• ciné et chocolat

    The Ghost Writer

    ghostwriter1 Synopsis : The Ghost, un " écrivain - nègre " à succès est engagé pour terminer les mémoires de l'ancien Premier ministre britannique, Adam Lang. Mais dès le début de cette collaboration, le projet semble périlleux : une ombre plane sur le décès accidentel du précédent rédacteur, ancien bras droit de Lang...
    Réalisé par Roman Polanski, avec Ewan McGregor, Pierce Brosnan, Kim Cattrall

    J’ai aimé. Surtout avec McGregor !

    Je n’irai pas dans la critique dithyrambique ou le blasé lointain. Les critiques que l’on lit ça et là sont très partagées. Le problème c’est qu’on navigue entre les inconditionnels de Polanski et ceux qui attendent du maitre l’exceptionnel à chaque fois. C’est agaçant au possible. Je sais qu’il est difficile d’avoir un regard neuf comme si ce film était le premier d’un inconnu, mais arrêtons d’avoir une arrière pensée en allant voir un film. Même si on est un bon, voire souvent un grand, on ne peut pas être au top à tous les coups. N’attendons pas de nos réalisateurs et acteurs plus que ce qu’ils peuvent donner. C’est jamais simple de jouer la comédie. Les visions du scénariste, du réalisateur et des acteurs sont rarement identiques. Elles convergent et c’est déjà pas mal.

    Tout cela pour vous dire que j’ai pris un réel plaisir à me laisser porter dans ce film. En plus, je suis tombé amoureux de Ewan … ainsi va la vie.

    En sortant du ciné, descente rue de Rennes avec une halte chez Patrick Roger, un chocolatier exceptionnel. Sa boutique est sur le thème de Pâques. Avec un concept étendu : des œufs (normal !) ; des poules ; des souris et un magnifique renard regardant avec envie tout ce décor …. Et le tout en chocolat !

    Puis en continuant à pied cette promenade, découverte avenue de l’Opéra d’une boutique installée depuis octobre 2009 : La cure gourmande. Tout un programme de gâteaux, de chocolat, de calissons et de friandises prêts à êtres mis dans de superbes boites rondes ou rectangulaires décorées aux couleurs de la Provence. La boutique est superbe dans son jaune essuyé, à la manière des boutiques d’antan.

    Comment voulez-vous que les promenades à travers la capitale soient un exercice salutaire. A ce train là, je ne risque pas de perdre le moindre gramme. Ça aussi c’est la vie.

    mise en ligne 14:30

    « à la campagne et à la villelaisser-aller »

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