• A. a failli partir de son job, non pas par décision volontaire, mais par réaménagement de planning.

    J'ai su la chose vendredi soir, 3 heures avant la décision finale. Donc je suis reparti chez moi dans un état lamentable avec mes courses et je suis revenu à son magasin. Je voulais savoir de vive voix.

    Grand sourire ! Il est là encore tout le mois de mars. Mon coeur battait à tout rompre. On a discuté quelques minutes et on se revoit la semaine prochaine en fonction de son planning.

    Et mars passé, que fait-on tous les deux ? Car pour l'instant il ne sait pas où il va atterrir. J'ai hâte de le revoir. Le coup de vendredi m'a montré combien j'étais encore super amoureux...


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  • Envie de toi et de la mer...

    mec et mer


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  • Toujours l'écriture du roman à quatre mains. Quel mal de tête ! Façon de parler. Je devrais dire : quelle prise de tête ! Un nouveau personnage est apparu sans qu'on lui demande rien. Et me voilà parti à toute vitesse dans un nouveau paragraphe. Au bout de quelques minutes, je m'aperçois qu'il raconte et fait l'inverse d'un autre ! C'est quoi ce foutoir ? En fait, j'ai zappé les tribulations de l'un pour écrire les tribulations de l'autre. Remarque que c'est intéressant. Nous avons le positif et le négatif du même personnage... Comment exploiter ça ? Je mets en réserve ; on verra plus tard.  


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  • Je continue à écrire dans mon journal très intime. Toujours quelques lignes, concises, sans délayage, sans vocabulaire compliqué. Et pourtant, le dictionnaire est rempli de mots pour dire l'amour, pour raconter son état amoureux, pour nuancer entre lyrique et brut d'image...


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  • Suite en écriture du roman à quatre mains. Arf ! problème de cohérence. Je le sentais venir. Reprise donc des indices pour  répondre aux questions.

    Pour éviter de se prendre les pinceaux, de glisser sur une info  vicieuse, il faut éclaircir voire simplifier certaines choses... Je suis en train de mettre au propre dans ma tête (et sur la papier) les infos sur le dossier du groupe, les cartes, le maroquin vert, la liste, son carbone, sa copie, etc.
    Quelle est la composition de tous ces documents ? Quelles informations y figurent ?
    Qui possède quoi ? et où ? Qui cherche quoi ? Quel élément ou personnage peut entraver l'action de l'un ou de l'autre ? Quelle information manque ?
    Quel document est inutile, mais pourrait servir de fausse piste ?

    Je vous garantis que ce n'est pas une partie toute simple. Au boulot !


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  • Reprise en écriture du roman à quatre mains. En deux jours mes deux mains ont pondu 7 pages ! Les deux autres mains sont en stand-by, mais devraient reprendre le chemin du clavier sous peu... Nous en sommes à 38 pages depuis le 25 janvier.

    Nos problèmes ne font que commencer. Nous navigons de chapitres en chapitres, sans avoir défini formellement la trame complète de l'histoire. Nous savons vaguement quel est le but final, pour l'instant. Pas de fiches détaillées pour les personnages, pas de mise en place de décors, des personnages et des lieux apparaissent au fil de l'écriture quand le besoin s'en fait sentir. Nous partons donc pour une histoire approximative, fluctuante et changeante. Le loupé de marche n'est pas loin, ce qui impliquerait une réorganisation des séquences et probablement une réécriture de certaines situations.

    Mais rien ne nous fait peur et rien ne nous arrête, donc nous allons de l'avant, stylos chargés et opérationnels.


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  • Netflix. Je viens de découvrir mon historique depuis 2018 à aujourd'hui.

    En 7 ans, j'ai visionné 750 films et épisodes de séries. C'est dingue ! Faut dire que la période Covid y a salement contribué. 

    Terminé. J'arrête de lire les stats. Ça ne sert à rien...


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  • Nouvelle étape. Maintenant, je joue les midinettes. J'ai écrit une lettre d'amour enflammée comme on ne le fait plus aujourd'hui. C'est un peu "too much", mais je n'ai pas perdu la main pour écrire ce genre de prose. Je n'ai pas envoyé la lettre au destinataire, vous vous en doutez, même si c'est un amour platonique...

    Et dans la foulée, j'ai pondu un autre courrier, une lettre d'adieu qui est aussi une lettre d'amour quelque part, allez comprendre. Elle aussi je ne l'ai pas envoyé, bien sûr.

    Le premier qui me dit que je fais l'âne de Buridan, je lui envoie un coup se sabot dont-il se souviendra.

    A la prochaîne...


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  • Je ne décroche pas du tout ! Son prénom et sa frimousse surgissent dans ma tête plusieurs fois dans la journée. C'est épuisant. Divinement épuisant et doux. Et pour clôturer le tout, j'écris dans mon bloc-notes un journal. Je raconte mes visites et donc j'entretiens ce sentiment amoureux.


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  • Je n'ai toujours pas mis au clair ma relation avec A. Nous nous voyons dans son magasin et nos conversations sont des bouts de paragraphes. On saute d'une chose à l'autre en se livrant des petits morceaux d'informations l'un sur l'autre. Ce n'est pas désagréable du tout. Parfois je vois son regard pétiller de malice, n'osant me dire ce qu'il a en tête. Mais je devine en partie à son sourire les mots non dits. J'aime bien ces échanges, mais cela ne m'aide vraiment pas à décrocher. Bien sûr que je n'ai aucune envie que cela cesse. Je n'ai pas envie d'être malheureux si peu soit-il...      


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  • Séance de travail le 12 février. Un ancienne habitude de travail des années 2000, nous réunissait à la brasserie "Le Canon des Gobelins". Seul ou à plusieurs, nous corrigions nos écrits. 

    Cette brasserie n'a guère changé aujourd'hui. On peut occuper 2 tables pour deux et étaler nos papiers après un déjeuner et avant un goûter ! Fait notable en semaine, surtout un lundi, la salle est loin d'être pleine à craquer donc, vous pouvez rester sans que l'on vous foute dehors ou qu'on vous oblige à reconsommer. Il est quand même de bon ton de consommer quand même vu le temps qu'on reste.

    Voilà 28 pages annotées, corrigées, à retaper. Nous faisons une pause dans l'écriture pour savoir où nous allons dans cette histoire.

    Ça tombe bien. Ma tête est occupée par ma relation avec A. Je ne suis pas encore passé à autre chose.


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  • Une fois par an au moins, Melle-T une amie de très longue date et moi, nous nous retrouvons à déjeuner. Nos contacts dans l'année sont téléphoniques ou épistolaires, et elle a une passion pour les frites. Donc, nous allons déjeuner à "Au Relais de L’entrecôte", rue Saint-Benoît à Saint-Germain-des-Prés. 

    Lors de notre bavardage, devant nos assiettes de frites, nous avons évoqué les nappes en papier utilisées pour griffonner notes, dessins, et tout un tas d'autres choses nous passant par la tête. Mais cela faisait très longtemps que ce genre d’exercice futile n'était plus dans nos habitudes. Sauf qu'à ce fameux déjeuner du 25 janvier, à propos de frites, de girouette et de mouettes, j'ai lancé une phrase inspirée, sur le sujet. Melle-T me demande de répéter pour noter cette phrase sur la nappe. Et ça, répéter mots pour mots, c'est impossible. Je lui fais remarquer que la prochaine fois, elle devra m'enregistrer.

    Comme il me restait dans la tête des bribes de cette mini tirade, elle la nota sur la nappe. Et j’ai finalement continué ce début d'histoire que Melle-T, écrivait sur cette nappe et qu'elle corrigeait parfois en modifiant ici et là, le mot ou la tournure de phrase.

    Après avoir payé l'addition, Melle-T. déchira le tiers de le nappe, support de notre écrit et me lança qu'elle transcrirait le texte et me l'enverrait par mail. Le soir même, je recevais les "pensées de la nappe" avec cette petite phrase : "Deux pages historiques qui ne demandent qu’à être complétées !"

    Aie ! Fichtre ! Il faut donc écrire une suite entre frites, girouette et mouettes. Un truc tordu, un peu à l’ouest, déjanté et qui tienne quand même un tantinet la route. Pas forcément une saga, mais une histoire.

    Nos mails se succèdent à la cadence d’un par jour avec les compléments d’écriture de chacun... Jusqu’où irons-nous ?

    Nous sommes en pause depuis samedi 3 février. Il est temps de relire 10 jours d'écriture, avant de se perdre bêtement dans les méandres de cette histoire naissante.


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  • Axel... au cœur de mes pensées.

    Suis-je amoureux ? oui, follement et sans hésitation.

    Est-il amoureux ? probablement pas.

    C'est tout nouveau, tout chaud.

    Il est beau comme un ange (jugement subjectif d'un amoureux transi)

    A suivre...

    Edit du 5 : On ne suivra rien du tout ! Je laisse tomber. C'est voué à l'échec. On a une telle différence d'âge et donc de rythme de vie, que cela ne restera qu'un rêve inachevé. Autant passer à autre chose.

    Edit du 26 : je ne renonce pas à lui dire toute mon affection !

    Edit du 27 : oublié de dire qu'il est dans mon environnement depuis début décembre 2023. 


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  • C'était le cadeau de Noël de ma nièce.

    Palais des Congrès, Porte Maillot, le 31 janvier.

    Casse-noisette

    Ballet "Casse-Noisette" de Tchaïkovsky. 

    Ce conte de Noël raconte l’histoire de la jeune Clara qui reçoit en cadeau un Casse-Noisette en forme de petit bonhomme. Dans une nuit animée d’un mystérieux enchantement, les jouets menés par Casse-Noisette se livrent à une bataille acharnée contre les méchantes souris de la maison. Réveillée par le bruit, Clara décide d’affronter ses peurs en participant au combat et sauve son cher Casse-Noisette du danger. Ému par son courage et plein de gratitude, il se transforme en prince charmant et emmène Clara dans un royaume féérique. (in le site)

    Ballet superbe tant par les costumes que par les décors. Un troupe pleine de vigueur, de douceur et d'émotion. Et une standing ovation. Magique, vous dis-je !

    Comme il se doit, après un spectacle, on soupe ! C'est une tradition. Nous nous sommes installés non loin de là, à peine quelques minutes à pied, chez un indien très bon. Et en sortant du restaurant, pile un taxi libre en vadrouille. J'adore ce genre de timing. Dépose de ma nièce chez elle et retour dans mon logis à minuit. L'heure magique où les carrosses redeviennent citrouilles...


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  • Pour continuer, expo à l'Orangerie, lundi 15 à 12h30.

    Musée de l'Orangerie

    Modigliani

    Modigliani" Un peintre et son marchand.
    Près d’un siècle après la rencontre entre les deux hommes en 1914, cette exposition se propose de revenir sur l’un des moments emblématiques de la vie d’Amedeo Modigliani, celui où Paul Guillaume devient son marchand. Elle s’attachera à explorer la manière dont les liens entre les deux personnages peuvent éclairer la carrière de l’artiste."

    [...]

    " L’exposition évoquera ainsi, à travers le choix d’œuvres emblématiques, les différentes caractéristiques de ce corpus tout en explorant les liens du peintre et de son marchand dans le contexte artistique et littéraire parisien des années 1910 ainsi que le rôle de Paul Guillaume dans la diffusion de l’œuvre de Modigliani sur le marché de l’art à la fois en France et aux États-Unis dans les années 1920."

    (extrait site du musée)


    Hermann Nitsch. Hommage

    H. Nitsch" Artiste majeur de l'actionnisme viennois, dont il fut l'un des fondateurs, Hermann Nitsch (Vienne, 1938 - Mistelbach, 2022) est l'auteur d'un œuvre d'art total d'une radicalité extrême, mêlant peinture, musique et performance. Si celui-ci culmine dans le « Théâtre des Orgies et des Mystères », série de festivités et performances inspirée des rites antiques et chrétiens dont Nitsch avait forgé le concept dès 1957, ses toiles tardives témoignent d'une manière nouvelle, marquée par un chromatisme vibrant.

    En réponse à l'invitation de l'artiste par le musée de l'Orangerie à dialoguer avec les Nymphéas de Claude Monet, cet ouvrage permet de découvrir le « dernier » Nitsch et sa parenté élective avec le maître de l'impressionnisme, habité par une même obsession de la lumière et de la couleur. "

    (extrait site du musée) 


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  • Le problème de la procrastination, c'est de louper des expos que vous aviez repérées depuis un moment. Les semaines défilent et à un moment vous vous apercevez que les expos sélectionnées doivent se terminer plus tôt que prévu. La poisse. Donc le 9 janvier deux expos dans la journée, entrecoupées par un copieux hachis parmentier divin. Vu la température extérieure, ce déjeuner fut plus que le bienvenu.

    MAM (Musée d'Art Moderne de Paris) à 12h15

    Nicolas de Staël

    Nicolas de Stael expoLe Musée d’Art Moderne de Paris consacre une grande rétrospective à Nicolas de Staël (1914-1955), figure incontournable de la scène artistique française d’après-guerre. Vingt ans après celle organisée par le Centre Pompidou en 2003, l’exposition propose un nouveau regard sur le travail de l’artiste, en tirant parti d’expositions thématiques plus récentes ayant mis en lumière certains aspects méconnus de sa carrière (Antibes en 2014, Le Havre en 2014, Aix-en-Provence en 2018).

    La rétrospective rassemble une sélection d’environ 200 tableaux, dessins, gravures et carnets venus de nombreuses collections publiques et privées, en Europe et aux États-Unis. À côté de chefs-d’œuvre emblématiques, elle présente un ensemble important d’œuvres rarement, sinon jamais, exposées, dont une cinquantaine montrées pour la première fois dans un musée français.

    (court extrait du site de l'exposition)


    || Déjeuner au restaurant Le Grand Corona (Place de l'Alma) à 13h45


    Musée d'Orsay à15h00

    Van Gogh

    Van Gogh expoArrivé à Auvers-sur-Oise le 20 mai 1890, Vincent van Gogh y décède le 29 juillet à la suite d’une tentative de suicide. Bien que le peintre n’ait passé qu’un peu plus de deux mois à Auvers, cette période voit un renouveau artistique, avec un style et un développement propres, marqués par la tension psychique née de la nouvelle situation mais aussi par la création de quelques-uns de ses plus grands chefs-d’œuvre.

    Aucune exposition n’a encore été consacrée exclusivement à ce stade final, pourtant crucial, de sa carrière. En deux mois, le peintre a produit 74 tableaux et 33 dessins, parmi lesquels des œuvres iconiques : Le Docteur Paul Gachet, L’église d’Auvers-sur-Oise, ou encore Champ de blé aux corbeaux. Riche d’une quarantaine de tableaux et d’une vingtaine de dessins, l’exposition mettra en lumière cette période dans un propos thématique : premiers paysages figurant le village, portraits, natures mortes, paysages de la campagne environnante. Elle présentera aussi une série, unique dans l’œuvre de Van Gogh, de tableaux d’un format allongé en double carré.

    (court extrait du site de l'exposition)


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  • Tous mes vœux !


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  • Virée avec Lady S. Début au Musée Carnavalet. La dernière visite était plutôt rapide : le musée réorganisait les espaces, donc beaucoup de choses invisibles. Aujourd'hui, tout est clair, spacieux avec une circulation agréable, malgré un samedi. 

    Niveau 0 : galerie des enseignes, objets et plans de Paris.
    Niveau -1 : préhistoire, antiquité et Moyen Âge au début du 16e siècle. On remonte une volée d'escalier jusqu'au 1er étage : période du 16e siècle à nos jours. Tout cela pour l'histoire de Paris. Mais nous n'avons pas poursuivi au niveau 2 (Révolution française et 19e siècle), car notre visite s'est orientée vers l'expo temporaire :

    expo regence
    « La Régence à Paris de 1715 à 1723 ». Période dominée par le régent Philippe d'Orléans avant l'installation de Louis XV sur le trône. C'est une période mal connue, brève mais intense, on quitte l'ennuyeux Versailles et on revient à Paris. Tout redevient possible ou presque. Plus de 200 objets jalonnent l'exposition.

    « Le gouvernement de Philippe d'Orléans a duré 8 ans. C'est court, mais cette période, son esprit, loin de n'être qu'une parenthèse, va rayonner. Sur le plan du comportement, du cheminement de la pensée, du goût de la liberté individuelle, de l'audace de l'improvisation, l'importance de la Régence dépasse de beaucoup sa durée objective. »
    (Chantal Thomas, de l'Académie française, in La Régence à Paris (1715-1723), l'aube des Lumières, catalogue de l'expo).

    Pause déjeuner. Place des Vosges, existent quelques commerces de bouches. Le restaurant « La Place Royale » se dévoila, au détour d'un colonne, pour nous accueillir. Un repas tout simple et savoureux. Le temps de parler Histoire, nous ressortîmes vers 14 heures à deux pas du musée Victor Hugo. Lady S. ne connaissait pas. Moi, oui. J'avais le souvenir d'un lieu sombre à la décoration moche et pleine de meubles et de souvenirs hétéroclites. Ce musée se trouve au 1er étage de l'immeuble, car c'est l'ancien appartement de Victor Hugo. Mon souvenir était juste... C'est terrible de perpétuer cette ambiance "Misérable".

    L'heure passait et Lady S. s'est avisé que nous n'avions pas acheté nos chocolats. Mais rue des Archives, se trouve une boutique Patrick Roger ! L'affaire fut réglée en 5 minutes.

    Il était temps de rentrer. À l’Hôtel de Ville, le taxi fut le bienvenu. Il déposa Lady S. à St-Lazare et poursuivi jusqu'à mon logis.


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  • Vous consultez un site ou bien vous lisez un article et dès le début on veut vous découper comme une tarte !

    "Je vous partage... " me flanque un urticaire géant. Je suis arrivé à ce point où je ne poursuis ni ma consultation ni ma lecture. Mais quel est l'imbécile patenté, pensant mieux écrire en français avec empathie, qui a inventé une tournure des plus malheureuses et si incorrecte.

    Car si "je me partage", telle une tarte, combien de morceaux de ma pauvre personne allez-vous distribuer et à qui ?

    L'expression correcte est : "je partage avec vous... ". C'est l'information ou votre sentiment ou votre ce que vous voulez, que vous partagez avec moi.

    C'est pourtant simple, non ?

    Et ne croyais pas que les professionnels de l'écrit soient épargnés. Certains journalistes en ligne usent et abusent de cette formule. D'autres objecteront avec une mauvaise foi que l'usage finira par rendre cette formulation correcte. On croit rêver. Certes, la langue évolue. Le "Ouais" de Molière est le "Oui" d'aujourd'hui. Soit. Alors laissons à ceux qui écrivent correctement le soin d'entériner la chose ou pas, par l'usage dans la durée. Et cessons de croire que la mode, l'éphémère, et les obscurs scribouillards de tous poils ont raison de faire évoluer une langue qu'ils ne maîtrisent pas. Car au fond, cela les arrangent d'écrire comme bon leur semble. La paresse syntaxique et orthographique dispense ces individus de tout effort et de toute recherche de la bonne tournure et du mot exact qui donne à la phrase précision et compréhension, sans sacrifier aux mots compliqués et aux tournures alambiquées.

    Ouf ! Voilà terminé mon coup de gueule. A bientôt...  


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  • Je ne fréquente plus les salles de cinéma comme autrefois où un film par mois était une cadence moyenne. Aujourd'hui, pas de salles obscures depuis 2 ans. Il faut dire que les prix des places nécessite un vrai budget. Mais, me direz-vous, le théâtre en encore moins bon marché. Certes, mais on ne refuse pas des invitations.

    Donc, je me rabats sur internet. Et ce soir sur Netflix, je me suis laissé embarquer dans "Nuovo Olimpo". Ferzan Özpetek, qui signe la réalisation de ce film, a puisé dans sa propre vie pour raconter cette histoire d'amour entre deux hommes.

    "Dans la Rome des années 70, Enea et Pietro se rencontrent par hasard dans un cinéma. Naît alors une passion inoubliable, écourtée par les circonstances d'un manif violente. Le destin les séparera, mais 30 ans après, ils pourront se revoir brièvement une seule et ultime fois."

    C'est un film romanesque et même si certaines scènes paraissent kitsch, elles portent en elles délicatesse et sincérité. Ce film vient de sortir dans l'indifférence la plus totale et pour une fois ça vaut la peine de le voir. (inspiré par AlloCiné)


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  • Anniversaire de ma nièce. Trois décennies déjà. Ça se fête dignement. Déjeuner dans un restaurant dont nous ne lui avons dévoilé l'adresse que la veille au soir. Il fallait bien qu'elle puisse adapter sa tenue pour le lieu et l'évènement.

    "La Tour d'Argent", vous connaissez ? C'est à cette adresse mythique au bord de la Seine que nous avons déjeuné. Un lieu où vous ne risquez de venir qu'une fois dans votre vie. Installée au 6ème étage, la salle de restaurant vous donne une vue imprenable sur la Seine, Notre-Dame et les alentours.

    Déjeuner en 4 services, pour ce mois de novembre 2023.

    Coupe de champagnes à choisir dans la carte des champagnes... puis,
    Saint-Jacques (Grillées, choux fleur confit au beurre noisette, sauce de bardes vanillée)
    Dos de Bar (Cuit sur peau, girolles et brocolettis, bouillon bagna cauda aux anchois fumés)
    Caneton Mazarine (Suprême au miel et crumble d'épices, navets glacés au jus d'agrumes, sauce bigarade)
    Clémentine de Corse (Meringue aux marrons glacés, sorbet Kalamansi)

    Le tout arrosé d'un vin de Loire (dont j'ai oublié le nom...).

    Tiens, pas de fromage ? Vous pouvez en déguster. Mais je vous garantis qu'après ces premiers plats, vous n'avez pas envie de fromage et que le dessert rafraichissant est le bienvenu. Et pour l'addition ? Ne soyez pas vulgaire, allez sur le site du restaurant si cela vous démange !


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  • LapinInvitation à la représentation du 27 septembre de "Lapin" au théâtre Édouard VII. Mais ce soir là, Pierre Arditi fait un malaise en scène et nous sommes repartis au bout de 20 minutes environ, ma nièce, ma sœur et moi.

    Retour le 15 novembre. En scène Pierre Arditi et Muriel Robin dans une pièce de Samuel Benchetrit.

    "Tous les lundis, soir de relâche, Muriel Robin se rend chez Pierre Arditi pour passer la soirée avec lui. Comme tous les lundis, ils partagent un dîner et profitent de leur amitié. Mais ce soir pour la première fois, ils se rendent compte qu’ils ne sont pas seuls... mais beaucoup plus..."


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  • Entre l'expo "Berthe Morisot" et "Mark Rothko", nous - Lady S et moi-même - avons déjeuné japonais chez Kaïten. Puis direction la Fondation Louis Vuitton.

    L'accès au bâtiment pour les expos est lamentable. On est dehors à attendre en plein vent, puis on passe par un contrôle foutoir, le tout sous des tentes de toile. Le personnel est à peine aimable.

    Mark Rothko

    Cette expo est exceptionnelle à plus d'un titre. Nous avons les œuvres dans l'ordre chronologique et nous pouvons suivre le parcours de l'artiste. Ne croyez pas que Rothko a fait ses immenses toiles d'aplats de couleurs dès le début. Nous découvrons des petits formats. Des sujets de la vie : une station de métro new-yorkais, par exemple. De l'art figuratif pendant 25 ans, où l'on distingue bien les influences très directes de Vuillard, Bonnard, Matisse, Miro.

    Puis il glisse vers le surréalisme inspiré des européens réfugiés aux USA pendant la deuxième guerre mondiale. C'est un artiste qui explore toutes les voies qui se présentent à lui (mythologique, surréaliste, multiforme). Il décide même d'écrire un livre. Puis se relance dans la peinture. Mais cette fois-ci, il va vers l'abstraction absolue. Ne plus donner obligatoirement de titre à ses œuvres, mais un numéro et pas toujours. Naissent alors ces extraordinaires séries de grand tableaux, souvent gigantesques construits avec des rectangles de couleurs, qui racontent tous une histoire, un sentiment, une douleur, les émotions de l'âme humaine.

    J'ai dit au début que cette expo était exceptionnelle à plus d'un titre. L'autre constat, c'est que vous avez en un lieu, pratiquement tout le travail de l'artiste. Première rétrospective en France consacrée à Mark Rothko (1903-1970) depuis celle du musée d’Art moderne de la Ville de Paris en 1999, l’exposition réunit 115 œuvres provenant des plus grandes collections institutionnelles et privées internationales, et de la famille de l’artiste.

    Et nous sommes pas près de revoir une exposition aussi dense.


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  • La saison des expos est repartie. Quelques unes à voir avant changement de sujet vers mars 2024.

    Musée Marmottan Monet

    Exposition des oeuvres de Berthe Morisot. " Berthe Morisot et l'art du XVIIIe siècle (Watteau, Boucher, Fragonard, Perronneau)"

    Berthe Morisot

    "Soixante-cinq œuvres provenant de musées français et étrangers ainsi que de collections particulières sont réunies pour la première fois afin de mettre en lumière les liens qui unissent l’œuvre de la première femme impressionniste, Berthe Morisot (1841-1895) à l’art d’Antoine Watteau (1684-1721), François Boucher (1703-1770), Jean-Honoré Fragonard (1732-1806) ou encore Jean-Baptiste Perronneau (1715-1783)." (in le site du musée)

    Ne pas oublier que Berthe Morisot était l'épouse d'Eugène Manet, frère d’Édouard Manet. Cette proximité lui fit connaitre et fréquenter les impressionnistes qui appréciaient et reconnaissaient son talent. Elle fut la première femme impressionniste. Mais son siècle ne lui a pas donné toute la place qu'elle aurait du avoir...


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  • ... sale en famille. Ce diction n'a aucune raison d’être ici.

    Le lave-linge acheté en 2010 (lave-linge Candy) n'est plus. Treize ans de bons et lave-lingeloyaux services. J'ai voulu racheter le même d'autant qu'il avait une capacité de 5 kg au lieu de 3.5 kg, pour le même encombrement.

    Mais problème. Il existe au catalogue Candy, sauf que cette marque et d'autres ont été rachetées par Haier (le chinois). J'ai donc acheté Haier. Que voulez-vous, il faut bien bien que je lave mes affaires.

    Cette machine fait le travail et c'est le principal. 


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  • Mort de Hubert Reeves.

    Hubert Reeves, né le 13 juillet 1932 à Montréal et mort le 13 octobre 2023 à Paris, est un astrophysicien, vulgarisateur scientifique et écologiste canadien naturalisé français.

    Je l'ai rencontré il y a plus d'une vingtaine d'années à l'occasion d'une expo au Palais de la découverte. C'était un personnage simple et attachant. Il avait un don de conteur extraordinaire. Avec lui on avait l'impression de tout comprendre de l'astrophysique. Il est redevenu poussière d'étoiles...


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  • Le mien évidemment !

    Cadeaux : parfums et théâtre.

     

    "Pour homme" de Dolce&Gabbana. Ma petite sœur a du faire la tournée des parfumeries chics pour trouver ce parfum, car D&G ne le produit plus !

     


     

    Dans la foulée, craignant que Guerlain ne fasse le même coup, elle a racheté "L'eau du Coq".

     

     

     

    Théâtre. Une sortie pour assister à la pièce de F. Luchini : La Fontaine et le confinement.

    Je vous en parle plus tard ou pas... quand j'aurais vu la pièce fin octobre (le 30) sur invitation de ma nièce.

    Me voilà tout étourdi du bonheur de renouer avec le théâtre et de m'y précipiter parfumé comme une cocotte.


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  • Déjeuner samedi avec Lady S. Nous avons débarqué au Port de Javel à La plage Parisienne. Décor cosy. Nous sommes en bordure de Seine, pas de bruit. Personnel accueillant et efficace. Nous n'étions pas beaucoup. Le restaurant était occupé au quart. La carte est simple et de qualité. Nous avons fini le déjeuner avec une Pavlova1, un dessert que nous avons partagé. Les prix sont corrects pour un lieu comme celui-ci.  

    Et une adresse de plus dans mon carnet. (La plage parisienne)

    1. La pavlova est un gâteau à base de meringue, nappé de crème chantilly et recouvert de fruits frais. Ce dessert fut ainsi nommé en l'honneur de la ballerine russe Anna Pavlova. La spécificité de la pavlova est d'être croustillant à l'extérieur et moelleux à l'intérieur.


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  • Anniv' de ma sœur qui a exprimé le désir de déguster une canette à l'orange et aux fruits ! Rien que ça. Elle se souvenait de ce plat que j'avais servi il y plusieurs années et dont nous nous étions régalés.

    J'avais un peu d'appréhension. Le souvenir qui subsiste au fil du temps est parfois magnifié et vous joue des tours quand vous reprenez une recette.

    J'ai commandé une canette chez mon boucher-volailler et le jour dit j'ai acheté les ingrédients de la recette. Oranges, raisins, pêches, bananes. Cognac, Grand-Marnier.

    Début des préparations dans l'après-midi, cuisson de la bestiole et cuisson de tout le reste séparément ou presque. Diner à 20h !

    Verdict de l'intéressée : succulent ! Les invités étaient du même avis : une chance !


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  • Question posée brutalement : as-tu des sex-toys ? J'ai cru mal entendre sur le moment. Nous étions un pote et moi à la terrasse d'un café en discutant de la météo. Je l'ai regardé, un peu ahuri, et j'ai répondu : "Mais tu veux savoir quoi précisément ?" "Oh, rien. C'était juste pour savoir." Mais je n'ai pas fourni de réponse.

    Un silence s’installa. Je me suis demandé quelles idées tournaient dans son esprit. La conversation est repartie sur le temps pourri, puis nous nous sommes quittés le plus amicalement du monde. C'était bizarre...    

     


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