences, mais quand même. Me voilà dépossédé de mes fidèles amis à Paris. Et il va falloir que Toulouse soit ma prochaine destination de week-end si tout ce mon petit monde déménage…

    Mister A déjà à Bordeaux et les autres peut-être à Toulouse, je sens l’abonnement de train pour bientôt…

    Il ne restera plus grand monde sur la capitale. Autant que je m’installe dans le sud pour pouvoir jouer les touristes à Paris et ailleurs !

    23:07
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  • EvanWade28502928129-792019

    Evan Wade (via http://menilike2.blogspot.fr)

    23:14
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  • Vous savez pas ? J’ai zappé mon propre anniv sur le blog. C’est n’importe quoi d’autant que ma nièce était de la fête dans le sud. Elle était venue de Paris tout exprès. Donc depuis le 8, j’ai un an de plus, évidemment. Inutile de l’écrire dans le carnet mondain.
    On souffle la bougie et on mange son gâteau !

    23:30


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  • L’année dernière il n’y avait quasiment aucune orange sur les deux orangers du jardin. En revanche cette année, je fais des confitures d’oranges amères un jour sur trois à raison de cinq à sept pots à chaque fois. Pourquoi un jour sur trois ? En fin de journée, cueillir les oranges, préparer la pulpe avec son sucre et laisser reposer jusqu’au lendemain. Et le lendemain matin, cuisson et mise en pots. Vu la chaleur ambiante au-dessus de 30°C, je cuis en même temps que les confitures !

    Mais ce n’est pas pour autant que je raffole de la campagne, même si le spectacle des roses rouges et des jaunes pâle est superbe à observer dans leurs éclosions.

    J’ai pu aussi admirer deux choupinets juste en shorts, à peine halés, et partant pour une promenade jusqu’au petit village voisin distant de deux ou trois kilomètres. Je comprends d’un coup pourquoi mes rondeurs sont toujours là. Va falloir que je me bouge un peu plus. La saison est bien avancée. Et si je courrais moi aussi jusqu’au village voisin, ne serait-ce pas une bonne idée ? Zut, j’ai pas noté l’heure de passage des choupinets ! Ben, quoi ? Moi j’aime bien la compagnie ; je suis pas si sauvage que çà.

    Bonne vacances et courage à ceux qui bossent encore.

    13:55
    .


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  • Comme tous les ans, je vais vers le sud. Mes contributions se feront peut-être plus rares, nous verrons bien. Bonnes vacances pour ceux de juillet et de ceux d'août dans la foulée.

    00:02>


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  • 7 ans de réflexion(s), d'articles, d'images, de mecs et toute une vie larguée par lambeaux au fil du net. Mon premier article avait un coquelicot. Et aujourd'hui pour marquer cet anniversaire que vais-je vous dire et vous montrer ?

    Ne rien vous dire et vous montrer un choupinou !
    (Yadier Rodriguez - 2014)

    tumblr mjce9rJ82B1ramp95o1 1280(cliquez-le pour le grand modèle)


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