• Prêt pour une ballade ?

    hiker(grand format !)


    votre commentaire
  • Mad Max, 2015 J'avais un vague souvenir de n'avoir pas compris grand chose à la version de 1979. Du coup j'avais zappé la trilogie. Le même réalisateur reprend sa caméra et recommence pour le quatrième film de la saga.

    Hanté par un lourd passé, Mad Max estime que le meilleur moyen de survivre est de rester seul. Cependant, il se retrouve embarqué par une bande qui parcourt la Désolation à bord d'un véhicule militaire piloté par l'Imperator Furiosa. Ils fuient la Citadelle où sévit le terrible Immortan Joe qui s'est fait voler un objet irremplaçable. Enragé, ce Seigneur de guerre envoie ses hommes pour traquer les rebelles impitoyablement…
    Réalisé par George Miller avec Tom Hardy, Charlize Theron, Zoë Kravitz.

    (extrait de allocine.fr + secrets de tournage)

    C'est un superbe film, en décors naturels. Environ 80% des effets visuels que l'on peut voir dans le film ont été réalisés sans trucages informatiques, avec de véritables véhicules, de vrais cascadeurs, des maquillages authentiques et bien d'autres choses.
    Les engins sont fantastiques. Et il le faut puisque le film c'est pratiquement 2h d'une poursuite implacable, bourrée d'action. Un bon moment.

    Comme nous étions à la séance de 10h45, une seule chose s'imposait à 13h : déjeuner simplement. Notre crêperie habituelle, mais sans notre rouquin préféré, se chargea de nous gaver, avant un petit tour à la Fnac.
    Et oui, des livres, encore des livres. Lady S ne s'est contenté que d'un seul bouquin et moi je suis reparti les mains vides.


    votre commentaire
  • expo Carnavalet : Napoléon et ParisPrincipal théâtre politique de l’épopée napoléonienne, Paris fut aussi une des préoccupations majeures du premier consul puis de l’empereur. Le propos de cette exposition est d’illustrer les rapports complexes entretenus par Napoléon Bonaparte avec la capitale. Paris fut le lieu où se montra sous le jour le plus révélateur sa double identité d’héritier des Lumières et de promoteur d’un nouvel absolutisme. Après avoir rappelé les étapes parisiennes de l’épopée napoléonienne, depuis sa jeunesse jusqu’à sa seconde abdication, l’exposition évoquera les acteurs de l’administration d’une cité alors peuplée de 600 000 habitants.

    (extrait présentation sur le site de http://www.carnavalet.paris.fr/fr/expositions/napoleon-et-paris)

    Beaucoup de dessins et de documents. Des bâtiments encore là aujourd'hui et d'autres rêvés et jamais édifiés. Quelques très beaux objets donnant à voir la maîtrise et l'excellence des artisans de cette époque.

    Et puis vous pouvez voir le reste du musée. Malheureusement beaucoup de salles sont fermées pour cause de restauration.

    Un fois sorti de cette expo, Lady S. avait une faim de loup. Nous nous sommes empressés d’atterrir dans un restau pour une entrecôte de 350 g. ! Accompagnée de pommes de terres sautées, aillées, persillées et fondantes à souhait.

    Une marche aurait pu nous aérer la digestion, mais finalement, nous avons confié aux bus le soin de nous porter jusqu'à Beaugrenelle. Et hop, un tour chez M&S pour le saumon fumé, le cheddar, les scones, les pancakes et le reste ! Cela devient une habitude également de prendre un thé chez Noura.


    votre commentaire
  • C'était jeudi 23 avril et j'avais un déjeuner d'affaire, du coté de Boissy-Saint-Léger. J'ai donc pris un RER A nommé "nege" et suis arrivé à destination pour me trouver sur le quai avec le rer "zeus" en partance.

    J'ai trouvé l'attention délicate, moi qui manie le tonnerre et la foudre comme un dieu !

    Déjeuner au Château du Maréchal de Saxe, un mien cousin dans une autre vie et une promenade digestive au Parc Caillebotte, un vieil ami peintre avec lequel nous fîmes des régates, là aussi dans une autre vie !


    votre commentaire
  • Bernardo VelascoBernardo Velasco  (en 2013 env.) (né en 1986, brésilien)


    votre commentaire
  • makiSamedi dernier c'était l'anniv' de Lady S. A midi tapante, heure d'ouverture, nous étions devant le restaurant japonais Kaiten. Vous savez combien nous aimons nous y installer. Très très peu de monde à cette heure. Comme d'habitude nous avons encore gloutonné (le mot n'est pas trop fort) pas moins de 12 assiettes de maki et sushi ! Le tout arrosé de thé vert brûlant. Il faisait un temps très agréable en ressortant. Notre descente jusqu'au pont de l'Alma fut un plaisir.

    Pont Alexandre IIICe qui était prévu : une balade en bateaux-mouches. On a fait les touristes, appareil photo en main ! Installé sur le pont supérieur, le nez au vent, j'ai pris quelques photos, mais un bateau ça bouche légèrement, puis assis en voulant me retourner pour reprendre une photo (que je n'ai pas prise) j'ai été me flanquer le genou dans ce foutu siège devant moi. P***, ça fait un mal de chien.

    Des amoureuxNous aurions du rester sur les strapontins qui n'ont pas de sièges devant eux. On peut étaler ses jambes. C'est ce qu'a fait un jeune couple de jolis garçons pour leur croisière d'une heure en amoureux.

    .

    Et après. Et bien du pont de l'Alma nous sommes partis à pied jusqu'à Beaugrenelle. Ça fait un bon bout de chemin.
    .

    Immeuble végétalisé, quai BranlyA coté du musée Branly, nous avons croisé cet immeuble végétalisé, très beau et très bien organisé dans ses différentes plantes, herbes et autres végétaux.

    En arrivant à Beaugrenelle, un arrêt chez Noura pour un thé, mais Marks & Spencer nous attendait. Pas des copains ! Je parle du magasin british.

    Provisions de scones tous frais, de pan cakes à la mandarine, de saumon fumé M&S, Beaugrenelleécossais et de crème que je pensais épaisse et qui était plutôt fleurette. Mais qu'importe. Lady S faisait elle aussi ses provisions pour son petit dej' de dimanche matin.

    Retour at home un peu crevé. Je n'ai plus l'habitude de ces sorties pédestres et aérés. Ce fut une excellente journée.


    votre commentaire
  • J'arrive pas à inverser mon rythme de sommeil. Si j'ai sommeil vers 22h, vous pouvez être sûr qu'à 1h du mat je suis réveillé et impossible de me rendormir. Conséquences : je me lève et parfois je grignote... Le résultat au fil des semaines est que je dors le matin et que je prends du poids. J'ai beau traiter ma balance de tous les noms, lui dire qu'elle est dure et m'en veut personnellement, l'affichage est sans appel.

    Il faut que je retrouve le sommeil de la vrai nuit, sinon mes efforts pour manger sainement ne servent à rien.


    2 commentaires
  • Je l'ai enfin trouvé ! Il était pas en chocolat mais tout effrayé. Faut que je l'apprivoise mon joli lapinou de Pâques.

     

    Arthur Sales


    votre commentaire
  • Redécouverte de ce site mis à jour pour les radios en streaming. Un réel plaisir.

    Listenlive.eu

    European radio stations streaming live on the internet.
    A web radio directory showcasing over 4000 radio stations from across Europe streaming live on the internet.
    Vous pouvez aussi accéder aux stations radios des USA, du Canada, de l'Australie et de la Nouvelle Zélande.

    Bien sûr, une fois vos radios choisies, c'est à vous de faire votre playlist des radios avec VLC. Un simple fichier .m3u à ouvrir dans VLC sans besoin d'ouvrir un navigateur internet, à condition d'être connecté.

    Classic FM, London, UK


    votre commentaire
  • Je ne suis pas très ciné en ce moment. Rien ne me tente vraiment. Mais pour le dernier Tim Burton, je me suis dis pourquoi pas. Certains trouveront que c'est un peu fade. Que ce n'est pas du grand Tim Burton. Fadaise ! Ce n'est pas une fiction ; c'est au contraire une véritable et tragique histoire, et dans ces conditions, difficile de déroger et de faire du décalé, du déjanté et des paillettes partout. En revanche, les décors et le "american way of life" sont bien rendus, tant avec les couleurs qu'avec la lumière. A voir si vous voulez apercevoir aussi les années 50-60 US, même si celles ci sont parfois fantasmées.

    Big Eyes de Tim BurtonBIG EYES raconte la scandaleuse histoire vraie de l’une des plus grandes impostures de l’histoire de l’art. À la fin des années 50 et au début des années 60, le peintre Walter Keane a connu un succès phénoménal et révolutionné le commerce de l’art grâce à ses énigmatiques tableaux représentant des enfants malheureux aux yeux immenses. La surprenante et choquante vérité a cependant fini par éclater : ces toiles n’avaient pas été peintes par Walter mais par sa femme, Margaret. L’extraordinaire mensonge des Keane a réussi à duper le monde entier. Le film se concentre sur l’éveil artistique de Margaret, le succès phénoménal de ses tableaux et sa relation tumultueuse avec son mari, qui a connu la gloire en s’attribuant tout le mérite de son travail.


    Film de Tim Burton avec Amy Adams, Christoph Waltz, Danny Huston. (in Allociné)


    votre commentaire
  • Ego Death by James Wyper

     

    jameswyper:

    Ego Death No. 1, 2015, acrylic on birch, 16 x 16 in.

    I had a creative counselling session with Marlo Johnson and we discovered some deep discord in the way I was painting. So she asked me to make three small paintings as if I was never going to show them to anyone else.

    This exercise was really difficult at first - after five days I just had backgrounds. Then suddenly I had to stop what I was doing and go to the studio and paint this.

    Ego death is the end of the subject/object split, the experiential realization of your oneness with everything/one that is. This painting marks the beginning of a new way of painting and being.

    If you’re an artist and want to understand yourself and your practice better, I highly recommend you talk to Marlo via marloland.com.

    New WebsiteArt Prints


    votre commentaire
  • ...un décès dans la famille ! Je vous avais dit il n'y a pas si longtemps que nous remplissions les cimetières. Bon, Nelly était une cousine d'un age respectable. Mais à cette cadence là, nous frisons l'abonnement trimestriel. Le quatrième age lâche la rampe doucement mais sûrement.

    Trêve d'ironie. Laissons les en paix.


    votre commentaire
  • Hugo-Mayhew-by-Brian-Jamie Photograph.

    Hugo-Mayhew-by-Brian-Jamie


    votre commentaire
  • Ça faisait longtemps que je n'avais pas été aussi fracassé. Je me suis retrouvé dans un état mi-grippal, mi-comateux, avec un mal de dos et des articulations endolories. Ce fut quatre journées entières, allongé et me nourrissant une seule fois par jour d'un seul plat, de beaucoup d'eau et de quelques paracé*tamol. Une sorte de désintox. Un jeûne léger en apparence, mais relativement efficace. Six jours se sont écoulés et j'ai presque repris une tonicité normale. C'est idiot, mais j'ai oublié de me peser avant et après cet épisode.

    Maintenant que je vais mieux, reprise des activités normales...


    votre commentaire
  • Ciné ou pas ? Lady S n'avait pas d'idée, ni moi d'ailleurs. La seule chose un tant soit peu claire était qu'il me fallait une paire de chaussures. Mes bottines actuelles m'ont gratifié d'un bain de pied vendredi soir lors d'une pluie battante. J'ai bien d'autres chaussures, mais trop habillées pour traîner. A l'évidence ma pointure est tellement banale que les stocks avaient fondus. Après trois magasins, le renoncement provisoire devient la seule attitude possible. Lundi, je repars en chasse.

    Du coup, nous nous sommes rabattus chez M&S (magasin british à Beau*grenelle). Oh, pas au rayon habillement, mais à la bouffe. Scones aux raisins, pancakes à l'orange, stilton, cheddar, cottage cheese, et autres, tout pour le plaisir. Et les kilos ! En tout cas le magasin est bien approvisionné et les vacances de février avait vidé quelque peu le lieu.

    Tout d'un coup me revient en mémoire que depuis quatre mois je suis sans nouvelle de Tom et de Mat. Curieux. Je vais leur écrire un mail, façon bouteille à la mer. Nous verrons bien lequel des deux répondra.

    PS. Pourquoi ai-je toujours du mal à trouver un titre de post ?


    1 commentaire
  • Film : Imitation GameImitation Game s’appuie sur la biographie de Alan Turing, écrite par Andrew Hodges, pour raconter le rôle important qu’a joué le mathématicien durant la Seconde Guerre mondiale. Ses recherches sur la cryptographie ont permis de déchiffrer plusieurs messages ennemis ce qui, selon plusieurs historiens, aurait accéléré la chute du nazisme. Le film s’attache aussi aux persécutions qu’il a endurées pour son homosexualité, dans la période d’après-guerre.

    Le choix du titre provient d'un article écrit par Alan Turing lui-même, retrouvé par le scénariste Graham Moore où il y exposait sa méthode pour différencier les machines de l'être humain, et ainsi obtenir des résultats liés à l'intelligence artificielle. Le mathématicien cherchait à recréer une conversation humaine avec des machines. Il avait pour habitude de nommer cela le « jeu de l'imitation », d'où le titre « Imitation Game ».

    réalisé par Morten Tyldum, avec Benedict Cumberbatch, Keira Knightley, Matthew Goode (in Allociné).

    Film excellent, tant par les acteurs que par les décors authentiques qui ont été le théâtre de cette véritable histoire. L'ambiance, la lumière m'ont fait penser à l’ambiance de cet autre film « le discours d'un roi ». Ce film a réuni une équipe internationale mais heureusement le style et la touche de ce film sont très british. Un superbe moment d'histoire et d'émotion.


    votre commentaire
  • Vous plaisantez j'espère. Je suis plutôt englouti. Par quoi ? Mais par mille et une choses que j'ai laissé traîner. Je me retrouve donc en apnée. Mon cousin m'avait charger il y a plusieurs mois de liquider son association artistique. Je suis parti dans le sud l'été dernier et depuis je n'ai rien fait ? C'est mal. En plus je ne retrouve plus certains documents. Là, c'est grave. Serais-je devenu bordélique ? A voir. Mais il faut que je m'y colle. Voilà donc un exemple parmi tant d'autres.

    J'ai un truc sur le feu aux impôts et ça mijote depuis plusieurs semaines, pour une histoire de taxe d'habitation.
    On est venu me prendre le choux pour des détecteurs de fumées dans l'immeuble (y'en a qui mélangent tout).
    Mais tout n'est pas perdu. J'avais décidé de faire un tri dans mes livres : c'est en cours et bien avancé !

    Je me demande si je ne me déborde pas moi-même et que je n'y prends pas un certain plaisir. Histoire d'exister avec une pointe de masochisme. Faut que le divan de mon psy soit confortable, car je risque d'y passer un moment. Et comme ça, je ne pourrai pas avancer dans mes activités et de nouveau je serai débordé ! Un cercle vicieux en quelque sorte.
    A ce propos je n'ai jamais compris pourquoi « vicieux ». C'est si beau un cercle...


    votre commentaire
  • Superbe expo que celle présentée. Le catalogue est très riche en reproduction. Mais cela ne vaut pas la proximité de l'oeuvre en face de vous, où le modelé de la chair, le lointain des paysages, la composition sont rendus sublimes par le subtil équilibre des couleurs, la transparence des vernis.

    Après cette balade culturelle, nous avons Lady S. et moi déjeuné sur place. Il est vrai que la formule est pratique, surtout avec les grandes salades composées de plein de choses, qui évitent d'engloutir un repas classique avec le risque des attentes entres les plats. Ce que je j'apprécie de moins en moins. Du coup nous avons glander deux heures à table en discutant !

    Le Pérugin

    (extrait du site http://www.musee-jacquemart-andre.com)

    Vierge à l'enfant, Le Pérugin, Pietro Vannucci, dit (vers 1450-1523) Le Musée Jacquemart-André propose de redécouvrir un autre grand maître de la Renaissance italienne, Le Pérugin (1450-1523). Connu pour son influence sur le jeune Raphaël, Le Pérugin est avant tout un peintre novateur dont la fortune, très importante dans toute l’Italie au début du XVIe siècle, aura un écho particulier en France jusqu’à l’époque contemporaine.

    Considéré par ses contemporains comme l’un des plus grands peintres d’Italie, Le Pérugin a initié pendant les dernières décennies du XVe siècle et les premières du XVIe siècle une nouvelle manière de peindre, qui a profondément marqué son époque. Son art cristallin, fait de transparences et de lumières théâtrales, a suscité un très grand engouement et les effets inédits de grâce et de séduction qu’il a développés font de lui l’un des plus grands représentants de la Renaissance italienne.

     

    Le martyr de St-Sébastien, Le Pérugin, Pietro Vannucci, dit (vers 1450-1523)Le raffinement de ses œuvres, l’attention portée à l’harmonie des couleurs et au modelé des corps témoignent de la grande maîtrise technique du Pérugin. Inventeur de nouvelles règles de composition, il a créé un langage pictural dont l’influence s’est étendue par-delà les frontières. Le Pérugin devient le chef de file d’un courant artistique de portée internationale qui va se diffuser dans l’Europe tout entière, par l’intermédiaire du jeune Raphaël (1483-1520), dont les œuvres rencontrent à leur tour un vif succès.

    Au-delà de l’étude chronologique du parcours du Pérugin, l’exposition permettra de mettre en lumière les apports essentiels de ce peintre à l’art et la culture de son époque. Dans cette perspective, la cinquantaine d’œuvres réunies à cette occasion retracera les grandes étapes de la carrière du Pérugin, de sa formation, marquée par la peinture florentine de la seconde moitié du XVe siècle, à ses grands succès à Rome et Pérouse.

    Figure artistique aussi importante qu’originale, Le Pérugin va exercer une influence majeure sur ses contemporains, en particulier sur Raphaël dont 10 œuvres seront présentées à titre exceptionnel dans l’exposition. On montrera ainsi comment Le Pérugin a élaboré et porté à sa perfection un langage artistique que le jeune Raphaël s’est ensuite réapproprié avec une grande sensibilité.

    (voir le dossier de presse, très bien fait.)


    votre commentaire
  • J'avais eu l'intention d'écrire mes sentiments à chaud sur les événements du 7 janvier* et des jours suivants, et puis j'ai commencé à lire ce que les autres avaient écrit. Je n'avais plus envie d'écrire à chaud, donc je me suis dit que j'écrirais à froid, mais entre temps j'ai continué à lire et à regarder la tv. Et là je n'ai plus envie d'écrire ce que je pense. Non pas qu'il soit trop tard pour dire les choses, mais parce qu'après avoir été gavé de tant d'informations et de commentaires, je n'ai plus envie de vous dire ce que je pense. D'autres l'ont fait bien mieux que je ne pourrai le faire.

    Ce n'est pas une fuite, ni une esquive. Simplement un ras le bol. Le monde peut se démerder sans moi. Personne n'attends que je glose sur le sujet, que je l'aborde sous tel ou tel angle. Ne soyons pas prétentieux, les impertinents et les intolérants auront un jour notre peau et nos pensées. Et le premier qui me dira qu'il y a de la lâcheté dans ma démarche, ne fera plaisir qu'à lui. Moi je m'en fous.

    (* attentat contre le journal Charlie Hebdo)


    votre commentaire
  • champagne

    Bonne année à toutes et à tous !


    2 commentaires
  • cadeaux

    On reporte en janvier. Comme d'habitude, j'avais rien vu qui me plaisait vraiment et ça me soûlait franchement de galoper dans les magasins.

    Entre temps, je me suis aperçu qu'il fallait que je change mon four qui devient une antiquité. Qu'une nouvelle veste serai la bienvenue ainsi qu'une paire de chaussures... Vous voyez, ça commence à venir. Encore un petit effort et j'aurai une liste bien remplie !


    votre commentaire
  • Que faisons nous en ce début de journée ? Rien !

    Que ferons nous ce soir ? Comme il vous plaira !

    Joyeux Noël à tous.


    votre commentaire
  • Faire un tour à la Fnac Montparnasse un samedi et trois jours avant noël est un pari risqué, que Lady S. et moi avons gagné ! Entrée vers 11h15. Une affluence normale, circulation fluide. Je ne dirai certainement pas la même chose vers 14h. Petit tour pour une imprimante. Pas d'achat cette fois-ci. Les livres nous attendaient, mais nous avons été raisonnables, même si j'ai offert huit livres de poches à Lady S. Elle en dévorent tellement, qu'il faut bien alimenter son esprit vorace.

    Je ne suis plus aussi glouton en la matière. La première raison est éminemment pratique : je n'utilise plus de moyens de transport, qui me laissaient deux heures par jour pour occuper mon esprit par la lecture. Je n'ai toujours pas pris l'habitude de lire chez moi, confortablement installé dans un canapé. Du coup mon rythme qui fut soutenu ne l'est plus. Mais je persévère, docteur !

    ***

    I, robot

    Présentation de 4ème de couverture
    (in éditions Pocket - www.pocket.fr)

    Mickey Zucker Reichert

    I, Robot
    Traduit par P. Dusoulier

    La véritable histoire de Susan Calvin, l'héroïne du cycle d'Isaac Asimov, Les Robots.
    2035. Susan débute son internat en psychiatrie au très réputé hôpital Hasbro de Manhattan. Elle y exerce ses talents de diagnosticienne sur des cas complexes d'enfants hospitalisés. Elle y rencontre aussi N8-C, un robot si évolué qu'elle peine à croire qu'il ne s'agisse pas d'un humain. Pourtant, le créateur de ce miracle scientifique n'est autre que son père, John Calvin. L'intelligence artificielle est désormais une réalité et ouvre un nouveau monde de possibles, régie par les Trois Lois de la robotique : protéger, obéir, se préserver. Mais la très puissante Société pour l'humanité est prête à tout – intimidation, espionnage, terrorisme – pour stopper la marche du progrès...

    « Mickey Zucker Reichert propose une trilogie qui se passe avant les aventures imaginées par Asimov. Un éclairage bienvenu ! ». Le Parisien

    ***

    la Compagnie des menteurs

    Présentation de 4ème de couverture
    (in éditions Pocket - www.pocket.fr)

    Karen Maitland

    La Compagnie des menteurs
    Traduit par F. Pointeau

    1348. La peste s'abat sur l'Angleterre. Rites païens, sacrifices rituels et religieux : tous les moyens sont bons pour tenter de conjurer le sort. Dans le pays en proie à la panique et à l'anarchie, un petit groupe de neuf personnes réunies par le plus grand des hasard essaie de gagner le nord, afin d'échapper à la contagion. Bientôt, l'un d'eux est retrouvé pendu... Alors que la mort rôde, les survivants vont devoir résoudre l'énigme de ce décès avant qu'il ne soit trop tard...

    Celui-ci est un cadeau de Lady S.


    votre commentaire
  • rip

    C'était ce matin. La famille s'éclaircit mais pas le cimetière, à six mois d'intervalle pour cette foutue année.
    Et moi qui rechigne de plus en plus à participer aux fêtes de noël et de fin d’année quand elles veulent absolument déployer leurs fastes forcés et leurs libations impératives, vous comprendrez que le cœur y est encore moins en ce moment. Sauf si je décide de me déchirer la tête.

    Dans la Grèce antique, les décès et les funérailles donnaient lieux à des fiesta d'enfer. Je vous assure que Bacchus savait inonder de breuvages fermentés tous les hôtes présents. Mais c'est pas pour autant que cela me redonne une humeur festive.

    C'était une de mes tantes. Elle s’appelait Philomène. Ça ne s'invente pas, je vous assure. Quand les traditions familiales n'osent pas se défaire des prénoms des grands-parents ou arrières grands-parents ou autres, vous récoltez deux ou trois générations plus tard des prénoms exotiques. Moi, j'aimais bien son prénom original et sa personnalité pétillante. Après, selon les époques de votre vie, c'est perçu très différemment. Ce prénom n'aura pas de suite immédiate. Aux deux générations suivantes, ce sont des garçons. C'est tout pour aujourd'hui.


    votre commentaire
  • Drew Van Acker

    Drew Van Acker, acteur et mannequin américain (1,83m),
    né le 2 avril 1986 à Philadelphie, état de Pennsylvanie.


    votre commentaire
  • Sans plus de détail et un peu brutalement :

    Ciné : Interstellar

    Le film raconte les aventures d’un groupe d’explorateurs qui utilisent une faille récemment découverte dans l’espace-temps afin de repousser les limites humaines et partir à la conquête des distances astronomiques dans un voyage interstellaire. Ce synopsis d'Allociné est nul !

    Réalisé par Christopher Nolan , avec Matthew McConaughey, Anne Hathaway, Michael Caine.

    En gros, très gros, la terre va devenir inhabitable. Il s'agit de partir ailleurs. Oui, mais où ? Il y aurait bien quelques planètes qui feraient l'affaire, encore faut-il aller vérifier la chose. Allons-y ! Le film aborde des questions très complexes de temps, de trou noir, de cosmologie. Il est certain qu'en voulant simplifier pour la compréhension de tous on soit au bord de l’inexactitude dans les réponses. Mais les images peuvent aider. Et puis la vérité scientifique n'est pas le sujet du film, d'autant qu'en science, la vérité dépend de l'instant...

    ***

    Expos à la Cité de l'architecture & du patrimoine

    Intitulée Revoir Paris, cette installation nous révèle les projets les plus fous, les représentations les plus utopiques de la ville lumière.

    Revoir Paris, conçu par François Schuiten et Benoît Peeters, nous entraine de manière vivante dans le Paris imaginé, fantasmé d'aujourd'hui ou d'hier.

    Le projet du Grand Paris dialogue alors avec l'oeuvre Paris au XXe siècle de Jules Verne, mais aussi avec la bande dessinée Revoir Paris de François Schuiten ! Dans cet espace, dessins, tableaux et maquettes nous offrent des visions de Paris comme on ne la connaitra jamais, l'occasion de rêver son Paris.

    Cette exposition est l'occasion de faire dialoguer œuvres utopistes et réalisations architecturales au cours des siècles, et sera l'occasion de la célébrer la parution de la bande dessinée Revoir Paris de François Schuiten et Benoît Peeters, aux éditions Casterman. (extraits du site de l'expo)

    ***

    Exposition consacrée à Viollet-le-Duc à l'occasion du 200e anniversaire de sa naissance. Cette exposition signe la reconnaissance de son œuvre, et surtout de ses travaux de reconstruction.

    Théoricien, restaurateur, mais aussi fondateur du musée de Sculpture comparée, devenu musée des Monuments français, Eugène Viollet-le-duc est l'un des rares architectes du XIXe a avoir été célébré et reconnu après sa mort. Son oeuvre est l'une des références pour les architectes et historiens de l'art de de l'architecture du Moyen-Age, et est elle-même étudiée par les chercheurs en archéologie.

    Pour cette exposition, et plus de quarante ans après la dernière exposition monographique lui étant consacrée à Paris, la Cité de l'architecture a souhaité se focaliser sur les aspects les moins connus et les plus inattendus de la carrière de Viollet-le-Duc, mettant en exergue le côté visionnaire de cet architecte et la complexité de sa personnalité, hyperactif.

    En sept séquences, cette exposition dresse le portrait de Viollet-le-Duc, à travers la présentation de ses plus grands projets : portraits, voyages, nature, le Moyen-Age, avec un focus sur ses chantiers de la Sainte-Chapelle et de Notre-Dame de Paris.

    Sa formation est non-académique, et faite de voyages qui constituent un parcours initiatique : en dressant des portraits, en réalisant des cartographies, Viollet-le-Duc affine ses connaissances et son sens de l'observation. On a alors la chance de découvrir des cartes, comme celle du Massif du Mont-Blanc, que Viollet-le-Duc s'amuse à dresser, en bon dessinateur, ou bien des reconstitutions, à l'instar du Château de Pierrefonds.

    Cette curiosité le poussera dans les chantiers, avec Jean-Jacques Huvé ou Jean-Baptiste Lassus. Il sera alors reconnu en tant qu'architecte de talent, passionné du Moyen-Age, et ira même jusqu'à réaliser la restauration de la Cathédrale de Notre-Dame. A cette occasion, la Cité de l'architecture nous présentera une maquette de la cathédrale Notre-Dame, réalisée en 1843, soit avant le début des travaux.

    Alors, connaissez-vous l'héritage de Violet-le-Duc ?
    (extraits http://www.citechaillot.fr)


    votre commentaire
  • Je viens de retrouver les stats du 13/11/2013, jour de la suppression du blog chez OB :
    Création le 2/05/2006
    Pages vues : 163 167
    Visites totales : 69 016
    Journée record : 28/08/2008 : 852 pages vues
    Mois record : 03/2007 : 7663 vues

    et depuis le 10/11/2013 au 20/11/2014 chez EB :
    Pages vues : 10620
    Visites totales: 2178

    Bah ! Ce ne sont que des chiffres...


    votre commentaire
  • bomec loup


    votre commentaire
  • Je suis plutôt un mec des villes. Mais aujourd'hui je suis un mec des champs. Après le ravage de vaches sauvages en divagation, qui on fait un élagage sauvage jusqu'à 1m60 de hauteur sur mes arbres fruitiers, je me suis mis en devoir de réparer. Coupes franches des branches massacrées, désinfection des outils entre chaque arbre, puis badigeon cicatrisant (goudron de résine de pin). Il faisait un soleil radieux et juste bon pour ne pas cuire en plein soleil !

    Et dans la foulée, j'ai fait du nettoyage dans la "cabane" à outils, rangé des sacs de ciment que le maçon doit reprendre un jour, déplacé un frigidaire qui pourra servir de réserve l'été prochain, bref j'ai fait travailler mes muscles.

    Je suis fourbu, mais un peu d'exercice ça fait toujours du bien.


    votre commentaire
  • J'adore ces jugements à l'emporte-pièce, sans analyse fine du sujet. On balance une info puis on glose, point.

    Merci à Laurent Gloaguen  pour avoir souligné la chose.

    Journal du Net, Alain Steinmann : “Edito : le phénomène AdBlock Plus pourrait se terminer en prison”.

    (...) Les utilisateurs ne savent pas qu’un Internet sans publicité veut aussi dire un Internet sans contenus. Pas plus qu’ils ne savent que la publicité est, in fine, gage d’indépendance éditoriale. Si on proposait aux spectateurs de The Voice d’enlever la pub sur TF1, ils le feraient aussi. Et leur expliquer pourquoi ils devraient s’en empêcher n’aurait qu’un effet marginal. AdBlock Plus leur permet de transgresser un contrat tacite entre les médias et les lecteurs : du contenu contre de la publicité. (...)

    Je trouve que c'est gonflé de dire ça. Un contrat tacite ! Et puis quoi encore. Quand j'achète (là je paye !) de la presse écrite, vous ne croyez tout de même pas que je vais me farcir les 25 pages de pub. Je zappe.

    Et puis l'indépendance éditoriale et la qualité des contenus avec un annonceur qui paye un maximum, vous plaisantez. Le mec paye une fortune sa pub et la laisserai cohabiter avec des articles sulfureux ou incompatibles avec sa communication. Faut vraiment nous prendre pour des cons pour prétendre le contraire. (Ah mais oui, j’oubliais l'auto-censure, mais c'est un autre sujet...)

    De toute façon, les blogs gratuits ont peut-être des hébergements à revoir. Je me souviens du temps où Over-blog était une plate-forme géniale. Oui mais, la pub génère beaucoup d'argent, donc la pub s'impose. Son fondateur, exilé au USA, ne perdant pas le nord, a créé un programme qui contrecarre le blocage des pubs par Adblock+. Donc les pubs réapparaissent. Et c'est d'un envahissant, d'un moche, de la fiente jetée sur les murs. Moi je suis prêt à payer pour avoir un blog, un domaine, un cms, le tout sans pub, mais pas plus cher qu'un hébergement raisonnable, et le marché en regorge (environ 30 euros/an).

    Voir aussi l'article de "Challenges" :
    frederic-montagnon-ce-francais-qui-veut-sauver-la-pub-sur-le-web

    (nota : M. Montagnon est le fondateur de Over-blog)

    Voilà c'était mon coup de gueule.

    PS. Je ne suis pas un fou furieux du tout gratuit. Je paye aussi des hébergements avec mes sites perso et là je maîtrise totalement !


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique