• Rendez-vous compte que j'ai oublié de vous annoncer que j'avais un an de plus depuis le 8 ! La nouvelle se répétant tous les ans, je devrai programmer les billets à l'avance plutôt que d'oublier la date. Cette année je suis resté à Paris. Ma descente annuelle vers le sud est prévue début octobre. Je souffle les bougies et je passe à autre chose.


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  • mec


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  • Musée national Gustave Moreau

    Avant de devenir ce sanctuaire célébré par Marcel Proust et André Breton, le musée national Gustave Moreau fut d’abord, dès 1852, la maison familiale de l’artiste. Après la mort de son père, de sa mère et de son amie Alexandrine Dureux, Gustave Moreau demande, en 1895, à l’architecte Albert Lafon de transformer la maison familiale en musée. Les appartements du premier étage sont aménagés comme un petit musée sentimental où sont accrochés portraits de famille et œuvres offertes par ses amis Théodore Chassériau, Eugène Fromentin ou Edgar Degas. Les deuxième et troisième étages deviennent de grands ateliers reliés entre eux par un escalier à vis. Contrairement au minuscule atelier originel, les proportions se rapprochent alors d’une vaste nef où sont exposées plusieurs centaines de peintures et aquarelles ainsi que des milliers de dessins que l’on feuillette comme des livres. Le musée national Gustave Moreau ouvre ses portes en 1903.

    (in http://musee-moreau.fr/maison-dartiste-maison-musee)


     

    Musée des Arts Décoratifs

    Fashion Forward, 3 siècles de mode

    (1715-2016) - Le musée des Arts décoratifs célèbre les trente ans de sa collection de mode du 7 avril au 14 août 2016. C’est l’occasion de répondre à une attente très forte émanant du public : avoir enfin la possibilité d’embrasser l’histoire de la mode sur plusieurs siècles. C’est aussi l’opportunité d’en dessiner les forces et d’en rappeler ses particularités : une collection nationale de mode et de textile conservée au sein du musée en dialogue avec les autres départements du musée des Arts Décoratifs, musée de tous les objets. L’exposition réunit 300 pièces de mode féminine, masculine et enfantine du XVIIIe siècle à nos jours, issus de son fonds, assemblées, regroupées pour dessiner une frise chronologique inédite.

    (in http://www.lesartsdecoratifs.fr/francais/musees/musee-des-arts-decoratifs/actualites/expositions-en-cours/mode-et-textile/fashion-forward-3-siecles-de-mode-1715-2016/)


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  • Le 20 juin 2016 à 13h04, c'était la pleine lune. Et alors ? Vous savez ce que l'on dit : « les jours de pleine lune tous les fous sont de sortie ! ». La pleine lune excite tout un chacun. On est plus agressif ; on dort très mal, voire pas du tout ; la libido est torride ; bref, vous avez compris.

    Je n'irais pas jusqu'à dire que la société est surexcitée à cause de la lune, mais en regardant autour de nous, chacun peut constater une effervescence sur beaucoup de sujets.

    Et ces mêmes sujets n'ont ni la même importance, ni la même urgence à être traités simultanément. Mais de cela, tout le monde s'en tape. On réagit à l'instinct, par ras-le-bol. Du coup on dit des conneries et nos raisonnements (si on peut les nommer ainsi) partent en vrille, dans une autre dimension, sans plus de rapport avec le sujet initial. Chacun jette ses angoisses et ses énervements à la tête de l'autre. C'est si bon de se défouler. Et tant pis pour la mauvaise foi. On rectifiera plus tard si nécessaire.

    Maintenant, prenez donc des nouvelles du monde et regardez le triste spectacle que nous offre cette humanité. Avec 7,4 milliard d'individus, vous pensez bien que rien ne va de soi. Je trouve qu'on ne s'en sort pas si mal compte tenu du nombre. Vu de haut, nous ressemblons à des insectes fous et nous ne nous en rendons même pas compte. C'est affligeant.

    Bonne journée parmi les hommes... et maintenant, chantez !


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  • mec

    Don't stop me now - Queen

    (https://archive.org/details/DontStopMeNow_255)

    Voir les paroles ou les masquer

    Don't Stop Me Now - Queen
    Auteurs: Mercury - Compositeurs: Mercury - Editeurs: Emi Music Publishing France,Queen Music Ltd.

    Tonight I'm gonna have myself a real good time
    I feel alive and the world I'll turn it inside out - yeah
    And floating around in ecstasy
    So don't stop me now don't stop me
    'Cause I'm having a good time having a good time

    I'm a shooting star leaping through the sky
    Like a tiger defying the laws of gravity
    I'm a racing car passing by like Lady Godiva
    I'm gonna go go go
    There's no stopping me

    I'm burnin' through the sky yeah
    Two hundred degrees
    That's why they call me Mister Fahrenheit
    I'm trav'ling at the speed of light
    I wanna make a supersonic man out of you

    Don't stop me now
    I'm having such a good time
    I'm having a ball
    Don't stop me now
    If you wanna have a good time just give me a call
    Don't stop me now ('Cause I'm having a good time)
    Don't stop me now (Yes I'm havin' a good time)
    I don't want to stop at all

    Yeah, I'm a rocket ship on my way to Mars
    On a collision course
    I am a satellite I'm out of control
    I am a sex machine ready to reload
    Like an atom bomb about to
    Oh oh oh oh oh explode

    I'm burnin' through the sky yeah
    Two hundred degrees
    That's why they call me Mister Fahrenheit
    I'm trav'ling at the speed of light
    I wanna make a supersonic woman of you

    Don't stop me don't stop me
    Don't stop me hey hey hey
    Don't stop me don't stop me
    Ooh ooh ooh, I like it
    Don't stop me don't stop me
    Have a good time good time
    Don't stop me don't stop me ah
    Oh yeah
    Alright

    Oh, I'm burnin' through the sky yeah
    Two hundred degrees
    That's why they call me Mister Fahrenheit
    I'm trav'ling at the speed of light
    I wanna make a supersonic man out of you

    Don't stop me now I'm having such a good time
    I'm having a ball
    Don't stop me now
    If you wanna have a good time (wooh)
    Just give me a call (alright)
    Don't stop me now ('cause I'm having a good time - yeah yeah)
    Don't stop me now (yes I'm havin' a good time)
    I don't want to stop at all
    La da da da daah
    Da da da haa
    Ha da da ha ha haaa
    Ha da daa ha da da aaa
    Ooh ooh ooh
     


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  • Ça fait un peu Tom et Jerry ou Échec et Mat, bien que je ne connaisse personne qui accepterait de porter un prénom comme Échec ! Passons...

    Tout cela pour vous dire que mes deux zèbres, qui vivent aux usa depuis fort longtemps, n'avaient pas donné de nouvelles depuis... depuis un certain temps. Les voilà qui s'agitent à présent. Ils envisagent de revenir dans cette vieille Europe et fantasment sur les pays nordiques. Quand on connaît la sensibilité au froid de Tom, j'ai un doute sérieux. Mais on peut toujours rêver. Mat résiste aussi bien à -20°C qu'à +40°C (ses vadrouilles sur Terre en témoignent).

    Pourquoi je vous raconte tout ça ? Parce qu'ils me demandent ce que j'en pense, ce que moi je ferais. Cela veut dire qu'il ne sont encore pas d'accord sur ce sujet. Vous savez qu'ils ont la détestable habitude de me coller arbitre. Et que je me refuse à donner un avis dans ces cas là. Mais ils insistent.

    Après une concentration extrême puis des fumigations sibyllesques, aucune paroles sibyllines n'est sortie de ma bouche... Seul un long soupir de quasi découragement. Tom et Mat trouverons bien une solution.


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  • (oui je sais, cette image est déjà sur ce blog)

    C'est incroyable ce que le temps passe vite. Un 28 mai 2006, à 1 h07 du matin, je laissais mon premier article sur une plate-forme, Over-blog en l’occurrence.

    Sept ans après je partais pour Eklablog. Que je risque de quitter, car ils affichent de la pub (plus crade comme affichage, tu meurs).

    Mais ne gâchons pas notre plaisir. Dix ans de blog c'est aussi 10 ans de vie dans le réel et pas que dans le virtuel. Et j'en ai suivi des blogueurs ! Plus ou moins longtemps mais toujours avec passion ou tendresse. Je ne vous dresserez pas la liste de mes préférés de peur de froisser les autres.


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  • Julieta, Pedro Almodovar

    Julieta s’apprête à quitter Madrid définitivement lorsqu’une rencontre fortuite avec Bea, l’amie d’enfance de sa fille Antía la pousse à changer ses projets. Bea lui apprend qu’elle a croisé Antía une semaine plus tôt. Julieta se met alors à nourrir l’espoir de retrouvailles avec sa fille qu’elle n’a pas vu depuis des années. Elle décide de lui écrire tout ce qu’elle a gardé secret depuis toujours.
    "Julieta" parle du destin, de la culpabilité, de la lutte d’une mère pour survivre à l’incertitude, et de ce mystère insondable qui nous pousse à abandonner les êtres que nous aimons en les effaçant de notre vie comme s’ils n’avaient jamais existé.

    Réalisé par Pedro Almodovar avec Emma Suárez, Adriana Ugarte, Daniel Grao (in allociné)


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  • Expo au Grand-Palais

    expo AmadeoAmadeo de Souza-Cardoso est un artiste aux multiples facettes dont l’oeuvre se situe à la croisée de tous les courants artistiques du XXe siècle. Au-delà des influences impressionnistes, fauves, cubistes et futuristes, il refuse les étiquettes et imagine un art qui lui est propre, entre tradition et modernité, entre le Portugal et Paris. Deux-cent cinquante oeuvres d’Amadeo et de ses amis proches, Modigliani, Brancusi ou encore le couple Delaunay, sont rassemblées dans cette exposition, qui est la première grande rétrospective consacrée à l’artiste portugais depuis 1958.

    (in http://www.grandpalais.fr/)


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  • Mon réfrigérateur est prêt pour le week-end. Je crois qu'il ne manque rien !

    pour le week-end...


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  • Enfer et damnation. Je n'avais pas vu que la pub avait débarqué sur le blog. En haut et sur le coté, c'est déjà pas terrible, mais entre les articles, ça fait franchement crade. J'utilise des bloqueurs et j'avais rien vu. En les neutralisant, je vois. Le look général devient horrible. D'accord, le mien était basique et simple, mais avec les pubs...

    Eklablog l'avait annoncé : les comptes sont pas bons, alors... Je ne suis pas sûr que cette solution et celle des abonnements les sauvent.

    Donc je risque de foutre le camp de cette plate-forme. Et ça me fait suer de tout repenser et de gérer le cms moi-même sur mon domaine. Je râle, mais en même temps le gratuit n'est pas éternel. Reste Blogger en gratuit. La plate-forme appartient à Google, qui lui n'a pas de problème de trésorerie.


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  • 36 - All Of Me - Erroll Garner

    (https://archive.org/details/CompilacionDeJazzBlues-CD16/All+Of+Me.mp3)


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  • Je trouve le chapeau très bien pour la circonstance !

    mec


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  • Chefs-d’œuvre de Budapest, au Musée du Luxembourg.

    Le Musée du Luxembourg accueille les chefs-d’œuvre des musées de Budapest. Le célèbre Szépmuvészeti Múzeum, en cours de rénovation, se joint à la Galerie Nationale Hongroise pour présenter à Paris les fleurons de leurs collections, depuis la sculpture médiévale jusqu’au symbolisme et à l’expressionnisme. L’exposition rassemble quatre-vingt peintures, dessins et sculptures de Dürer, Cranach, Greco, Goya, Manet, Gauguin, Kokoschka (…) et une dizaine d’oeuvres emblématiques de l’art hongrois offrant une perspective inattendue sur l’art européen. (site du musée)

    Exposition organisée par la Réunion des musées nationaux – Grand Palais, le musée des Beaux-Arts de Budapest et la Galerie nationale hongroise.
    Chefs-d’œuvre de Budapest , Dürer, Greco, Tiepolo, Manet, Rippl-Rónai... du 9 mars - 10 juillet 2016.

    Exposition éclectique qui pourrait être l'expo d'un collectionneur éclairé. Une diversité où l'on redécouvre les artistes hongrois. On oublie trop souvent une partie de l'art européen. Quantités d'artistes venaient – et parfois s'installaient – en France pour participer et nourrir les différents courant artistiques naissants. D'autres produisaient aussi des chefs d’œuvres sur leurs terres natales.


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  • Ciné : Triple 9

    film Triple 9

    Ex-agent des Forces Spéciales, Michael Atwood et son équipe de flics corrompus attaquent une banque en plein jour. Alors qu'il enquête sur ce hold-up spectaculaire, l'inspecteur Jeffrey Allen ignore encore que son propre neveu Chris, policier intègre, est désormais le coéquipier de l'un des malfrats. À la tête de la mafia russo-israélienne, la redoutable Irina Vlaslov ordonne à l'équipe d'effectuer un dernier braquage extrêmement risqué. Michael ne voit qu'une seule issue : détourner l'attention de l'ensemble des forces de police en déclenchant un code "999" – signifiant "Un policier est à terre". Mais rien ne se passe comme prévu…

     De John Hillcoat, avec Casey Affleck, Anthony Mackie, Kate Winslet (in allocine)

    Film d'action avec des parcours imbriqués les uns dans les autres, genre de cocktail qui ne peut qu'être explosif ! Un bon moment de cinéma d'action.

    Restau

    Et après le ciné ?

    Il était 14h, quand nous sommes allés (Lady S et moi), nous restaurer à l'Hippo à coté du ciné. Le serveur était un peu fatigué, mais pro quand même vu l'heure. J'ai surtout admiré son calme quand le mec en couple de la table d'à coté a commencé à pinailler sur 20 cents. D'autant que cela aurait du être sur 10 cents en faveur de Hippo ! Même ce connard n'a pas su calculer. Le serveur a préféré laissé tomber en modifiant la carte de fidélité. Quelle énergie perdue.

    Je n'ai pas hésité à prendre un double tartare et la miss, un os à moelle ! Malgré les reportages de L214, les « Vegan » qui veulent me convertir avec tous leurs discours, je crèverais carnivore, quitte à chasser moi-même les bestioles.
    Dernièrement, j'ai vu une recette de « poulet » pané, sans poulet. Que du blé et du soja et des aromates. Et la nana de dire : "on aurait dit vraiment du poulet, j'suis bluffée". La pauvre ! Elle n'a jamais mangé de sa vie du vrai poulet. Et puis si je fous plein d'aromates et que je pane au blé hyper-gluténé et soja Ogm, c'est sûr que pour le goût final, c'est de toute façon plus tellement du poulet. Tout cela a le don de m'exaspérer.

    Panama Papers

    Quant au Panama Papers, rassurez-vous, je ne suis pas sur les listes ! Et d'après un sondage, la moité des français s'en fout. Ils ont d'autres chats à fouetter.
    En revanche, je pense que Hollywood devrait faire un film, avec les tenants et aboutissants secrets et glauques : la fuite parfaitement orchestrée, les journalistes roulés, la lutte des pouvoirs, les lanceurs d'alertes hors jeu, un petit peu d'Anonymous, les concernés condamnés pour des comptes presque vides et les autres déjà à l'abri. Très loin et ailleurs. Et les plus riches prêtant de l'argent aux états en déficit budgétaire. Comme quoi le fric revient là où le taux d’intérêt est rentable et assuré...

    Bon week-end !


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  • Je suis reparti dans mes problèmes de disque dur. Tout a été récupéré par la société idoine. Facture salée. Maintenant je réinstalle tout sur un disque dur tout neuf. Mon pc ronronne normalement.

    Une solution de sauvegarde s'impose. Car ce genre de plantage complet peut arriver à nouveau. Je vais faire basique, car je n'ai pas envie de monter un système "raid". Le stockage en ligne n'est pas des plus économique. Un simple back-up suffira peut-être dans l'immédiat.


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  • Pause dans mes activités. Bruxelles le 22 mars. No comment. Nous sommes partis pour un sacré moment dans un sacré merdier.


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  • The revenant

    teh revenantDans une Amérique profondément sauvage, Hugh Glass, un trappeur, est attaqué par un ours et grièvement blessé. Abandonné par ses équipiers, il est laissé pour mort. Mais Glass refuse de mourir. Seul, armé de sa volonté et porté par l’amour qu’il voue à sa femme et à leur fils, Glass entreprend un voyage de plus de 300 km dans un environnement hostile, sur la piste de l’homme qui l’a trahi. Sa soif de vengeance va se transformer en une lutte héroïque pour braver tous les obstacles.
    Réalisé par Alejandro González Iñárritu, avec Leonardo DiCaprio, Tom Hardy, Domhnall Gleeson.
    (in allocine)

    Même si l'on peut saluer la performance de DiCaprio, l'histoire présente bien des longueurs surtout avec 2h36mn de film !

    La culture du trappeur est très éloignée de la notre et de fait cet environnement purement américain des chasseurs sur des étendues gigantesques ne donne rien de plus à cette soif de vivre pour la vengeance pure et dure.
    Bref, je n'ai pas aimé ce film.


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  • En ce moment je les accumule. Je me suis trompé dans les comptes avec le maçon ! Du coup je lui dois encore des sous. Et cela ne va pas arranger mes finances. Demain, vendredi, je joue à l'Euromillions.

    Je viens de tomber en panne d'ordi (le gros et encombrant dell). Mon disque dur principal est inaccessible. Et hop, parti pour le confier à une société idoine pour récupérer 290 Go de données. Je m'étais pourtant juré de prévoir une sauvegarde en Raid, mais le temps que mon cerveau imprime que le temps joue toujours contre nous dans ce domaine, le mal était fait.

    Heureusement que j'avais sauvegardé quelques répertoires sur mon portable. J'ai pu finir le mini site web d'une amie. Ça m'a bouffé un peu plus de temps que prévu, mais il ne me reste plus qu'à finir le code « responsive » pour tablette et smartphone, si c'est encore faisable sans trop d'effort.

    Je suis toujours à la recherche dans mon bazar, de 3 gravures. C'est insensé. J'ai dû sacrément bien les mettre à l'abri pour ne plus les retrouver. Et j'ai beau invoquer St-Antoine, il n'a pas l'air de m'entendre. Écoute t-il seulement ? Je ne dois pas être assez convaincant ou alors je ne parle pas assez fort.

    J'ai diné la semaine dernière avec une vieille amie qui vit en Espagne et qui passant par Paris, s’arrête toujours au moins une journée. Le soir, direction un petit restau de cuisine indienne revisitée, quai de Jemmapes dans le Xème. Très bon et bien servi, dans un décor très sobre, très tendance bois essuyé dans les bleu-vert-blanc. Table et fauteuil confortables dans les tons bruns. Comme nous n'avions pas réservé, on s'est scotché au bar vingt minutes avec un verre de vin et un charmant barman choupinet brun, qui veillait sur nous, en surveillant la disponibilité de notre table. J'aurai bien fini son service en sa compagnie.


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  • mecs


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  • Avé CésarAvé César - Les frères Cohen

    La folle journée d’Eddie Mannix va nous entraîner dans les coulisses d’un grand studio Hollywoodien. Une époque où la machine à rêves turbinait sans relâche pour régaler indifféremment ses spectateurs de péplums, de comédies musicales, d’adaptations de pièces de théâtre raffinées, de westerns ou encore de ballets nautiques en tous genres. Eddie Mannix est fixer chez Capitole, un des plus célèbres Studios de cinéma américain de l’époque. Il y est chargé de régler tous les problèmes inhérents à chacun de leurs films. Un travail qui ne connaît ni les horaires, ni la routine. En une seule journée il va devoir gérer aussi bien les susceptibilités des différentes communautés religieuses, pour pouvoir valider leur adaptation de la Bible en Technicolor, que celles du très précieux réalisateur vedette Laurence Laurentz qui n’apprécie que modérément qu’on lui ait attribué le jeune espoir du western comme tête d’affiche de son prochain drame psychologique.Il règle à la chaîne le pétrin dans lequel les artistes du studio ont l’art et la manière de se précipiter tous seuls. En plus de sortir une starlette des griffes de la police, ou de sauver la réputation et la carrière de DeeAnna Moran la reine du ballet nautique, Eddie Mannix va devoir élucider les agissements louches du virtuose de claquettes, Burt Gurney. Cerise sur le gâteau, il a maille à partir avec un obscur groupuscule d’activistes politique qui, en plein tournage de la fameuse superproduction biblique AVE CÉSAR, lui réclame une rançon pour l’enlèvement de la plus grosse star du Studio, Baird Whitlok. Le tout en essayant de juguler les ardeurs journalistiques des deux jumelles et chroniqueuses ennemies, Thora et Thessaly Thacker. La journée promet d’être mouvementée.
    Avec Josh Brolin, George Clooney, Alden Ehrenreich. (in Allociné)

    J'ai eu un peu de mal avec ce film. Les frères Cohen nous avaient habitués à mieux. Et malgré un bon casting, l'histoire ne décolle pas vraiment. On sent parfois que c'est laborieux. Revisiter les grand studios des années 50 était peut-être une bonne idée, mais une fois sur l'écran, le résultat n'est plus à la hauteur, malgré plusieurs scènes d'anthologie.


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  • bof

    Bof ! C'est pas la grande forme. Le temps est un peu pourri. Mes affaires n'avancent guère et je n'arrive pas à régler des merdouilles administratives. J'ai toujours l'impression que mes interlocuteurs ne comprennent que la moitié de ce que je dis. L'Office de l'eau me fait tout un souk pour des relevés de compteur d'eau, qu'ils perdent régulièrement. Sujet suivant : compteur électrique. EDF veut absolument changer un compteur extérieur « trop vieux » et pour cela il faudrait que le support béton soit refait à leur convenance et à mes frais. J'ai refusé déjà 2 fois. J'attends leur prochain courrier...

    A part ça, je vous souhaite une bonne journée.


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  • film - 8 salopardLes 8 salopards – Q. Tarantino

    Quelques années après la Guerre de Sécession, le chasseur de primes John Ruth, dit Le Bourreau, fait route vers Red Rock, où il conduit sa prisonnière Daisy Domergue se faire pendre. Sur leur route, ils rencontrent le Major Marquis Warren, un ancien soldat lui aussi devenu chasseur de primes, et Chris Mannix, le nouveau shérif de Red Rock. Surpris par le blizzard, ils trouvent refuge dans une auberge au milieu des montagnes, où ils sont accueillis par quatre personnages énigmatiques : le confédéré, le mexicain, le cowboy et le court-sur-pattes. Alors que la tempête s’abat au-dessus du massif, l’auberge va abriter une série de tromperies et de trahisons. L’un de ces huit salopards n’est pas celui qu’il prétend être ; il y a fort à parier que tout le monde ne sortira pas indemne de l’auberge de Minnie… (in allociné)

    Ce mec est quand même un surdoué du cinéma. D'abord sa façon de découper son film qui dure 3h, en chapitres comme dans une histoire écrite, évitant ainsi les transitions douteuses aux esthétiques alambiquées. Au moins c'est clair : un chapitre = un titre, sans que cela ne coupe le rythme du film. Car dans ce huis-clos, on s'observe et on parle. Mensonges, vérités ? Allez savoir. Vous devrez attendre la fin du film. C'est du Tarantino avec son lot de violences tant verbales que physiques.

    Le format 70mm est parfait pour cette fresque ambiance western, grands espaces enneigés immaculés, avec seulement deux bâtiments en bois et 8 salopards.


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  • Le Musée Jacquemart-André consacre une exposition inédite aux grands portraitistes florentins du XVIe siècle autour d’une quarantaine d’œuvres.

    expo portraitsPortraits à la cour des Médicis.

    Au XVIe siècle, l’art du portrait devient de plus en plus répandu parmi les élites florentines qui trouvent là un moyen de porter les traits de leur visage et leur statut social à la postérité. Ils recourent pour cela à des figures littéraires telles que Pétrarque, à des références musicales ou à une mise en scène riche en symboles pour décrire la vie du modèle, sous ses multiples facettes.

     


     

    Inutile de vous présenter Star Wars 7

    C'est bien évidemment la suite de la saga commencée il y a 30 ans dans une galaxie lointaine.

    La suite est pour 2017 !

     


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  • P*** de plateforme ! 15 jours sans écrire et les voilà qui me relance par mail. Avant, ils avaient la décence d'attendre un mois.

    Je les hais, quand ils font ça.


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  • ... avec encore des chrysanthèmes. Un épisode de plus. Une autre cousine de la famille, appelée tendrement Paulette, nous a tiré sa révérence à plus de 90 ans passés. C'est déprimant à la longue. Pas de partir à cet âge-là, car malheureusement ces temps derniers en une seule soirée, un 14 novembre... C'est juste qu'en un an ça fait neuf décès.

    En supplément, j'ai chopé un rhume !


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  • hall à refaire !


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  • ... par le même olibrius (voir post du 24-08-14) qui découvre des erreurs et des manques dans un document. Le problème est que ce document est celui qu’il m’a fourni il y a 8 ans, manques compris, et sur lequel je n’ai pas renseigné la partie qui le concernait.

    Et le voilà prit d'une diarrhée épistolaire ! Un mail où la mayonnaise monte, où les affirmations de deuxième main fleurissent, où la mauvaise foi est en marche, le tout agrémenté d’un étalage de ses connaissances, de son glorieux niveau d’études, de celui de ses enfants et j'en passe. Il m’écrit toutes les infos qui manquaient. Et après ? Il ne veut tout même pas que je complète le document, alors qu’il me demande de le détruire.

    De plus il menace de prendre des mesures ! Quelle outrecuidance de sa part. Quel trou du c... Il est et restera ce qu’il a toujours été : insupportable et souvent infréquentable, imbus de sa petite personne. Si sa digestion est lourde concernant ses traumatismes enfantins ou autres, qu’il consulte un psy. Et si son ego a besoin qu’on le reconnaisse comme chef de tribu, grand bien lui fasse. Moi, je n’en ai rien à foutre. J’assume mon côté fantasque et parfois mégalo mais je ne m’autorise pas à invectiver et à donner des leçons à quiconque.

    J’ai donc supprimé le document litigieux – soit 2% des infos – ainsi que toutes les annexes y comprit celles qui n’avaient qu’un rapport très lointain, soit 98%.

    La coquille ainsi vidée, il restera à la détruire. C’est en cours.

    Vous pouvez m’objecter que j’aurais pu me contenter d’effacer le document source du litige. Que j’aurais pu répondre point par point à ses nombreuses remarques. C’est exact. Mais si ma décision fut plus brutale, ce n’est pas par lâcheté ou par peur des menaces proférées. C’est que je me fous de cette histoire et que je n’ai aucune envie de recevoir une nouvelle diatribe par mail, avec sodomie de diptères en prime.

    De toute façon, j'ai toujours sur mon HD les sources originales… Mais là, c'est du privé et je peux écrire ce que je veux quand je veux ! J'ai pas un peu l'air de savourer une pseudo-vengeance en écrivant ça, non ?

    Ouf ! Ça fait du bien parfois de se lâcher. On y voit plus clair après.

    Que mange-t-on ce soir ? Cet épisode m’a ouvert l’appétit.

     


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  • Funeste journée. Mais depuis le temps que ça mijotait. Souvenez-vous du massacre de la Station St-Michel du RER.

    Aujourd'hui c'est un carnage, dans un monde de moins en moins sûr.

    Où allons-nous à ce rythme ?

     


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