• Je me sauve pour plus d'un mois. J'ai quelques affaires urgentes à régler. Donc, vous aurez peu de chance de me lire, sauf si un un évènement digne d’intérêt venait à se présenter. A bientôt.


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  • D'habitude, le mois de mon anniv est ma période de pleine forme et de projets. Cette année, c'est tout l'inverse. J'ai l'énergie d'un boa en phase de digestion et les projets entrevus le mois précédent se sont évaporés.

    Je traine une lassitude et une fatigue comme j'en ai rarement éprouvé. Je ne sais pas ce qui se passe, mais il faudra sûrement que je m'en inquiète, car j'ai des démarches compliquées à entreprendre très bientôt.


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  • Le mois des vierges sages ou folles : trois anniv' à souhaiter, celui de Fred, celui de Seb et le mien bien sûr !

    A bientôt...


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  • Je parles bien entendu de la migration du blog. Comme ils sont dans les choux pour les délais, aucune raison d'attendre. Je pense qu'ils ont eu plus de boulot que prévu et les annonces "c'est pour fin juillet", "plutôt début septembre" n'avaient aucune réalité dans le calendrier. Donc je continue et ça sera la surprise.


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  • En 2013, j'étais parti d'Over-Blog pour m'installer ici. Aujourd'hui Eklablog fait partie de la galaxie Webedia comme Over-Blog et tant d'autres. Mon problème n'est pas de changer de base technique de blog, mais de perdre 2 ou 3 fonctionnalités essentielles. Sans compter des thèmes très peu nombreux et dont le design laisse à désirer, même pour un truc basique comme mon blog. Solution : prendre la solution payante pour pouvoir profiter des outils qui vont disparaitre du gratuit.

    Lors de la migration, nous perdons tout le design et les thèmes, rien que ça ! Je n'ai pas un design d'enfer, mais avoir à tout refaire... 

    Je me pose de nouveau la question de savoir si je me passe des fonctionnalités actuelles (insérer du html ou du css dans le code, par exemple) ou si je veux construire mes articles avec des sections et des blocs (images, textes, vidéos, à la Over-Blog ou Tumblr, ce que je déteste.) La raison invoquée : ça facilite le travail de ses messieurs des stats et des régies publicitaires. Mais moi, je me fous éperduement d'être bien référencé ou pas.

    Requestionnement : je pars et je monte mon mini-blog sur un de mes domaines perso. La nouvelle mouture d'Eklablog va se mettre en place progressivement sur plusieurs semaines. Attendons et voyons ce qu'ils proposent. Mais, franchement ça me saoûle !

    A bientôt... 

     


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  • Trente jours vides. J'ai vu la mort s'approcher doucement. Je l'ai même touché. Et puis une partie de moi s'est écroulée. Mon cerveau a fonctionné différemment. Ma mémoire a fixé des flashs instantanés. J'ai déposé un baiser d'adieu sur ce front encore tiède. Ma mère nous a quitté vers l'inconnu... 

    Je suis retombé dans le réel. Le coté pesant et sordide des formalités. Mon calendrier n'égrène plus les jours. Les pense-bêtes, les formulaires, les courriers se suivent. Rien n'ai revenu à la normale. Quand tout sera terminé, je regarderai de nouveau le ciel, ses nuages, le soleil et la lune en pesant à elle... 


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  • ... pause. Je dois vous laisser pendant un certain temps.


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  • Ben

    Le 5 juin 2024, l'artiste Ben (Benjamin Vautier) est retrouvé mort d'une balle dans la tête à son domicile situé à Aspremont, le lendemain du décès de son épouse, Annie Baricalla, emportée par un accident vasculaire cérébral. (in WP)

    « Il faut se méfier des mots ». Ben, 1935 - 2024


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  • Charles MEYNIER, peintre français néoclassique, né et mort à Paris (1768-1832). Grand prix de peinture en 1789, il fut nommé membre de l'Institut en 1816.

    Apollon

    Apollon, dieu de la lumière, de l'éloquence, de la poésie et des beaux-arts, avec Uranie, muse de l'astronomie, de Charles Meynier. Peint en 1798.


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  • Hey ! Ce blog a 18 ans* ! Je n'en reviens pas. Qu'il ait tenu aussi longtemps m'étonne. Je sais que d'autres blogs ont aussi un âge respectable et je leur tire mon chapeau. Car certains ont en plus, un rythme de publication soutenu. Et bien moi je dis : bravo !

    Histoire de ne pas être en reste, il va falloir pour sa majorité - 18 ans - ouvrir une bouteille de champagne ou ce que vous voulez d'autre.

    Bises à tous et à bientôt.

    *(18 ans en cumulant le début chez Overblog et la suite ici, chez Eklablog)


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  • Le théâtre nous donne des tirades extraordinaires, démentes, longues, à griller le cerveau, et pourtant, ces morceaux de bravoures sont un pur délice quand ils sont lancés sur la scène. Vous, le spectateur, hypnotisé par la puissance du verbe, recueille avec bonheur cet instant magique que vous garderez en mémoire pour très longtemps.

    Il existe nombre de tirades, et parmi toutes celles dont la célébrité les a porté au firmament de la gloire, je ne peux résister à vous proposer la tirade du "nez" de "Cyrano de Bergerac" d'Edmond Rostand. (Comédie en 5 actes et en vers, jouée le 27 décembre 1897). Cette pièce a été jouée plus de 20.000 fois depuis sa création, sans compter les films.

    Trois coups, la pénombre est là, le rideau s'est levé, les acteurs ont commencé sans vous, car vous êtes en retard ; donc vous vous installez sans bruit au moment où... :

    De Guiche
    Personne ne va donc lui répondre ?

    Le Vicomte
    Personne ?…
    Attendez ! Je vais lui lancer un de ces traits !…
    (Il s’avance vers Cyrano qui l’observe, et se campant devant lui d’un air fat.)
    Vous… vous avez un nez… heu… un nez… très grand.

    Cyrano, gravement.
    Très.

    Le Vicomte, riant.
    Ha !

    Cyrano, imperturbable.
    C’est tout ?…

    Le Vicomte
    Mais…

    Cyrano
    Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
    On pouvait dire… Oh ! Dieu !… bien des choses en somme…
    En variant le ton, — par exemple, tenez :
    Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
    Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
    Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse !
    Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
    Descriptif : « C’est un roc !… c’est un pic !… c’est un cap !
    Que dis-je, c’est un cap ?… C’est une péninsule ! »
    Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
    D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
    Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
    Que paternellement vous vous préoccupâtes
    De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
    Truculent : « Çà, monsieur, lorsque vous pétunez,
    La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
    Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
    Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
    Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
    Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
    De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
    Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
    Appelle Hippocampelephantocamélos
    Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
    Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
    Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
    Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
    T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
    Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
    Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
    Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
    Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
    Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
    C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
    Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
    C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
    Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
    Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
    Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
    Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
    « Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
    A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »

    – Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
    Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit :
    Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
    Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
    Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
    Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
    Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
    Me servir toutes ces folles plaisanteries,
    Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
    De la moitié du commencement d’une, car
    Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
    Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.

    De Guiche, voulant emmener le vicomte pétrifié
    Vicomte, laissez donc !

    ...........

    Et maintenant, imaginez la mémoire pour dire cette tirade, et qui n'est pas la seule de la pièce. Et le jeu d'acteur qu'il faut employer pour rendre vivant avec panache ce texte ! Bon courage !

    Cyrano de Bergerac, d'Edmond Rostand (texte complet)

    "Edmond" est une pièce de théâtre d'Alexis Michalik créée au Théâtre du Palais Royal, à Paris, en 2016. Alexis Michalik, reprendra sa pièce pour en faire un film "Edmond", en 2018. (Sur Netflix en 2024). 

    Edmond (film 2019) de Michalik

    Vie d'Edmond Rostand (in wikipedia)


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  • L'histoire du tango a une histoire mouvementée, riche dans ses origines, ses mélanges, ses influences, ses territoires. Parti d'une histoire au XIXe siècle, le tango va retenir entre autres, deux grandes figures : Carlos Gardel et Astor Piazzolla. Le premier devient une voix du tango (Por una cabeza ou Volver) et le deuxième renouvelle le tango avec une autre dimension (Libertango).

    Libertango a été joué et interprété un nombre incalculable de fois : avec un seul instrument (bandonéon, accordéon, piano,...) jusqu'à avoir des versions pour orchestres.

    Pour comprendre, je vous donne une archive de l'Ina de 1980 avec Astor Piazzolla en personne.


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  • La grande Maria Callas interprète l'aria du rôle titre, Norma, la prêtresse druide de Bellini, avec l'Orchestre de l'Opéra National de Paris et Georges Sébastien. Enregistré en direct au Palais Garnier le 19 décembre 1958, ce concert marque les débuts de la soprano à l'Opéra de Paris, un événement social majeur pour les Parisiens et pour lequel Callas a revêtu sa plus élégante tenue haute couture et un million de dollars de bijoux.
    (in youtube)

    Maria Callas interprète "Casta Diva" (Bellini: Norma, Act 1)

    Voir les paroles ou les masquer  (original et traduction)

    Issu du site : https://opera.fandom.com/fr/wiki/Norma/Casta_Diva

    (Texte original)
    NORMA
    Casta Diva, che inargenti
    Queste sacre antiche piante,
    A noi volgi il bel sembiante
    Senza nube e senza vel...

    Tempra, o Diva,
    Tempra tu de cori ardenti
    Tempra ancora lo zelo audace,
    Spargi in terra quella pace
    Che regnar ru fai nel ciel...
    Fine al rito : e il sacro bosco
    Sia disgombro dai profani.
    Quando il Nume irato e fosco
    Chiegga il sangue dei Romani,
    Dal Druidico delubro
    La mia voce tuonare.

    OROVESO E CORO
    Tuoni,
    E un sol del popolo empio
    Non sfugga al giusto scempio;
    E premier da noi percosso
    Il Proconsole cadrà.

    NORMA
    Cadrà ! punirlo io posso.
    (in petto)
    (Ma, punirlo, il cor non sa.
    Ah! bello a me ritorna
    Del fido amor primiero;
    E contro il mondo intiero...
    Difesa a te sar.
    Ah! bello a me ritorna
    Del raggio tuo sereno;
    E vita nel tuo seno,
    E patria e cielo avr.
    Ah, riedi ancora qual eri allora,
    Quando il cor ti diedi allora,
    Ah, riedi a me.)
    ------------------------------------
    (Traduction en français)
    NORMA
    Chaste déesse, Toi qui baignes d'une lumière argentée
    ces antiques bosquets sacrés,
    tourner vers nous ton beau visage
    sans nuage et sans voile !

    Apaise, ô Déesse,
    Apaise la fureur ardente,
    Apaise pour l'instant le zèle guerrier ;
    Répands sur la terre la paix
    que tu fais régner dans le ciel !

    La cérémonie est terminée. Que le bois sacré
    soit maintenant libre de toute présence profane !
    Quand la divinité sombre et irritée
    demandera de verser le sang des Romains,
    alors ma voix retentira
    devant le temple des druides.

    OROVESE et le CHŒUR
    Qu'elle retentisse !
    Et que pas un seul impie
    n'échappe au châtiment ;
    Et le premier qui tombera sous nos coups
    c'est bien le proconsul !

    NORMA
    Oui, il tomber ! Je peux le punir !
    (en aparté)
    (Mais le punir, mon cœur ne le peut.
    Ah! Rends-moi la douceur
    de notre amour à son début,
    et je prendrais ta défense
    contre le monde entier !

    Ah! rends-moi la douceur
    de ta présence lumineuse,
    et j'aurai, posant ma tête sur ta poitrine,
    à la fois le ciel et ma patrie.

    Ah! Redeviens comme alors,
    quand je t'ai donné mon cœur,
    Ah! Reviens à moi !)

     


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  • Il fait beau ! Une petite virée à moto s'impose, et c'est lui qui tient les manettes. 11h00, il fait gris. Pas de virée à moto. Il est déçu.

     

    mec en blouson

    ... 


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  • F. Hundertwasser - Rainbow house

    Hundertwasser - Rainbow house


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  • Encore le nez dans ma bibliothèque, histoire de ne pas perdre la main, je redécouvre 4 livres de poésie (de 1980 à 1985). C'est pas tout jeune !

    « L'être libre » anthologie de poètes dont André Dégletagne

    « Au cœur du vent » d'André Dégletagne

    « Les embruns de la nuit » de Bruno Grégoire

    « Où la trace échouée » de Bruno Grégoire, (illustration JL. Meyer-Abbatucci)

    « La nuit capitale » d'André Dégletagne

    Bruno Grégoire est toujours vivant, mais André Dégletagne n'est plus de ce monde ; il est mort à 38 ans.


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  • Au fond de mes bordéliques archives
    Se tenaient des feuillets à la dérive
    Dont l'encre à la paleur suspecte
    Attendait une relecture discrète

    Tout cela pour vous dire que je suis retombé sur des poèmes en vers libres. Beaucoup n'existe plus. Au cours des tris et des déménagements, la perte fut conséquente. Mais l'épisode avec A. m'a redonné envie de lui dédier des poésies. J'ai constaté que je suis toujours ému et amoureux de lui. L'écriture a fait office de révélateur. La raison, fainéante par instants, a laissé la place aux sentiments. Aux émotions qui traverse le corps et piège l'esprit.


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  • bomec


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  • A la suite des déjeuners ou diners un peu chers, une de mes connaissances m'a lancé : "mais tu est riche, t'as plein de tunes". Cela m'a sacrément énervé. Sa phrase ne veut rien dire. Je lui ai rétorqué qu'il aille se faire f***, et qu'il ferait mieux de gérer son budget. Ce monsieur fume et dépense 12 euros par paquet pour 2 jours parfois pour 1,5 jour, la somme mini de 2190 euros par an !
    2192 euros, il y a de quoi aller une fois par mois au restau pour 182,50 euros. Il peut peut même inviter sa copine... ou son copain.

    Tilt ! Ça a fait tilt dans sa tête. Il va arrêter de fumer. Et cesser d'acheter des tas de conneries sur internet (matériels informatiques, hifi, vidéo, etc. toujours dernier cri).

    Je lui ai dit que le sevrage brutal pour tout est mauvais pour le moral, mais qu'il commence par les cigarettes, car pour sa santé et son budget, y'a rien de mieux. Il va m'inviter au restau ! a t-il déclaré tout content en allumant une clope. Misère.... 


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  • Nous venons, ma nièce et moi, d’honorer notre cadeau de noël commun. Un Atelier Dînatoire au Cordon Bleu à l’Hôtel de la Marine, Place de la Concorde !

    Vous prenez un cours de cuisine en confectionnant l'entrée de votre dîner. Le plat principal et le dessert seront préparés et assemblés pendant que vous vous installerez à table et que vous dégusterez votre entrée.

    Cinq personnes devant leurs fourneaux respectifs avec les ustensiles et les produits dont ils auront besoin. Un chef attentif, pédagogue et joyeux. C’est une expérience qui vaut la peine si vous aimez cuisiner et manger autre chose que le coquillettes-jambon !

    Souper du 10 mai

    Entrée
    L'œuf "C64°C fumé", crème d'asperges blanches des landes,
    boutargue (1) Memmi, pousses et petits pois

    Plat
    Crevettes sauvages carabineros, riz bomba au piment de la Vera,
    petites fèves vertes à la sarriette

    Dessert
    Tarte meringuée au citron niçois, crème glacée à la verveine

    Mignardises

    Vins au verre

    Un heure trente de préparation et le même temps pour dîner. Sincèrement, ça vaut le détour et certainement à refaire un de ces jours.

    (1) Poutargue ou Boutargue


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  • En recherchant une référence sur Salvador Dali, j'ai commencé à lire un morceau d'info d'un coté, de l'autre, de site en site, de page en page, de paragraphe en paragraphe, et me voilà perdu dans une masse d'informations dont les trois-quart ne me servirons à rien ! Ça, c'est la magie du web. Comment perdre une partie de son temps sur des bouts de connaissances écrits aussi bien par des spécialistes que par des amateurs non-éclairés. C'est prodigieusement fatiguant, car à présent vous devez séparer le bon grain de l'ivraie.

    Pour Dali, j'ai retrouvé ma référence dans "Journal d'un génie" pour l'année 1955, à propos du tournesol, des cornes de rhinocéros et de la Dentellière.

    Et brutalement, la Catalogne a surgi dans mon esprit. Je me suis souvenu que la Catalogne est en Espagne et en France. La partie maintenant française avec Perpignan fut récupérée avec le traité de Pyrénées(1).

    Donnez-moi les personnalités catalanes célébres. Vous avez un doute ? Cherchez bien, le web vous en dira plus sur le sujet. J'ai un ami qui veut apprendre l'espagnol. Je lui ai répondu, d'accord, mais tu apprends aussi le calatan avec moi ! Il m'a rit au nez et m'a fait un bisou pour me consoler.    


    (1)↑ 
    Il est signé le 7 novembre 1659 sur l'île des Faisans, au milieu du fleuve côtier Bidassoa qui marque la frontière entre les deux royaumes, France et Espagne, dans les Pyrénées-Atlantiques.


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  • Bernard Pivot est décédé lundi 6 mai. Le présentateur d’émissions littéraires cultes comme « Apostrophes », « Bouillon de culture », « la Dictée » avait 89 ans.


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  • Livre de recettes

     

    Sortie de la troisième version de mes recettes personnelles en édition privée. Dix exemplaires. Nous en sommes à 448 pages, dont la moitié est consacrée aux aides-mémoires et annexes. 

    Pour la couverture, j'ai choisi le détail d'une peinture de Robert Delaunay. "Rythme, Joie de vivre", 1930.

     


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  • Lady S. se remet d'un gadin magistral. Elle a un peu de mal à se mouvoir, mais on a pu se voir au déjeuner. Restaurant indien pas très loin de St-Lazare. Menu classique, prix raisonnable pour le quartier et plats bons et généreux.

    Puis retour jusqu'au bar du Hilton pour essayer leurs cocktails sans alcool ! J'ai commandé un Mojito mais en demandant d'y ajouter une cuillère à café de rhum, pour faire un test. Pas de problème pour le serveur et le chef. Le chef a modifié très légérement la composition. C'est un secret rien que pour moi. Ce cocktail était parfait !

    On s'amuse souvent dans nos sorties. On rit aussi pas mal.


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  • Un point d'histoire...

    Le Bataillon sacré (en grec ancien ἱερὸς λόχος / hiéros lokhos) est un corps d'élite de l'armée thébaine dans la Grèce antique. Il est réputé comme étant formé de 150 couples d'amants. Il joue un rôle crucial dans la victoire contre les Spartiates à la bataille de Leuctres en 371 av. J.-C. Il est détruit à la bataille de Chéronée en 338 av. J.-C. par l'armée macédonienne de Philippe II. Il constitue sans doute l'exemple le plus célèbre d'homosexualité dans les armées en Grèce antique.

    L'historicité du Bataillon sacré est largement acceptée par les historiens. Les soldats tués furent enterrés dans une sépulture collective (πολυάνδρειον / polyandreion) surmontée d'un lion de pierre (découvert en 1818), dit Lion de Chéronée. La fouille de l'enceinte quadrangulaire a mis au jour 254 squelettes, disposés sur sept rangées.

    (in wikipedia : Le Bataillon sacré de Thèbes)
    (in CAIRN : Le bataillon sacré de Thébes : « À la vie, à la mort »)


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  • Quinze jours sans nouvelle de A. Je fais quoi ? J'envoie un mail ou je reste muet ? 

    J'écris un mail à 21h pour prendre et donner des nouvelles. Réponse à 23h ! Tout va bien. On doit se voir entre carnassiers pour une viande de qualité. Je vais de ce pas voir quels restos et quelles dates nous conviennent. J'en salive d'avance. 

    Pour ceux qui prendraient mon goût de la viande pour une hérésie notoire dans notre monde, à travers les discours de certains penseurs, idéologues, faux-écolos, donneurs de leçons, et tant d'autres, sachez que je m'en fous et que je m'en contre-fous totalement. Je suis flexitarien dans tous les domaines, la bouffe, la pensée, le sexe et tutti quanti !

    Et je le précise à nouveau : rien ne vous oblige à vous faire du mal en venant lire ce blog. 


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  • Fats Waller - Ain't Misbehavin' - Stormy Weather (1943)

    Thomas Wright Waller, dit Fats Waller, né le 21 mai 1904 à New York, mort le 15 décembre 1943 à Kansas City (Missouri), est un pianiste, chanteur, organiste, compositeur et chef d’orchestre américain de jazz.


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  • Sur son blog (pour esprit éclairé, lucide et curieux), Virgile Rendt se demande :

    « Et si la musique procurait un plaisir de même nature que le sexe ? Et s’il était possible de coucher avec un homme de Néandertal ? Et si la magie permettait de doper ses capacités sexuelles ? Et s’il était impossible de différencier un robot sextoy d’un véritable être humain ? Et si l’énergie sexuelle pouvait être récupérée pour alimenter des machines ? »

    Moi je vous réponds : Et si vous alliez jeter un oeil sur son dernier ouvrage : L’orgue d’Éros.

    Douze nouvelles à lire sans tarder... 

    Lire la suite ou pas


    Virgile précise, je cite :
    «  On dit toujours : écrivez le bouquin que vous avez envie de lire. Alors voilà : L’orgue d’Éros, c’est le bouquin que j’aurais aimé lire quand j’étais jeune. Un mélange de science-fiction, de fantastique et de romance gay, avec des personnages ostensiblement pédés, dans un univers où l’homosexualité est banale, le tout saupoudré d’un soupçon de porno.

    (Pourquoi du porno ? Parce que dans un monde hétérocentré comme le nôtre, je trouve utile d’appeler un chat un chat et de ne pas éluder, contrairement à ce qu’on voit dans la plupart des films, ce qui se passe dans l’intimité des couples de même sexe. Même si j’ai bien conscience que ça réserve de fait ces textes à un certain public.)

    Le point de départ de ces douze nouvelles est souvent une simple rêverie. Qu’est-ce qui se passerait si ? »


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  • Figurez-vous que je range ma bibliothèque. Je lis de moins en moins et j’ai accumulé au fil des années trop de livres. Des bons, des moins bons, des mauvais. Des reliés, des brochés, des collés. Il est grand temps de se débarrasser de ces livres de poche au papier de mauvaise qualité qui jaunit tranquillement, aux caractères qui sont désagréables à voir, aux couvertures tellement vieilles et moches. Leur aspect est tel que ce serait insulter un lecteur que lui faire cadeau de tels ouvrages.

    Un drame, car je n’aime pas jeter les livres. La solution qui à mes yeux aurait du panache, serai d’organiser un autodafé. Une purification païenne du papier. Un feu salvateur. Des étincelles tourbillonnantes. Une chaleur de passions. Le regard happé par ce feu rougeoyant. Des écaillures grises apparaissent. La fin est proche. La cendre chaude prendra place. Un vent dispersera le tout. Une marque noire au sol sera le seul témoin du sacrifice. Tout sera dit.

    Peste, diantre, fichtre, mazette, poisse, zut et merde ! Mais où vais-je faire un autodafé ? Dans mon logis ? Comment expliquer aux pompiers, fort beaux et sympathiques, que bizarrement c’est de l’auto-combustion.
    Je suis condamné à les déposer à disposition quelque part… Mon feu de joie ne se fera pas et c’est mieux ainsi.

    Le titre de cet article est « poésie ». Dans ce rangement, je redécouvre en édition de poche « Poèmes érotiques » de Verlaine aux éditions JC. Lattès. Une compilation offerte il y a longtemps par un mien cousin, un de ceux que j'adore... Donc je garde celui là ; le livre, mais aussi mon cousin bien sûr.


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  • Les quatre mains qui devaient écrire ce pu*** de roman sont en panne. Il faut dire que se lancer sans l'armature du récit, c'est un peu casse-gueule. Je déteste décrire de A à Z les personnages ou les situations. J'adore fabriquer tout cela au fil de l'eau et parfois... je coule !!!

    Un effort s'il vous plait. Je vais relire le tout pour tenter de retrouver le fil conducteur et essayer de le suivre. 

    Pour me détendre je viens de lire un document fort interressant sur la copie et le plagiat, qui date un peu (2003), mais qui reste d'actualité.

    _Citation_et_plagiat.pdf (24 pages)


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