• Déjeuner samedi avec Lady S. Nous avons débarqué au Port de Javel à La plage Parisienne. Décor cosy. Nous sommes en bordure de Seine, pas de bruit. Personnel accueillant et efficace. Nous n'étions pas beaucoup. Le restaurant était occupé au quart. La carte est simple et de qualité. Nous avons fini le déjeuner avec une Pavlova1, un dessert que nous avons partagé. Les prix sont corrects pour un lieu comme celui-ci.  

    Et une adresse de plus dans mon carnet. (La plage parisienne)

    1. La pavlova est un gâteau à base de meringue, nappé de crème chantilly et recouvert de fruits frais. Ce dessert fut ainsi nommé en l'honneur de la ballerine russe Anna Pavlova. La spécificité de la pavlova est d'être croustillant à l'extérieur et moelleux à l'intérieur.


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  • Anniv' de ma sœur qui a exprimé le désir de déguster une canette à l'orange et aux fruits ! Rien que ça. Elle se souvenait de ce plat que j'avais servi il y plusieurs années et dont nous nous étions régalés.

    J'avais un peu d'appréhension. Le souvenir qui subsiste au fil du temps est parfois magnifié et vous joue des tours quand vous reprenez une recette.

    J'ai commandé une canette chez mon boucher-volailler et le jour dit j'ai acheté les ingrédients de la recette. Oranges, raisins, pêches, bananes. Cognac, Grand-Marnier.

    Début des préparations dans l'après-midi, cuisson de la bestiole et cuisson de tout le reste séparément ou presque. Diner à 20h !

    Verdict de l'intéressée : succulent ! Les invités étaient du même avis : une chance !


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  • Question posée brutalement : as-tu des sex-toys ? J'ai cru mal entendre sur le moment. Nous étions un pote et moi à la terrasse d'un café en discutant de la météo. Je l'ai regardé, un peu ahuri, et j'ai répondu : "Mais tu veux savoir quoi précisément ?" "Oh, rien. C'était juste pour savoir." Mais je n'ai pas fourni de réponse.

    Un silence s’installa. Je me suis demandé quelles idées tournaient dans son esprit. La conversation est repartie sur le temps pourri, puis nous nous sommes quittés le plus amicalement du monde. C'était bizarre...    

     


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  • Je suis passé au Bricomachin. Thomas parti, remplacé par Martin. Il n'embauche pas les plus moches. Grand (plus que moi c'est pas difficile), châtain, yeux charmeurs (j'ai oublié la couleur), sourire ravageur avec les dents du bonheur... Il ne travaille pas tous les jours et moi, je ne vais pas acheter une étagère tous les matins. J'ai sollicité un conseil et je suis tombé sous le charme durant cet échange qui n'a duré que 10 minutes... A la prochaine !


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  • Lady S. m'a invité à une conférence du physicien Christophe Galfard, ayant pour thème : " La matière noire ".

    Sujet passionnant et déroutant. Nous sommes ressortis avec plus de questions qu'à l'arrivée, ce qui est tout à fait logique quand on passe d'un état d'ignorant à celui d'apprenti. (on dit : apprenti ; apprenant ; élève ? C'est quoi la subtilité ?)

    La prochaine conférence que nous nous proposons d'aller écouter est sur le "Big-Bang", par le même personnage.

    Ce qui est intéressant, c'est que les sujets évoquent toujours le dernier état des connaissances, les hypothèses évoquées, les possibles pistes à confirmer. Au fond, nous assistons à la science en marche, telle qu'elle s'expose également aux leçons magistrales du Collège de France.

    A suivre.


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  • Du boulot sur ma misérable personne. Pour le ventre, si je ne bouffais pas un peu n’importe quoi, à n'importe quelle heure, c'est sûr que ça irait mieux. Dont acte. Mes dents, et y'en a pour un moment. Le dentiste est sympa. J'aimerai bien voir sa tête au complet, mais je n'ai droit qu'au haut du visage avec ces foutus masques. C'est frustrant. Et demain on y retourne pour des radios...


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  • Cela faisait un bail que je n'avais pas abusé de Netflix. Le rattrapage c'est opéré en deux nuits.

    Un film : "Le chant du loup"

    Mini série : "Smiley"

    Série : "#Philo"

    Maintenant il faut que je récupère, je suis crevé !


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  • Vendredi, reprise de nos activités culturelles avec Lady S.

    Première étape, le Château de La Malmaison. A peine 1/2 heure pour visiter. En fait, la seule pièce qui me fait venir, c'est la bibliothèque. Le style empire n'est pas mon préféré, mais la bibliothèque agit sur moi comme un aimant. Si j'avais les moyens, elle serai ma source d'inspiration pour mon cabinet de travail...

    Deuxième étape, l'ile des impressionnistes à Chatou. Déjeuner au restaurant "Maison Fournaise". Délicieux. Mais ce n'est pas que pour le restaurant que nous avons rejoint cette ile. Il y a aussi le petit musée consacré à Renoir. Mise en scène très bien faite, avec hologramme et commentaires de Renoir lui-même. Quant au restaurant au bord de l'eau, il fut le lieu de divertissement des impressionnistes. Renoir a peint son fameux "Déjeuner des canotiers" sur le balcon de la "Maison Fournaise".


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  • Je suis passé au Bricomachin. Vu Thomas. Toujours aussi craquant à deux jours de son départ pour un nouveau magasin également dans Paris. Nous avons bavardé rapidement et j'ai promis de passer le voir. Avec plaisir, a t-il répondu dans un grand sourire.


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  • Je suis reparti au Bricomachin. Trois fois ! Et le monsieur n'était pas là. Entre le jour où il ne travaille pas et l'heure trop tardive, j'ai pas pu le voir. J'ai quand même demandé carrément aux caissières son prénom. C'est Thomas ! Et ce prénom lui va très bien. Du coup je suis encore plus en mode amoureux. C'est chaud-bouillant dans ma tête et ailleurs. A suivre...


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  • ... avec la crevette du Bricomachin. Vendeur tout mignon. Agréable et sympa. C'est le seul du magasin qui avait accroché mon regard, dans un rayon de soleil qui le rendait magnifique et immédiatement j'étais tombé fou amoureux de lui ! Plus tard, nous avons réussi à nous recroiser. Hier, discussion chauffage et vu la température, évocation de bouillotte humaine... J'ai failli sombrer quand il m'a montré sur son smartphone sa chaudière. Son visage était à 15 cm du mien. Coup de chaud ! Oui mais, il part de son boulot le 6 ou 7 janvier 2023. Faut que je continue la discussion pendant un repas avant son départ. Faut que je saches ce qu'il attend après m'avoir dit en partant "c'était super agréable de discuter avec toi vous. A très bientôt."


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  • Je viens de me retourner et je vois que je suis trop bon, trop naïf, trop con !


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  • Hier, soirée théâtre avec Lady S.
    Dîner léger avant le spectacle chez Garnier (à St-Lazare), puis en route pour le Théâtre Michel, rue des Mathurins.

    « Une idée géniale »
    une idée génialeAprès le succès de « J’ai envie de toi », la nouvelle comédie écrite, mise en scène et jouée par Sébastien Castro & José Paul !
    On a tous un sosie dans le monde. Et si vous rencontriez le vôtre ?
    Depuis qu’ils ont visité un appartement pour s’installer ensemble, Arnaud a un léger doute : Marion a-t-elle eu un coup de cœur pour l’agent immobilier ? Par pur hasard, il rencontre le sosie de celui-ci et lui demande de se faire passer pour le véritable agent immobilier. Une idée géniale !
    À moins que le faux agent se retrouve nez à nez avec le vrai… Et qu’un frère jumeau débarque à l’improviste.
    Trois sosies dans la même soirée, c’est trop pour Arnaud !

    (in www.theatre-michel.fr/Spectacles/une-idee-geniale/)

    Très bonne comédie et sans entracte, ce qui donne une histoire continue et un rythme sans coupure.
    A voir. Très bonne soirée. Et en plus, on peut acheter le texte de la pièce.

    En sortant du théâtre, une petite faim me taquine. Le Greffulhe est juste en face. De quoi calmer nos estomacs. Puis retour maisons.


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  • Déjeuner au "Relais de l’Entrecôte". Cette maison doit sa réputation à une formule unique : une salade verte aux noix, suivie d’un contre-filet de bœuf extra tendre et de sa fameuse sauce secrète accompagné de délicieuses pommes allumettes maison. Service rapide et personnel charmant. Et ça dure depuis des années.(Rue St-Benoît à St-Germain ses Prés)

    Salon de thé à Montparnasse "A la duchesse Anne". Lieu fréquenté depuis des années au charme et au décor désuet. Il pleut, vous vous engouffrez dans le lieu et assis sur la banquette vous commandez votre thé et votre gourmandise. Mais tout ça est fini, Y'a plus.
    Remplacé par "Paris Baguette". Une simple pâtisserie sans charme (et  sans âme) comme il en existe des dizaines. Ils sont pas prêt de me voir.


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  • Salle Pleyel : Lords of the Dance

    Paris 13 & 14 nov. 2022 et plusieurs tournées en France.

    Somptueux et splendide. Une performance et 26 épisodes. Toute une histoire ! Comme c’était pour l’anniv’ de ma nièce, la tribu s’est transportée !

    Danse IrlandaiseDepuis sa première représentation en 1996 à Dublin, le spectacle Lord Of The Dance de Michael Flatley a été présenté dans plus de 1000 salles partout dans le monde et a attiré plus de 60 millions de spectateurs dans 60 pays différents sur tous les continents, ce qui en fait l'une des productions de danse les plus populaires au monde.
    Le spectacle passe à la vitesse supérieure en 2022 pour son 25e anniversaire : nouvelle mise en scène, nouveaux costumes, nouvelle chorégraphie signée Michael Flatley, effets lumineux spéciaux à la pointe de la technologie.
    Le spectacle met en vedette 40 des jeunes artistes les plus remarquables au monde, dirigés par Michael Flatley, sur une nouvelle musique du compositeur Gerard Fahy. Cette nouvelle version combine le meilleur de la tradition et la nouveauté d’une musique et d’une danse totalement au goût du jour. Michael Flatley explique : « Je suis très heureux de ramener enfin le spectacle Lord of the Dance dans une salle parisienne en 2022. J'ai l'impression que c'est la tournée la plus importante de nos 25 ans d'histoire ! Le retour de l’art dans nos vies est incroyablement important. J'espère que la tournée contribuera à redonner la bonne humeur et le sourire à tout le monde... »


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  • Musée et Restaurant

    Hôtel de la MarinePlace de la Concorde, deux immenses bâtiments trônent. A gauche, un bâtiment qui abrite l’hôtel Le Crillon et à droite, l’ancien ministère de la Marine.
    Quand le ministère est parti, il été décidé après plusieurs projet de restaurer ce témoignage du XVIIIe siècle.
    Visite très instructive et passionnante.
    Hôtel de la Marine

    Déjeuner avant la visite dans un des deux restaurants installé dans ce lieu :
    La Pérouse. Décor raffiné et carte à la hauteur.


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  • Le peintre Pierre Soulages est mort le 26 octobre 2022, à 102 ans.

    Peintre, décorateur de théâtre, aquafortiste, graveur, céramiste, sculpteur, illustrateur, graveur sur cuivre, artiste graphique, il était aussi tout ça.

    La peinture de ce mec me foutait le cafard. Ses tableaux monochromes noir me donnait le bourdon. Mais d'un coup, une expo se tient en 2020 au Louvre, et je me dis que vu l'âge du peintre, on est peut-être pas prêt de revoir une manifestation de cette ampleur. On était en plein covid, et je n'ai pu voir cette expo. Car figurez-vous que depuis quelques années je commençais à apprécier et même à comprendre un peu sa peinture, l'utilisation de son "outrenoir".

    Et voilà ! C'est foutu ! Faudra t-il attendre 20 ans pour revoir une rétrospective ?


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  • La rentrée est là et les reprises s'enchaînent. Cadeau pour mon anniversaire,

    Au Théâtre Fontaine : BerlinBerlin

    Théâtre : BerlinBerlin

    Berlin Est. Emma et Ludwig veulent s’enfuir et passer à l’Ouest. Emma se fait engager comme aide-soignante chez Werner Hofmann pour s’occuper de sa vieille mère sénile. Elle n’est pas là par hasard, cet appartement possède un passage secret qui mène de l’autre côté du Mur. La situation est déjà suffisamment compliquée mais si en plus Werner est un agent de la Stasi, qu’il tombe fou amoureux d’Emma, et que l’appartement est un nid d’espions, ça tourne au burlesque. Berlin Berlin, la comédie qui fait tomber les murs.
    (Une pièce de Patrick Haudecœur et Gérald Sibleyras. Mise en scène José Paul, Avec Maxime d’Aboville, Lysiane Meis, Patrick Haudecœur, Loïc Legendre, Guilhem Pellegrin, Marie Lanchas, Claude Guyonnet,  Gino Lazzerini. Décor Édouard Laug. Costumes Juliette Chanaud. Lumière Laurent Béal. Musique Michel Winogradoff. Assistant mise en scène Guillaume Rubeaud. Une coproduction Théâtre Fontaine - Pascal Legros et Cinéfrance Studios - David Gauquié et Julien Deris.)


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  • Seize ans !
    Seize ans que je tiens ce blog.
    Seize ans que j'écris.
    Seize ans que je bavarde.
    Seize ans que ma prose s'étale de façon inégale.
    Seize ans que je vous abreuve de récits, d'avis, de chroniques, de billets, d'humeurs et d'illustrations diverses.
    Seize ans... c'est si long et tellement court à la fois.


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  • Pour le bal des pompiers, j'ai un problème de tenue... Laquelle choisir ?

    Choisir une tenue


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  • Mowgli dans la jungle par Raymond Delamarre.

    Mowgli

     


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  • Boldini « Au Petit Palais se tient, jusqu'au 24 juillet, l’exposition consacrée à l’artiste italien Giovanni Boldini ( (1842-1931), dont la dernière rétrospective en France remonte à plus de soixante ans.

    Pourtant, le portraitiste virtuose fut l’une des plus grandes gloires du Paris du tournant des XIXe et XXe siècles, en observateur attentif de la haute société qu’il admirait et fréquentait. Une scénographie évocatrice et immersive accompagne un parcours riche de 150 œuvres mêlant peintures, dessins, gravures, costumes et accessoires de mode prêtés par des musées internationaux et de nombreuses collections particulières.

    À travers l’œuvre de Boldini, l’exposition invite à revivre les plaisirs de la Belle Époque et l’effervescence d’une capitale à la pointe de la modernité. »

    (in https://www.petitpalais.paris.fr/expositions/boldini)


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  • Un colis a mis 3 jours pour venir de Hambourg à Paris. Super. Je l'ai récupéré au point Relais UPS. Deuxième colis de 4 kg, annoncé au départ le 22 avril et depuis un cafouillage a commencé. Colis en attente on ne sait où, qui est reparti chez l'expéditeur, puis de nouveau renvoi chez moi, date de livraison en cours. Et depuis 15 jours, aucune autre nouvelle. UPS est débordé par les colis, ne livre pas dans certains immeubles et prétend manquer d'informations (code, inter, etc.). Les points Relais me confirme que les livreurs font un peu n'importe quoi, mettent les colis dans les mauvais points Relais, et que les retards s’accumulent.

    Tous les jours, il a fallu que je contacte l'expéditeur qui à son tour contacte le transporteur et qui ne comprends pas ce que fait UPS. Quant à ce dernier, il vous met en attente téléphonique puis raccroche si l'attente dure trop longtemps ! Donc je ne sais pas si je recevrai ce colis un jour...

    Qui a dit que la colère ou la haine est mauvaise conseillère ?


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  • (Au départ cet article devait être en ligne le 27 mars. Et puis je l'ai un peu oublié...)

    Impossible de trouver un titre. Je déteste mettre un titre. Ou bien on met quelque chose de cohérent ou on met "sans titre" comme pour certains tableaux. La musique subit aussi ce genre de chose. "Pièce n°15 en do" ; "Variation...". Donc mon titre en vaut bien un autre.

    Je ne commenterais ni la suite du Covid, ni la guerre en Ukraine, ni l'élection présidentielle à venir. Le monde est en train de se remodeler, de se transformer de façon plus brutale et plus rapide que par le passé. L'histoire nous a laissé des épisodes sanglants sur le sujet.

    J'aime l'histoire, la grande comme la petite. La grande ne fait penser à une vue d'avion alors que la petite est plus au niveau du sol. Les petits événements, les détails - parfois en apparence isolés - sont souvent les mèches qui allument les feux. Les mouvements du monde, plus amples et plus violents, nous font basculer d'une époque à une autre. Nous sommes 7 milliards d'individus, pratiquement tous connectés d'une façon ou d'une autre. Très peu de pays sont véritablement isolés, imperméables aux événements.


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  • Samedi. Un temps de printemps à Paris. Retrouvailles avec Lady S. que je n'avais pas revu depuis mon retour il y a un mois. Retour de province, après 18 mois d'absence.

    Restaurant Hippo, tranquille, puis balade dans Paris. Nous avons beaucoup parlé, pour rattraper un peu le retard. La prochaine fois, expo prévue mais pas encore réservée. 

    Bon dimanche.


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  • On va avoir une année compliquée. Après le Covid, voilà l'autre abruti de Vladimir qui rêve de son empire. Empire, mot à double sens. Ça va effectivement empirer. En sortirons-nous vivant, irradié, affamé. C'est sûr que mon moral n'était pas au beau fixe pour plein de raison, mais là, je sens une déprime...

    Restons lucides et optimistes, me direz-vous. Et bien faites donc mes amis.


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  • Fin novembre, calme. Décembre, calme. Réveillons légers.

    Et maintenant nous sommes en janvier 2022.

    Bonne année et bonne santé. Le traditionnel. Des vœux auxquels on aimerait bien croire et qu'ils se réalisent, tout simplement. Des choses simples, sans prise de tête. Nous verrons bien...


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  • J'en suis à 350 pages. Les chapitres sont aérés par un recto qui ne comporte que la table des matières du chapitre. Chaque recette commence sur une nouvelle page. Donc le volume respire. En plus de cette partie de recettes qui tient sur 210 pages, la suite est composée d'une annexe avec des infos pratiques, puis de l'histoire d'un restaurant de légende.

    Il n'y a pas de photos ! Incroyable, non ? Savez-vous le temps qu'il faut pour prendre les photos d'un plat ? Si en plus vous mettez les photos des étapes intermédiaires, vous avez encore des semaines de travail. Après, c'est la mise en page. Cela suppose que vous avez cuisiné toutes vos recettes en espérant que la réussite soit au rendez-vous, sinon le plat est à refaire... pour la photo.

    Et puis, ce livre va être imprimé pour le cercle familial, donc tout à mes frais.

    Une dizaine d'exemplaires suffiront. Allez, au travail, j'ai pas fini.


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  • Les sangliers font encore des ravages. Dès qu'un jardin n'est pas bien clôturé en dur, le sanglier passe. Il fouille sans relâche le sol et fini par se glisser sous les clôtures en fil lisse ou barbelés. Là, tout à son affaire, il défonce le jardin, mange tout ce qui lui parait comestible et comme sa petite famille le suit, votre jardin ressemble à un terrain après des bombardements, une fois qu’ils sont partis.

    Tous les ans, un quota de chasse est décrété pour contenir une population "raisonnable". Certains diront que le quota est trop haut ou trop bas, quand d'autres crieront que c'est scandaleux de tuer autant d'animaux.

    Il faut bien dire que tous les animaux se reproduisent, mais que la quantité de naissance est directement influencée par leur environnement. S'il n'y a pas assez de nourriture et que les conditions climatiques sont défavorables, les individus par portées seront moins nombreux.

    De plus le sanglier, qui n'avait en moyenne que deux portées par an, s'est croisé avec des cochons domestiques échappés de leur enclos et retourné à l'état quasi sauvage. Et cela à entrainé des modifications dans le nombre des portées et d'individus.

    Donc la chasse est ouverte vers le 15 août pour finir vers la fin de l'année.

    Et c'est pour cette raison que je suis gratifié, trois ou quatre fois par saison, avec des morceaux de sangliers. Il finissent au four avec du thym, en ragoût avec sauce au vin ou en terrine.

    Vous avez compris que je suis un infâme carnivore, même si je ne mange pas de viande tous les jours.


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  • Pas de titre pour ce billet. Comme pour ces œuvres qui ne portent pas de titre non plus et qu'on se sent obligé de nommer par un "sans titre". Les marchands et collectionneurs s'en accommodent et se retrouve avec des listes entières de "sans titre". 

    Aujourd'hui, le même phénomène s'applique à tout. Y compris aux humains !

    Au XIX° siècle et avant cela, les éditeurs et marchands ne supportaient pas le sans titre. Ils prenaient donc la liberté de nommer ou de numéroter les œuvres.

    Pourquoi je vous dis tout ça ? Je ne sais plus.


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