• Lady S. est en vacances. Nous en profitons pour sortir en ville. Les samedis étant souvent pris pour une contestation sur le pavé parisien. No comment.

    Rendez-vous à St-Lazare.

    Je trouve le dernier paquet de pellicules pour un appareil genre polaroid. Zéro stock à Fnac Montparnasse et depuis mon passage, zéro stock à St-Lazare !
    J’en profite pour lui offrir la trilogie du dernier ouvrage de SF de Liu Cixin : Le problème à trois corps (T1), La Forêt Sombre (T2), La Mort Immortelle (T3), récompensée par le prix Hugo.
    Certains lecteurs sont un peu déçus par les personnages, mais c’est en fait l’univers et les concepts abordés qui sont au centre de cette saga.

    L’heure du déjeuner approche et nous repartons. J’étais un peu zombie, à cause d’une nuit blanche ; encore une. J’avais oublié de remettre la doublure de mon imper, mon écharpe écossaise en laine – cadeau de Lady S. – et mes gants en cashmere ! Et il y avait un vent froid, qui vous paraît encore plus froid dans mon état. Du coup Lady S. avise une boutique et m’offre une écharpe en tons de gris, légère et super agréable à porter.

    Direction Opéra. Pas d’idée pour déjeuner et soudain dans une rue, j’aperçois l’enseigne d’un restau japonais (j’étais persuadé de retenir son nom...). Vous connaissez notre goût pour les japonais. Enfin leur cuisine, mais il faudra peut-être qu’un jour j’aille voir de plus près un japonais. Tout petit restaurant, deux salles et des produits (sashimi, sushi, tempura) délicieux. Le thé vert n’était pas à la hauteur, du moins à mon goût. Mais je recommande. Il y a du monde à midi, entre proximité des Gal-Lafayette et habitués. Nous n’avons attendu que cinq minutes.

    Et hop demi-tour, pour voir la programmation des cinémas du coin. Nous n’avions pas les mêmes envies de films, chose rare en général. Nous avons continué notre promenade. Crochet aux Gal-Lafayette-Maison. De jolies choses, l’étage « Gourmet » est magnifique, comme les prix d’ailleurs. Et Lady S. a trouvé au 3ème étage (tissus et autres) des bricoles très abordables (avec les réductions soldes).

    Et de nouveau, en route pour St-Lazare. Il est temps de repartir 'at home', mais pas avant de se poser au salon de thé de l’hôtel. Nous retrouvons notre serveur de la dernière fois. Nous avons parlé, discuté recettes, éclaté de rire. A cette heure -ci, très très peu de monde. J’ai repris un thé et la miss s’est laissé persuader par le serveur pour un cocktail avec vodka et trois ou quatre autres choses. Le serveur m’a donné sa recette familiale de gingembre confit. Maintenant il faut trouver du gingembre de la Réunion...


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  • Connaissez-vous ce salon de thé ? Situé à paris dans le 5ème arr., je le connais depuis des années.
    Il avait changé de propriétaire il y a quelque temps et je n’avais pas apprécié la nouvelle équipe en phase de démarrage. Et puis je me suis dit qu’il ne fallait pas rester sur cette dernière impression.
    J’ai donc donné rendez-vous à F. pour un thé vers 17h. Il était là depuis plusieurs minutes quand je suis arrivé.

    Le décor n’a pas bougé et c’est heureux. Tous ces murs panneautés de bois sombres et ces vieilles gravures au mur, la table devant la cheminée, rien n’a véritablement changé depuis des lustres. Ce décor lui donne un côté cosy, chaud et un peu british. En tout cas beaucoup plus qu’un salon thé à proximité qui ressemble plus à une cantine.
    L’entré se fait toujours à travers un sas avec ses deux portes et ses deux marches. Pratique pour que le froid n’entre jamais vraiment pour les buveurs de thé près de l’entrée, sur la banquette tournant le dos à la rue.

    Peu de tables occupées : trois si je me souviens bien. Nous avons parlé, bu et mangé. Parlé de nos vies, bu un thé vert très honorable et mangé un scone. F. avait pris une tarte (fruit rouge, mais je sais plus lequel). Moment très agréable. Nous avons été les derniers clients à partir et il n’était que 18h passées. La nuit et le froid nous ont escortés jusqu’au métro. F. repartait dans une autre direction pour un dîner.

    Je suis rentré et j’en ai profité pour faire un arrêt Monop. Mon frigidaire était encore vide. Je me demande bien où passe ce que j’achète. Dans mon estomac, certes. Où alors j’achète trop peu à la fois.


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  • Après un réveillon très sage en famille, je n'ai pas pris une seule bonne résolution pour l'année. Je me suis aperçu au fil du temps que c'est chiant au possible. Faire des listes courtes ou longues ne sert à rien. Je préfère prévoir quelque chose dans la semaine ou le mois et qui aura un maximum de chance de se réaliser.

    J'ai une épaule en vrac ! Vendredi soir dernier, dernière de mes pirouettes sur un trottoir. J'ai rien vu venir ; j'ai glissé et hop, un vol plané avant avec réception sur le côté gauche. Waouuh, le mal de chien ! Même pas un bleu, c'est incroyable. Mais j'ai l'impression d'avoir été roué de coup. Mon bras gauche redevient opérationnel tout doucement.   

    Mon agenda se remplit...


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  • Bonne année !

    2019


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  • Cinéma

    film, L'Empereur de ParisL’Empereur de Paris.

    Sous le règne de Napoléon 1er, François Vidocq, le seul homme à s'être échappé des plus grands bagnes du pays, est une légende des bas-fonds parisiens. Laissé pour mort après sa dernière évasion spectaculaire, l'ex-bagnard essaye de se faire oublier sous les traits d'un simple commerçant. Son passé le rattrape pourtant, et, après avoir été accusé d'un meurtre qu'il n'a pas commis, il propose un marché au chef de la sûreté : il rejoint la police pour combattre la pègre, en échange de sa liberté. Malgré des résultats exceptionnels, il provoque l'hostilité de ses confrères policiers et la fureur de la pègre qui a mis sa tête à prix...

    De Jean-François Richet, avec Vincent Cassel, Freya Mavor, Denis Ménochet.
    (in allociné)

    Goûter

    Sortie à 17h, il était temps de prendre une petite collation. Mais notre salon de thé étant en travaux, nous avons posé nos fesses quelques dizaines de mètres plus loin, au salon d’un autre hôtel.

    Personnel charmant. Mais l’offre est mince. Pas de thé vert nature, ni jus de pamplemousse. Ce fut thé noir de Ceylan pour moi et jus orange-citron (2/3-1/3) pour Lady S, accompagné de petits cubes de gingembre confit.

    Que dois-je vous dire sur notre serveur. Mignon, affable, gai comme un pinson, le sens de l’humour et de la répartie, me donnant la recette du gingembre confit. Et moi, lui proposant de monter un atelier et lui de me dire qu’il pouvait faire ça à domicile. Bref, si ce n’était pas un plan cul, ça ressemblait à un plan drague. Ou alors je me fais encore un cinéma, et pourtant…

    Après cet intermède, nous sommes repartis, vers nos logis respectifs. Lady S. m’ayant fait cadeau d’une petite mallette rouge de douceurs gourmandes, elle aura son cadeau aussi à notre prochaine rencontre.

    Et je n’ai toujours pas acheté de cadeaux pour Noël !


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  • J'ai discuté le 12 nov. avec lui pendant 1h16 ! Et j'ai cru que ça n'avait duré que 20 mn...

    Aujourd'hui on se rappelle pour nos affaires en famille. Ah, oui, j'avais oublié de préciser que c'est un cousin. On papote efficace, on parle réparation maison, on dit deux ou trois conneries, et je lui dis que pour conserver les choses dans la famille, y'a pas 36 solutions. « Épouse-moi », je lui lance, « Je suis intéressé, car ta dot sera confortable et tout et tout. Nous pourrons nous marier à Las Vegas ».
    On était morts de rire, et il me dit : « ouaip, mais y'en a quelques-uns qui voudraient bien m'épouser aussi ». C’est parfaitement logique.

    Puis dans le sud, nous nous sommes vus plusieurs fois, téléphonés aussi.

    Ce fut toujours agréable, mais je n’ai pas insisté sur notre future possible union, alors que ce n’est qu’une opération purement technique. La mise en œuvre est plus facile que de créer une société ou un truc du genre, et les avantages matériels sont conséquents.
    Ah, vous allez me dire : « et l’amour dans tout ça ? ». Ne mélanger pas tout. Je vous parle finance et fiscalité et vous me jouez la marche nuptiale ! Après, le respect et la tendresse sont compatibles avec cette formule. Mais n’en parlons plus, l’ordre du jour est clos sur le sujet.

    Vous pensez peut-être que je suis cynique et calculateur. Pas du tout. C’est la façon de passer à l’acte qui peut vous rendre cynique. On a dit : sujet clos !

    Cher F., tu as toute ma tendresse, na !

    Et maintenant, je suis de retour à Paris.


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  • Il est dans le caractère français d'exagérer, de se plaindre et de tout défigurer dès qu'on est mécontent.

    N.B.


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  • Tous les ans, à la bonne saison, chaude en général, je m'absente de Paris pour le sud et je ne rentre qu'au bout de deux ou trois mois. Mais cette année bat tous les records de brièveté. Départ dans une semaine, probablement pour un temps gris voire pourri et pour un mois seulement. Donc retour à la mi-décembre. Je ne pense pas écrire pendant cette période. Nous aviserons une fois sur place. 


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  • Tiré de l'ouvrage "Petite anthologie des mots rares et charmants" de Daniel Lacotte, éd. Albin Michel.

    Huluberlu (n. m., XVIe s.)

    Écervelé, loufoque, extravagant et farfelu, voire gaffeur, l'hurluberlu se conduit, parle et agit de façon excentrique, étrange, bizarre. Et, le plus souvent, son comportement ne manque ni d'aisance ni de naturel.

     

    Puis, je me suis dit "pourquoi ne pas aller voir ce que dit le Cnrtl..."
    (Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales)

    Voici ce que nous dit le lexique du CNRTL pour le mot "hurluberlu" :
    (extrait)

    HURLUBERLU, -UE, subst. et adj.

    (Personne) qui se comporte d'une façon bizarre, extravagante, inconsidérée.
    Synon. écervelé, évaporé, extravagant, farfelu (fam.).

    A. − Subst. On parle de l'hurluberlue qu'est la princesse, tombant comme un ouragan dans la maison, jetant le désarroi chez tout le monde, même chez les médecins, par ses exigences de promptitude impossible demandée aux remèdes, par ses inventions d'aération propres à tuer un malade, par ses agitations, ses inquiétudes (Goncourt, Journal,1888, p. 770).C'est un hurluberlu, une tête brûlée, un maboul. Et puis, il est un peu sournois (Duhamel, Cécile,1938, p. 184) :

    « Cet étonnant abruti de Napoléon III, hurluberlu couronné, prince des gaffeurs et des imprévoyants, l'avait envoyé [V. Hugo] en exil, où il moisit, entre les bras adorables et les jambes exquises de Juliette pendant dix-huit ans. »
    L. Daudet, Brév. journ.,1936, p. 81.

    − [Dans une constr. qualificative antéposée] Cet hurluberlu d'Armand se conduisait d'une façon bizarre (Aragon, Beaux quart.,1936, p. 381).

    B. − Adj. Il est juste que je cite à part Marcelle Yrven, excellente dans un de ces rôles de marquise hurluberlue qui ne pardonnent pas à une comédienne médiocre (Colette, Jumelle,1938, p. 77). Pascal (...) me demanda l'objet de ma visite. Je ne pouvais tout de même pas lui répondre, de but en blanc, que cet objet, c'était en quelque sorte lui-même (...). Prise de court et préférant passer pour fâcheuse que pour hurluberlu, je lui parlai rapidement (H. Bazin, Lève-toi,1952, p. 113).

    − P. ext. [En parlant de choses] Qui dénote de la bizarrerie, de l'extravagance. Une page tout à fait hurluberlu (Péguy, Argent,1913, p. 1196).

    .../..


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  • « Bach - Variations Goldberg 1-1 », T. Nykolayeva, piano-forte.


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  • Une fois n'est pas coutume de faire de la pub pour les éditions de la BNF. Mais on y trouve souvent des ouvrages très bien faits. Cela faisait longtemps que je n'avais pas mis les pieds dans la librairie "le Divan" qui est à coté de chez moi, lui préférant celle de la Fnac à Montparnasse par commodité. Entendez qu'il est plus facile de sortir du cinéma et d'y aller dans la foulée. Le Divan : deux ans et demi que je n'avais honoré ce lieu de ma présence. Tout a été refait. Fini le demi niveau et la mezzanine. Du coup les rayonnages sont plus hauts, il y a une échelle et aussi des vendeurs prêts à grimper ! Mon ancienne carte de fidélité est devenue obsolète. Normal, ma fidélité n'était pas au rendez-vous. J'ai une nouvelle carte.

    Et cet ouvrage ? C'était pour en faire cadeau à ma sœur, au motif d'un retard d'anniversaire... Elle a beaucoup apprécié le livre mais elle n'a pas cru un instant au motif !

     

    Murs de papiers (BNF)

    MURS DE PAPIER

    L’ATELIER DU PAPIER PEINT (1798-1805)

    Christine Velut. Préface de Vincent Darré.

    Cet ouvrage vous invite à une histoire haute en couleur qui s’écrit sur les murs des intérieurs bourgeois à la fin du 18ème siècle, à l’heure où le papier peint s’impose comme un objet de décoration à la mode, grâce à la grande variété de ses motifs qui constituent, encore aujourd’hui, une source inépuisable d’inspiration.

    Broché, 278 pages, 100 illustrations, 23 × 33 cm, parution 31-10-2018. 39 euros.

    (in site BNF > http://editions.bnf.fr/en/node/3170)


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  •  

    Willy Ronis, Vincent et le chat, Paris 1955
    Willy Ronis, « Vincent et le chat », Paris 1955.

    « Indian Love Call », Chet Atkins (1951).


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  • C’était en octobre, le 26, un vendredi, plus précisément.

    La journée était belle. J’avais réservé pour le déjeuner dans un restaurant peu connu : celui de l’École des métiers de la table.

    Arrivée à 12h30 tapantes. Pas question d’être en retard, vous êtes dans une école.

    Les nappes blanches sont en tissus, parfaitement repassées. En revanche, une chose à laquelle je ne me ferais jamais, c’est la position de la fourchette (ou de la cuillère). La fourchette, les dents vers le haut ! Ces foutus anglais, car c’est leur tradition, ont réussi à imposer cela au monde. Il faut dire que leurs écoles de personnel de maison sont réputés. Je vous laisse découvrir pourquoi cette agaçante différence pour nous faire chier. Si vous venez déjeuner chez moi (hé, j’ai pas dit demain !) votre couvert sera à la française dans la plus pure tradition qui soit. N’y voyez pas un refus de la modernité, mais quand l’inutile et l’uniformisation tendent à s’ériger en règle, je me révolte. Bref !

    Je ne vous ai pas parlé du repas. La salle est spacieuse et nous ne sommes pas serrés tables contre tables.
    Menu classique : un amuse-bouche, une entrée, un plat au choix, un plateau de fromage, un dessert. En sus, un verre de vin et un café. Prix raisonnable.

    Cette trouvaille est l’oeuvre de Lady S. Les élèves apprennent à cuisiner et à vous servir dans les règles de l’art.

    Certains sont stressés et en temps normal, il y a des fautes qu’ils ne feraient pas. Par exemple, vous servir le café, les petits chocolats et omettre de vous donner le sucre. Ce fut un moment très agréable.

    Nous sommes ressortis vers 15h, rassasiés et légers.

    Direction Porte de Champerret à pied. Arrêt pour prendre un ticket de loto. (j’ai rien gagné). Puis choix d’un bus. Nous aimons bien ces ballades en bus. On découvre la ville autrement que coincé dans une voiture ou pire, dans un métro, aveugle et puant.

    Deuxième bus, direction le « Bazar de l’Électricité » près de Bastille. C’est le seul endroit où vous trouvez les ampoules « exotiques ». Le genre une halogène, mince, petit culot baïonnette, 70w, etc. Des ampoules adaptées à certains luminaires de designers. Et le cirque pour trouver ces ampoules. Sur le net, me direz-vous ! Oui, j’ai regardé : délai une semaine mini ou en cours de réassort, prix imbattable. Super ! Mais le « Bazar », lui en avait, à un prix pas bon marché du tout… mais disponible.

    Et nous voici en fin d’après-midi. Retour maison, par le métro. Ben oui, c’est plus rapide que le bus vers 18h dans Paris.


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  • Lady S voulait faire un tour à la Porte de Versailles où se tenait un salon : Faire construire sa maison. Il faisait frais et à 10h15 tapantes on entrait dans ce salon installé dans une surface très raisonnable. Pas trop de monde, pas mal des constructeurs de maison en bois. Il y avait même un exposant allemand. Je laisse Lady S prendre des infos. Pour la construction, c’est pas un problème. Vous vous en doutez, le problème c’est le terrain.

    A 11h30 , nous étions sortis. Direction le Tram et Lady S me lance « si on faisait un grand tour en tram ? ». Et hop, en route dans le T3a pour la Porte de Vincennes, le paysage défile. Il y a du monde mais c’est pas la cohue. A Porte de Vincennes, on saute dans l’autre Tram 3b, direction Porte de la Chapelle. On découvre de l’urbanisme en pleine rénovation ou construction ou des friches.

    12H30. La fin de la balade, début de la faim et pas un restau en vue. Re-tram dans l’autre sens et descente à Porte de Vincennes. J’avais vaguement repéré un resto asiat vers Nation, mais étant nul en navigation, même avec mon smartphone, nous sommes entrés dans le premier resto asiatique sur notre route. Correct, copieux et prix raisonnable.

    Sorti vers 15h30 et métro pour rentrer. A ce moment tout allait bien. Lady S repartait pour St-Lazare et en principe j’allais jusqu’à Montparnasse récupérer la 12. Cela à commencer à foirer quand à Place d’Italie, on annonce « tous les voyageurs doivent descendre suite à un incident » ; (en réalité un bagage abandonné à St-jacques). Tout le monde descend dans une cohue indescriptible. Le métro repart en sens inverse sans voyageur.

    Moi je repars vers Porte d’Italie pour reprendre le tram et comme je pianotais des sms avec Lady S, je loupe la station ! Coup de bol, la suivante (Porte de Choisy) a aussi un accès au tram. Arrg, plus de tickets. Sur le quai du tram pour rentrer, la machine est en rade. Je traverse pour l’autre quai et mon tram arrive et repart. Enfin je finis par le prendre jusqu’à Porte de Versailles, à 7 mn à pied de mon logis.

    Lady S pensait arriver chez elle avant moi, sauf que son train s’est arrêté en pleine nature, au milieu de nulle part. Elle a pensé fortement (et elle l’a écrit...) que j’y étais pour quelque chose et que j’étais mauvais joueur ! Je sais bien que j’ai de grands pouvoirs, mais pas de contrôler l’électricité ou quoique ce soit sur les lignes SNCF ! Finalement tout le monde est rentré à bon port.

    Journée très instructive et agitée.


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  • Août : séjour à la campagne dans la Sarthe. Repos et bon air. Un peu perdu en pleine campagne, mais pas déplaisant. Une maison de plain-pied, une mare pas très loin, un saule pleureur et un chat curieux. Tout ça en famille.

    Escapade à Paris vers le 15 août. Déjeuner avec Lady S chez le libanais « Noura » à Montparnasse. Toujours aussi bon. En terrasse intérieure sous un grand parasol. Une guêpe de passage qui est reparti toute seule et des fous-rires sur la structure et la naissance de l’univers. Comme quoi les sujets sérieux ne sont pas forcements tristes.

    Fin août. Pas bonnes nouvelles de mon cousin. Il vit en Espagne et a une polyglobulie (trop de globules rouges). Il est crevé et seule des saignées régulières font baisser le taux de globules rouges. C’est un peu archaïque, mais ça marche. J’espère que son traitement associé va fonctionner.

    Pas de bonnes nouvelles de Tom et Mat des USA. Mathieu est très malade. Une espèce d’infection qui n’en est pas une, ou cancer ? problème génétique ? Un truc bizarre, un peu cyclique. Tom est très pessimiste, mais garde espoir. Au dernières nouvelles, les examens sont mitigés.

    Septembre

    Ciné : rien à voir. Le 8, c’était mon anniversaire ! Et, toc, un an de plus et des kilos à perdre. Impératif m’a dit mon médecin. Je n’ai pas voulu lui faire remarquer que depuis que je le connais, il s’est quand même bien enrobé lui aussi.

    Ce matin à 11h, sur le Boulevard Beaumarchais en attendant Lady S : vu un superbe choupinou blond et sportif, déclarant à sa copine à 11h, « j’ai un creux ». Puis je les vois revenir, lui avec un pot de Nutell* dans lequel il trempait allègrement un pain au chocolat. Et sa copine lui disant : « et moi ? ». Le mec a eu une seconde d'hésitation. C’est un gourmand avec une forte addiction au chocolat et au gras !

    Lady S m'a offert un charmant cadeau - fait de ses mains - pour mes mouchoirs.  

    Expo : musée Picasso, Hotel Salé. Très intéressant sur la trajectoire de l’artiste. Découverte aussi de ces croquis et esquisses préparatoires. Surpris aussi de voir un tableau de sa jeunesse, « Science et Charité », (1897, Pablo Picasso - Barcelone, Musée Picasso).

    picasso-science-et-charite-1897

     

    Giacometti était aussi au programme, mais c’était ses plâtres et ses meubles en métal, dernières commandes à l’artiste. Un peu déçu.

    Pour ses célèbres sculptures longilignes, direction musée Maillol. Fermé jusqu’au 14 ! Entre les deux, déjeuner chez Matsuri, à proximité. Nous nous sommes laissés aller : 16 assiettes à deux !

    Pris un bus au hasard et descente rue de Rivoli. Pause dans le jardin des Tuileries à l’ombre des marronniers. Puis un goûter chez Angelina. Thé vert et Saint-Honoré pour Lady S et uniquement thé pour moi. En ce moment je fais attention au sucre…
    Deux touristes friquées et vulgaires partent. Une femme d’âge mûr, sobrement maquillée, un rouge à lèvres rouge vif et vêtue d’un ensemble rouge et noir fait son entrée. Elle se pose et croise les jambes ostensiblement vers moi en tentant de tirer sur sa robe rouge un tantinet trop relevée. Elle écoute discrètement notre conversation, et parfois sourit discrètement. Nous avions une couguar sur son terrain de chasse. Nous sommes partis avant elle et nous avons bien rit de l’épisode.

    Escale chez Patrick Roger à la Madeleine pour des chocolats, pour Lady S et pour ma tribu uniquement. Et encore pas de sucre pour moi.

    Retour at home. Dîner chez ma frangine, ma nièce vient de signer son premier contrat de travail. La voilà qui entre dans sa vie professionnelle. Elle est ravie, car elle va faire un job qui lui plaît. Jamais évident d’avoir un boulot en fonction de ses compétences et de ses diplômes.

    Et maintenant ? Il est minuit passé. Ma voiture est devenue citrouille et je vais dormir.


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  • Déjà la fin du mois ! La chaleur m’a littéralement anesthésié. Je suis pas le seul.

    Donc déjeuner japonais, samedi 14, avec Lady S. et ballade tout en douceur.

    Et puis plus rien après. Pour me faire pardonner, je vous propose de vous rafraîchir avec le choupinet…

    mec


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  • Le samedi 16, ciné à la séance de 10h. Lever aux aurores ! Lady S. était de la partie. Le film : Jurassic World. Certains diront que la saga Jurassic est moribonde. Je ne sais pas. A cette heure si matinale, nous n’étions qu’une poignée de spectateurs.
    Presque une séance privée.

    Jurassic worldJURASSIC WORLD: FALLEN KINGDOM

    Cela fait maintenant trois ans que les dinosaures se sont échappés de leurs enclos et ont détruit le parc à thème et complexe de luxe Jurassic World. Isla Nublar a été abandonnée par les humains alors que les dinosaures survivants sont livrés à eux-mêmes dans la jungle. Lorsque le volcan inactif de l'île commence à rugir, Owen et Claire s’organisent pour sauver les dinosaures restants de l’extinction.  Owen se fait un devoir de retrouver Blue, son principal raptor qui a disparu dans la nature, alors que Claire, qui a maintenant un véritable respect pour ces créatures, s’en fait une mission. Arrivant sur l'île instable alors que la lave commence à pleuvoir, leur expédition découvre une conspiration qui pourrait ramener toute notre planète à un ordre périlleux jamais vu depuis la préhistoire.

    Ces bestioles donnent faim. Façon de parler. J’avais envie de viande crue… Et à côté du ciné, devinez ce qu’il y a ? Un hippo ! J’ai pas osé le grand tartare. Le normal était suffisant. Lady S. a été plus classique avec son pavé cuit.

    Un promenade pouvait se faire vu le temps. Descente jusqu’au Grand Palais, vide en entrée gratuite. La verrière est superbe. La température l’était aussi. On n’a pas l’impression d’un surface gigantesque. Cela est dû à la hauteur, 40 mètres tout de même.

    Sortie et direction le Café Fiat pour quelques bulles rafraîchissantes. Puis retour à pied à St-Lazare avec un arrêt chez Singer et chez Mark & Spencer pour quelques nourritures de brunch pour dimanche, puis retour at home.


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  • J’avais plusieurs sujets brûlants sur le feu et pas beaucoup de tonus, d’où mon silence.

    Sortie du 8 mai en compagnie de Lady S. pour une virée Paris, Beauvais, Viarmes, Asnières-sur-Oise, Paris. Après un départ très tôt le matin, arrivée à Beauvais pour un petit déjeuner sur la Place Jeanne Hachette, dans une boulangerie salon de thé où nous avons redécouvert des croissants sublimes. Puis visite de la cathédrale en cours de restauration intérieure, de ses alentours avec une maison restaurée du Moyen Âge (1410). Nous n’avons pas visité en revanche le Palais épiscopal, en pleine restauration lui aussi, ouvert seulement l’après-midi. Beauvais était presque désert.

    Nous quittâmes la ville en direction du sud pour nous poser à Viarmes, petit village qui avait retenu notre attention pour son restaurant « Chez Fanny ». Carte très agréable et la crème brûlée à la pistache vaut le détour.

    Nous poursuivons vers le sud, car à proximité de Viarmes, à Asnières-sur-Oise, s’élèvent les bâtiments de l’ancienne Abbaye royale de Royaumont édifiée à partir de 1228. Il ne reste qu’une partie des bâtiments ainsi que les canaux. L’église, dont il ne reste que des vestiges au sol, a été démolie pendant la Révolution. L’entrée comprend pour le même prix la visite-conférence.

    Après ce grand bol d’air, retour sur Paris en fin d’après midi.

    A la boutique de l’Abbaye, j’avais acheté un livre sur la perma-culture. Le bouquin n’est resté que 2 jours sur ma table pour finir en cadeau pour ma nièce qui voulait soudain creuser un peu le sujet !

    Et voilà comment je me fais piller assez régulièrement.


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  • L'astrophysicien britannique Stephen Hawking est mort mercredi à l'âge de 76 ans, à Cambridge.


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  • Virée en ville, crêperie puis cinéma.

    Crêperie : un lieu fréquenté depuis de nombreuses années, tenu par un charmant rouquin. Les galettes sont très bonnes et le poiré se boit comme de l'eau.

    Séance de 13:30 au Bretagne. Les sièges de la corbeille ont été refait et le confort est parfait. D'autant que j'avais encore un foutu lumbago.

    Coté séance, le film Hurricane est un film d'action de plus, façon US. La fin est un poil moins morale que d'autres du même genre.

    filmHURRICANE

    Profitant du plus gros ouragan ayant jamais touché les Etats-Unis, une équipe de braqueurs d’élite infiltre la plus grande réserve de billets des États-Unis. Leur objectif : un braquage exceptionnel de 600 millions de dollars. Dans la ville désertée, Casey, une des convoyeuses de fond, et Will, un météorologiste de génie, vont devoir unir leurs forces en utilisant les connaissances de Will pour survivre au milieu de cette « tempête du siècle » et empêcher ces voleurs impitoyables de parvenir à leurs fins.

    De Rob Cohen avec Toby Kebbell, Maggie Grace, Ryan Kwanten. (in Allocine)


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  • C'est pas mal les photos en noir & blanc.

    mec


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  • Je suis un peu en retard…

    Samedi dernier déjeuner avec Lady S. à La Coupole, lieu ô combien mythique depuis son ouverture en 1927 !
    Le plaisir de déguster une choucroute maison. Tout est bien proportionné entre le chou, la charcuterie, le jarret et la pomme de terre. D’ailleurs le plat est copieux. A moins d’avoir une grosse faim, il vaut mieux ne pas prendre de hors-d’œuvre.

    La précédente choucroute, en janvier, c'était à la Brasserie Lipp. Fort bonne aussi, mais je crois que je préfère celle de La Coupole.

    Bref, nous n’avions pas le temps de faire une balade digestive, car après c’était cinéma. Oui, je sais qu’on peut aussi faire une sieste dans ces endroits. Eh bien non. Pas même un assoupissement.

    Puis en fin de séance, Lady S. qui avait un rhume est rentrée directement chez elle, pendant que je me propulsais Tour Montparnasse pour renouveler mon stock de chaussettes, acheter 3 chemises et 3 caleçons !

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    Le Labyrinthe : remède mortelLe Labyrinthe : Remède mortel

    Dans ce dernier volet de l’épopée LE LABYRINTHE, Thomas et les Blocards s’engagent dans une ultime mission, plus dangereuse que jamais. Afin de sauver leurs amis, ils devront pénétrer dans la légendaire et sinueuse Dernière Ville contrôlée par la terrible organisation WICKED.
    Une cité qui pourrait s’avérer être le plus redoutable des labyrinthes. Seuls les Blocards qui parviendront à en sortir vivants auront une chance d’obtenir les réponses tant recherchées depuis leur réveil au cœur du Labyrinthe.

    Réalisé par Wes Ball avec Dylan O'Brien, Kaya Scodelario, Thomas Brodie-Sangste.
    (in Allociné)

     


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  • Certains ont pu remarquer un nouveau lecteur audio dont l'esthétique laisse à désirer. Le précédent était en Flash, technologie qui tend à disparaître, et qui n'est pas pris en compte dans certains navigateurs. J'ai donc intégré un lecteur en Html 5 parfaitement reconnu par les nouveaux navigateurs. Seul hic, vous ne maîtrisez pas le design si vous utilisez le code tel quel. On peut toujours personnaliser le lecteur, mais cela nécessite l'ajout de code javascript, donc alourdir la page. Pour l'instant, c'est la musique qui prime. Après, nous nous occuperons du design.

     


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  • Thomas Wright "Fats" Waller (1904 - 1943) était un pianiste de jazz influent, un organiste, un compositeur, un chanteur et un artiste de comédie, dont les innovations au style de Harlem ont jeté les bases pour le piano de jazz moderne et dont les compositions les plus connues, "Ain't Misbehavin'" et "Honeysuckle Rose", ont été accueillis dans le "Grammy Hall of Fame" à titre posthume, en 1984 et en 1999.
    (in https://archive.org/ -- Fats Waller)

    « Ain't Misbehavin' » (1929)

     

    Voir les paroles ou les masquer

    « Ain't Misbehavin' » (1929)
    Auteur : Andy Razaf - Compositeurs : Fats Waller, Harry Brooks.
    Fats Waller au piano et au chant.

    No one to talk with all by myself
    No one to walk with but I'm happy on the shelf
    Ain't misbehavin'
    I'm savin' my love for you for you, for you, for you
    I know for certain the one I love
    I'm through with flirtin' it's you that I'm thinkin' of
    Ain't misbehavin' savin' my love for you
    Like Jack Horner in the corner
    Don't go nowhere what do I care
    Your kisses are worth waitin' for believe me
    I don't stay out late no place to go
    I'm home about eight just me and my radio
    Ain't misbehavin'
    I'm savin' all my love for you
    I don't stay out late got no place to go
    I'm home about eight just me and my radio
    Ain't misbehavin' savin' my love for you
     


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  • Bonne année et santé, bonheur et prospérité !

    Bises à tous.

    2018

    * 2018 *
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  • Vu et entendu par 2 395 651 personnes. Je suis la 2 395 652 ième !

    J. S. Bach : Air on the G String (piano)

    Johann Sebastian Bach wrote this piece for his Orchestral Suite No. 3 in D major, BWV 1068. August Wilhelm modified the composition in 19th century, but I play the D major original on my Yamaha P140 digital piano. (mareklutonsky - Ajoutée le 19 déc. 2009)


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  • J’avais quitté SFR après leur rachat par Numéricable et leurs règles fantaisistes des options facturées puis déduites mais dont la somme n’était jamais nulle. Sur un coup de sang, je suis parti chez Sosh, avec des réductions pour un an, donc un tarif acceptable. Ben oui, l’année se termine et finies les réductions, donc retour chez RED. Et on repart pour un tour. Petits tarifs et pas d’options TV.

    Faut que je rachète un fixe. L’actuel est une récup, le zéro se coince et on entend plus rien.

    J’ai acheté le mobile à part : un « Honor 6A » pour 160€. C’est le low-cost de Huawei. Même si toutes les applis et les fonctions principales sont identiques, je ne me sers de mon mobile que pour téléphoner, envoyer des messages, consulter mes messageries et surfer de temps en temps. Quelques photos et quelques notes, mais pas de quoi surcharger les 6 petits Go de mémoire. Au pire je mets une carte SD en plus.

    Pas de musique ? Pas de vidéo ? Pas de réseaux sociaux ? Pas de cloud ? Non !

    Je suis paranoïaque et asocial !
    Rassurez-vous, je plaisante.

    Pour l’instant, tout roule, malgré ma commande faite le 23 décembre. J’ai reçu ma carte nano-sim aujourd’hui et le technicien vient lundi à partir de 8h. Pas de grasse matinée. Je sens que je vais être en miette.


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  • Portraits et études de nus dans l'art du peintre chinois Lin Jinfu. Peintures avec les beautés classiques de la femme et l'homme de Chine. Il n'est pas commun de voir des peintures de nu masculin. La plupart des artistes préfèrent peindre la figure féminine, mais dans ce domaine Lin Jinfu peint les femmes et les hommes de la même manière. De dos, de profil, assis de plusieurs façons, les peintures à l'huile avec des nus artistiques masculins et féminins sont réalisées avec beaucoup de soin et de détail.
    (adapté de https://paisajesybodegonesaloleo.blogspot.de/)

    La beauté classique du nu masculin chinois. Il s'était tenu en 2013 à Stockolm l'exposition "Secret Love", un vaste panorama de l'art homo-érotique actuel chinois. Ce thème, tabou il n'y a pas si longtemps, tend à prendre de l'importance en Chine et aborde aussi bien l'identité homosexuelle que le devenir de la conscience LGBT. On y a distingué un nouveau venu : Lin Jinfu.
    (adapté de https://lesplaisirsdhenrxy.blogspot.fr)

     Nu masculin - Lin Jinfu


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  • Il ne restait qu'une salle dans le quartier, pour Star Wars. La place était à 14€ ! Il va falloir que je trouve un filière de places de ciné meilleure marché.

    Star Wars : les derniers Jedi.

    star wars - dernier jedi


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