• Sans prévenir, petite escapade de quatre jours en Bretagne chez des amis à Penerf (Damgan). Décidé au dernier moment, je suis parti à tire d'aile en voiture. C'est un peu long, mais ça vaut le déplacement.

     Inutile de vous dire que la chaleur était là. L'eau était limpide et calme. Les nuits avaient ce soupçon de fraîcheur qui rend le sommeil agréable et réparateur. Cuisine légère et fraîche très appréciée, surtout quand vous n'avez rien à faire que de vous mettre à table.

    J'ai vu de jolis bronzages sur des corps qui n'étaient pas forcément de rêves. Et toi tu t'es vu ? Oui, mais moi je ne m'étale sur le sable pas pour bronzer. Je laisse cela aux autres et je mate ! 

    Bien sûr, deux dîners chez des amis communs dans le même coin. Et puis quelques ballades mais le matin seulement quand le soleil est moins violent. Je suis parti un peu vite de Paris et j'ai oublié mon appareil photo, c'est ballot, non ?

    Retour ce soir sur la capitale et boulot demain. Va falloir rouler doucement à cause de la pollution, dixit le Préfet. Je ferais un grand tour de blog demain, car vous connaissez mes habitudes maintenant.

     

    mis en ligne : 23:55

     


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  • aujourd'hui, je vous livre l'écrit d'un pote que j'ai fréquenté dans ma folle jeunesse ! Il écrivait sous un pseudo : Voltaire. Maintenant, vous voyez de qui je veux parler !


    Ce qu’il faut pour être heureux


    Il faut penser ; sans quoi l’homme devient,
    Malgré son âme, un vrai cheval de somme.
    Il faut aimer ; c’est ce qui nous soutient ;
    Sans rien aimer il est triste d’être homme.


    Il faut avoir douce société,
    Des gens savants, instruits, sans suffisance,
    Et de plaisirs grande variété,
    Sans quoi les jours sont plus longs qu’on ne pense.


    Il faut avoir un ami, qu’en tout temps,
    Pour son bonheur, on écoute, on consulte,
    Qui puisse rendre à notre âme en tumulte,
    Les maux moins vifs et les plaisirs plus grands.


    Il faut le soir, un souper délectable,
    Où l’on soit libre, où l’on goûte à propos,
    Les mets exquis, les bons vins, les bons mots.
    Et sans être ivre, il faut sortir de table.


    Il faut, la nuit, tenir entre deux draps
    Le tendre objet que notre cœur adore,
    Le caresser, s’endormir dans ses bras,
    Et le matin, recommencer encore.


    François Marie Arouet, dit Voltaire (1694-1778).

    mis en ligne : 09h30


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  • affiche expo

    Petites courses dans mon quartier puis direction Musée du Louvre. Rendez-vous avec Lady S. à 11h00, pour un moment culturel. Je vous donne d'abord à lire le texte de présentation de l'expo, écrit sur le site du Musée :

    Les artistes américains et le Louvre
    La première exposition au Louvre consacrée aux artistes américains
    L'importance des liens artistiques entre la France et les Etats-Unis est illustrée par une trentaine de peintures. Il s'agit d'oeuvres majeures de l'art américain en relation avec le Louvre de la fin du XVIIIe siècle aux années 1940.
    Les artistes américains et le Louvre
    La première exposition au Louvre consacrée aux artistes américains
    L'importance des liens artistiques entre la France et les Etats-Unis est illustrée par une trentaine de peintures. Il s'agit d'oeuvres majeures de l'art américain en relation avec le Louvre de la fin du XVIIIe siècle aux années 1940.
    Organisée conjointement par le musée du Louvre et la Terra Foundation (Chicago), l’exposition explore les racines des échanges artistiques entre la France et l’étranger et montre combien le Louvre a été une source d’inspiration pour des générations d’artistes américains, de Benjamin West à Edward Hopper.
    Les collections du Louvre sont depuis leur ouverture au public en 1793, une école pour les artistes du monde entier. Pour les artistes américains cette attraction est aussi ancienne que le musée. Alors que l'on connaît son importance pour Whistler ou Hopper on a oublié que le Louvre a accueilli des artistes américains depuis son origine.
    A l'occasion du Salon, les premiers tableaux américains sont exposés dès les années 1800 ; un artiste comme Catlin, sous le règne de Louis Philippe, fait même l'objet d'une exposition particulière de ses oeuvres. Tout au long du XIXe et du XXe siècle, les américains vont étudier au Louvre et leurs oeuvres témoignent aujourd'hui de cette rencontre.

    Exposition co-organisée avec la Terra Foundation for American Art, Chicago, avec le soutien de la Florence Gould Foundation.
    (in : www.louvre.fr  - Expo jusqu'au 18 septembre 2006)
    (illus. Samuel F.B. Morse (1791-1872), Gallery of the Louvre (detail), 1831-33 ; © Terra Foundation for American Art, Daniel J. Terra Collection)

    .

    Déçus, déçus, trois fois déçus ! Nous le fûmes, Lady S. et moi.

    L'expo est présentée au premier étage de l'aile Sully, dans la Chapelle. Un lieu presque carré avec un accrochage sur les cotés et au centre. Résultat il faut reculer jusqu’au tableau en vis à vis pour avoir du recul. Et les tableaux ne sont pas des timbres-postes. Ils sont disposés sur un fond triste très pâle, et la lumière n'est pas à la hauteur.

    Oui, je suis très critique. Une trentaine de tableaux, une trentaine d'artistes : donc avec un tableau par peintre, il est difficile de se faire une idée de la relation que voulait nous montrer cette exposition. Le Hopper accroché ne me plaisait pas. Il n'y en avait qu'un, alors tant pis. Le seul tableau de Childe Hassam était superbe, tant mieux (Une averse rue Bonaparte, 1887).

    Le catalogue en revanche est très fourni. Articles de fond, illustrés par des oeuvres non présentées dans l'expo mais qui soutient le propos. Je l'ai feuilleté un bon moment. Je ne l'ai pas acheté !

    Or c'est là le motif de ma déception et de mon énervement. Même si les reproductions sont superbes, rien ne vaut la rencontre avec l'oeuvre. Le sujet, sa construction, sa texture, la pose des couleurs, la dimension de la toile, la possibilité de s'en approcher ou de s'en éloigner, et plein d'autre choses que l'on découvre de visu avec cette relation quasiment charnelle qu’on n’oublie pas.

    Nous avons même demandé à une dame du Musée, si par hasard, nous n'avions pas loupé une autre salle ! Eh bien, non. Tout était exposé là ! Nous nous sommes regardés sans mot dire et nous sommes repartis.

    Le tableau qui sert pour l'affiche de l'expo n'est même pas exposé. Là je trouve que c'est limite foutage de gueule.

    Donc la visite fut très rapide. Quelques objets dans d'autres salles firent l'objet de notre admiration légitime. Puis un crochet par les sous-sols à la découverte émouvante de cette partie médiévale du Louvre, puis tentative de sortie une première fois (c'est fou le nombre de recoins et d'escaliers qui nous font tourner en rond !) enfin sortie du Musée, direction jardin du Palais-Royal.

    Déjeuner correct en terrasse avec des moineaux parisiens très effrontés dont un s'est permis de se poser sur le bord  de notre table. Il faut dire que quelques minutes auparavant, j'avais eu le malheur de lui donner un peu de mie. Le bougre s'est dit qu'un bienfaiteur, fallait pas le lâcher comme ça ! Le service fut un peu chaotique mais le déjeuner fut bon.

    Nous discutâmes en finissant notre vin qui bizarrement provoqua en nous un engourdissement. Trop fort ou trop ? Bof ! Petite promenade digestive autour du jardin, lèche-vitrines sous les arcades puis retour dans nos maisons respectives ... pour quelques tâches ménagères, eh oui ! Lady S. part en vacances demain et elle a tant à faire !!! Moi je reste et j'ai une tonne de repassage !!!

    mis en ligne : 18:48


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  • Un bureau couvert d'un cuir fauve élimé et usé par endroits, un bloc de papier à lettre bleu, une élégante paire de gants noirs en filet.

    Pourquoi ces gants oubliés ? La lettre devait être de quelque importance pour qu'une telle parure soit laissée à l'abandon. Quels mots brûlants, passionnés, froids, détestables, amoureux, pervers, secs, laconiques, ronflants, ampoulés, voire grandiloquents, avaient été jeté sur ce papier. Un papier bleu, de celui qu'on réserve à une correspondance intime, pas à une correspondance administrative.

    Et ce bureau usé, qui avait du subir et verrai encore à travers le papier les assauts vigoureux d'une plume traçant une cursive nette et appuyée. D'aucuns vous dirons que des mains si fines ne peuvent avoir une telle poigne mais une douceur délicate propre aux caresses. Et moi, je vous dis que des mains bien que fines et délicates sont assez nerveuses et fortes pour étrangler, serrer un cou, presser des carotides, et attendre que l'inéluctable soit accompli.

    Diable, quelles pensées funestes !

    Ce papier bleu devrait nous raconter une histoire d'amour et non pas un récit de haine. Et qu'en savez-vous ? De la haine, de l'amour, de la rage, de la passion, du vulgaire et du sublime. Je vous le demande.
    Avez-vous remarqué sur le bloc ce monogramme pompeusement décoré et doré, comme pour montrer que l’on n’est pas n'importe qui. Vanité des vanités.

    Et ces gants, toujours ces gants. Jetons les préjugés aux orties. Ces gants, sont-ils la parure d'une main féminine ou masculine ? Vous croyez savoir. Ne tombez pas dans le piège, femme peut les porter, mais homme aussi. Quelles mains sont les plus douces et les plus expertes ? Moi, je le sais et j'ai une préférence absolue pour les mains de mon bien-aimé. 

    Celui qui voit les choses et les gens de haut ne peut pas sentir, toucher, raconter ses expériences. Celui qui prend la peine de se baisser et de marcher parmi le monde peut dire son voyage et nous rapporter des sentiments et des émotions pour un partage passionné.

    L'amour commence dans le regard de l'autre, dans cette prunelle brillante et colorée, où nous avons des envies de noyades. La caresse d'un regard. Un regard de velours. Je suis amoureux. Je suis amoureux de mon sentiment d'être amoureux. C'est terrible. Ne prenez pas cela pour du narcississisme, car c'est au delà d'une image de soi, réelle ou virtuelle.

    Ce soir je n'avais pas l'humeur à écrire du quotidien. Des souvenirs ont surgi, on ne sait ni comment, ni pourquoi, et ont guidé mes doigts sur le clavier. Une pluie de "Madeleine" est tombée. Que c'est bon...

    I remember, ...

    PS. : mon voisin part deux semaines en vacances, mais il sera là tout le mois d’août ! Chic !

    mis en ligne : 23:55


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  • et de la fureur. La rue est pleine de fureur, de cris rauques et animal. Il fait encore plus chaud et quelques klaxons ont poussés leurs clameurs. Des voix dans l'escalier s'entremêlent en cacophonie. Personne n'écoute l'autre. Les pas dégringolent les étages, les voix s'estompent, le silence reprend possession des lieux. La rue est de nouveau calme. J'ai ouvert à nouveau la fenêtre. On sonne à ma porte. Je regarde ma montre : il est minuit trente. On sonne à nouveau. J'ouvre la porte. Mon voisin est là, légèrement penaud, un demi-sourire d'excuse aux lèvres. Ses yeux verts brillent. Ses cheveux noirs sont en bataille. Il ouvre les bras en signe d'impuissance. Pendant qu'il disait au revoir à ses invités jusque dans l'escalier, la porte de son appart s'est refermée sur lui. Pieds-nus, pantacourt et T-shirt : c'est son look ce soir. Bien sûr, je peux lui passer mon téléphone. Mais oui, il peut téléphoner à un serrurier. Naturellement, il peut attendre chez moi en attendant. Veux t-il boire quelque chose ? Il me remercie. Il n'a pas soif. Il veut savoir si j'ai regardé la télé. Non, je n’ai pas regardé. Il s’attend à ce que je lui dise que ce qui a été important pour lui ce soir avec un ballon, ne m’a pas intéressé. Le téléphone sonne. Le serrurier annonce sa venue. Mon voisin de lève. Il dit qu’il est désolé de m’avoir dérangé. Mais non, il ne m’a pas du tout dérangé. Il peut revenir quand il veut. Notre conversation se termine sur le palier. Le serrurier et arrivé. Mon voisin me dit au revoir d’un petit signe de la main. Je referme doucement la porte de mon logis. Il fait chaud. Je m’assoupi … Mon voisin est revenu, il a changé pour une tenue en couleurs vives ; il veut bien boire une eau pétillante ; il veut qu’on fasse connaissance, que l’on discute un peu ; ses yeux m’hypnotisent complètement ; ses lèvres remuent et je n’entends aucun son ; je ne sais pas ce qu’il dit mais son expression et ses gestes sont si doux que j’imagine qu’il me dit des mots tendres. Un bruit de chute sur le parquet : la télécommande de la tv git au sol en trois morceaux. Je regarde autour de moi. Il n’y a personne. Et mon voisin ? Simplement un rêve. Mais alors tout n’était qu’un rêve ? Je me lève, j’ouvre la porte de mon appart, je tends l’oreille, je regarde la porte de mon voisin. Elle porte une petite trace : l’intervention du serrurier. Ouf, je n’ai pas totalement rêvé.

    Maintenant je vais me coucher et peut-être que mon rêve …

     

    mis en ligne : à pas d'heure !

     


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  • ... et non pas LE retour. Faut pas rêver. Je suis pas une star qui refait une apparition sur scène. Et pourtant, on peut se demander si nous ne jouons pas un peu les stars, chacun à notre façon. Car nous nous exposons aux lecteurs, nous composons avec nous-même et les autres. Le commentaire est le public qui se lève et qui envoie un 'bravo' tonitruant. Et quand ce sont des critiques, les brava deviennent des tomates ! Est-ce exagéré de voir le blog sous cet angle ou bien est-ce mon ego qui me fait écrire n'importe quoi ?

    Donc, je suis revenu après une escapade de 8 jours. Où ? c'est privé !  J'avais à faire.

    Dès mon arrivée à la maison, je me suis fait un plaisir de plonger dans mes chers blogs que je n'avais pas pu lire depuis tant de jours. Et c'est dans le chaleur moite de la capitale que je tape cet article en survolant le clavier.

    Je pense que je vais reprendre mes expériences de "potages glacés" : potage de champignons au citron, potage de légumes verts à la menthe fraiche, potage de potiron au concentré de tomates et poivres ... Préparé la veille, mis au frigidaire toute la journée du lendemain pour déguster, le soir en rentrant, c'est divin.
    C'est comme la ratatouille, froide ça peut être délicieux et les légumes pour la faire sont de saison.
    Nous allons nous remettre en cuisine ...

    Mercredi, je retrouve mes collègues de bureau, et à part trois ou quatre, les autres ne font pas partie de ceux que j'ai envie de voir et d'écouter. Soyons philosophes et allons-y !

    mis en ligne : 00:54


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  • Driiiiinngg ! (quelque part, loin d'ici)

    - Allo, môman ? aaalloooo ... Je sais pas quoi mettre dans ma valise. Quel temps fait-il ?
    - Où est le problème. On crêve de chaleur. Et je te signale que tu as plein de chemises, de tee-shirts et quelques pantalons. Que veux-tu emporter d'autre ?
    - Ben, j'sais pas, moi, heu... ben...
    - Ecoute, viens comme tu es !
    - Mais je suis à poil en ce moment ! (lol)
    - Ne dis pas de bêtises. Habille toi normalement... oh, et puis fait comme tu veux. Mais surtout n'amène pas des vieilles fringues dont tu veux te débarrasser, sous prétexte que tu peux te salir en bricolant ou en ratissant le jardin. Les armoires sont envahies !
    - Là, tu exagères ! Bon, j'arriverai demain, vers midi. Bisous.
    - C'est parfait. Je t'embrasse et fait un bon voyage.

    Clic. J'adore ma mère. Cette conversation n'a servi à rien. Juste à confirmer que les armoires sont pleines. (oui, mais des affaires, y'en a à ma frangine dans le lot et je sais qu'elle en a plus que moi !).

    Conclusion : je prépare une petite valise. Et je prends ma CB, na !!!! (enfant capricieux, va ! et futile en plus ! )

     

    C'est une escapade, mais pas vraiment des vacances.
    Je tenterai de vous lire, mais rien n'est garanti, un internet en RTC, c'est pas rapide et la ligne aérienne (sur des poteaux, et oui !) est des plus fanstasques ! (elle devrait être enterrée cette année)

    Et donc, je préfère vous dire :

    blog en demi-pause et demi-teinte pour 8 jours. A bientôt ...

     

    (montagne, 1150 m., coucher de soleil voilé, brume légère, octobre 2005, 18h53)

    mis en ligne : 19h45

     

     


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  • Pfffff.... un lundi de (ah non pas de mot grossier!) de .... pas terrible.

    Je viens de m'apercevoir que j'ai créé une catégorie "Enervé" à la création du blog et qu'elle est vide !

    Qu'avais-je en tête ce jour là ? Avais-je prévu de déposer bile et venin dans cette boite ? Ou bien est-il possible qu'elle fut créée en prévision d'événements qui me feraient bondir et sortir hors de mes gonds ?

    Je ne sais pas, mais c'est sûr que dans les mois à venir, j'aurai certainement quelques énervements, aigreurs ou acidités qui se déverseront en une prose brutale et sans appel ! Et là la catégorie "énervé" n'aura pas assez de téraoctets pour contenir mes discours furieux !

    Non, je plaisante je ne suis jamais aussi démonté que j'en ai l'air. Heureusement....


    Maintenant que j'ai bien bavardé pour ne rien dire, je suis à 24h heures de mon départ. Je vais me sauver quelques jours et vu le temps chaotique, je ne sais pas quoi mettre dans cette foutue valise. Comment, j'emporte rien ? Non, mais je ne vais pas dans un camp de naturistes !  Et qui a dit : c'est pas vrai ?? 

    Toutes plaisanteries mises à part, je prends ma CB, je pars et je complète ma garde-robe sur place, c'est chouette non ? Quoi, mon banquier va faire la gueule ? C'est évident. Il est pingre. Il a des oursins dans les poches. Bon c'est pas tout ça, mais je vais déjà ouvrir l'armoire et on verra.


    Je ferai un mini post demain, et je vous dirai si je pars à poil ou pas.
    Comment tout le monde s'en fout ?
    Ah, bon ! ... et bien bonne nuit.
    ...mais non, j'suis pas fâché ! grrrrhh...

    mis en ligne : 22h54


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  • Tournée des blogs entre le déjeuner (fort tard) et le goûter (trop tôt). Qui a dit que je m'empiffre ? Non ? J'avais cru entendre.

    Reprenons. Lecture des blogs. Deux heures de lecture !

    J'explique : vous faites le tour de vos habitués et.. (j'ai l'impression de parler comme une vieille p*t*in), et vous découvrez que tout un chacun possède sa petite (ou longue) liste de ses blogs préférés. Et vous vous dites que puisque vous appréciez son blog, pourquoi ne pas aller voir ceux qu'il lit. Catastrophe ! Pas au sens où vous découvrez que celui que vous lisez à un goût de chiottes, au contraire, il a dégoté des blogs superbes et dignes de partager votre temps de lecture avec les autres.

     

    Temps de lecture : voilà le hic. Vous ne partager pas un temps défini de lecture, vous allongez ce temps. D'abord pour découvrir, non pas seulement le dernier article, mais les 5 ou 10 qui précédent et dont les longueurs sont très variables. Et par dessus le marché vous lisez aussi les commentaires associés. Pour découvrir que certains commentateurs sont dans votre propre liste de préférés.

     

    Donc de proche en proche, de saut en rebond, de ricochet en ricochet, votre liste augmente de façon pléthorique. Vous vous dites qu'il va falloir trier, organiser des lectures à tour de rôle, ne garder que ... lesquels d'ailleurs. Les critères sont tellement subjectifs. Autant de blog, autant de critères. Et puis vous n'avez pas le courage de trier, d’éliminer (quels vilains mots).

     

    Maintenir une cadence, ne pas devenir un boulimique de blogs (c'est foutu pour moi) et surtout ne pas avoir une indigestion. Ce qui vous rendrait libéré mais tellement malheureux.

    Conclusion : je continuerai à lire. Ma liste s’allongera. Les temps de lecture et de rédaction aussi. Je sauterai des repas pour ne pas prendre de retard. Mon boss ne me verra plus. Le sommeil me deviendra étranger. Je deviendrai un électron de la blogosphère, tournant en permanence autour de vos lignes. Je deviendrai fou (ou folle dingue au choix)

    Comment est-ce possible ? Soyez rassuré, cela n’arrivera pas !

    Bon je vous quitte, j’ai un thé (des haut plateaux, une pure merveille) qui m’attend.

    Bon dimanche…

    mis en ligne : 16h50

     


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  • ... d'un amour impossible. Je pense que vous avez compris que le chapitre "T" s'est refermé vendredi en fin d'après midi. La peste soit des stagiaires appétissants. "T" a mis les choses au point, tout en finesse suite à une de mes provocations verbales et ironiques. De plus l'individu a une copine, je l'ai su par la bande si je puis dire. Et ne me dites pas "ca empêche quoi ?" . Ah si, ça change tout : jamais envie de foutre le bordel dans un couple. C'est déjà pas simple parfois à deux, mais alors à trois, c'est ingérable. Vous avez vu dans quel état cela nous met.

    Comme me l'a dit un autre blogger (voir comm sur post)  "no zob in job" . Et le pire c'est que j'épouse tout a fait cette opinion. Que j'ai souvent prôné et conseillé la même attitude à d'autre !  

    Alors pourquoi cette fois-ci j'ai craqué ? Ben, j'en sais rien. Peut-être un hiver trop long ?  Un rayon de soleil a remit mes hormones en ébullition ? Je sais pas. En tout cas, ce que je trouve terrible, c'est je trouve "T" pas si "bogosse" que ça finalement. Qu'au fond sa conversation n'a jamais été autrement que futile. C'est dur ce que je dis ici, parce que c'est quand même moi qui suis allé le titiller.

    Mais pas d'inquiétudes, je resterai jusqu'à la fin de son stage, sans état d'âme, ou du moins en faisant complètement abstraction du fait que j'ai pu avoir à son endroit des bouffées de chaleur animale !!!  Oui, oui, je vous l'assure. Maintenant que je sais qu'il ne fera pas partie d'un instant de ma vie, je suis très calme sur le sujet (enfin je crois !).

    Et on continuera à déconner quelques fois sur des sujets limites. Je ne suis pas le seul à le faire. Surtout avec "S", un collègue, pas homophobe pour deux sous (c'est agréable) et à qui j'ai fait une très très courte scène de ménage en public (qu'il a très bien accepté) parce qu'il se mariait !!! Donc, l'ambiance au boulot ? Ca va, on assure et on assume, on bosse dur et on rigole !

    Et vous les garçons, vous allez bien ?  Ne me dites pas tous ensemble "on va super bien". Je le croirai pas (ou du moins c'est pas vrai pour tout le monde).

    Et la "Marche des fiertés ...." de cet après-midi. Qui a fait l'effort d'y aller ? Moi, pas. J'ai pas eu le courage d'y aller. Je pars dans 2 jours (pour une semaine) et à force de reporter les choses d'un week-end sur l'autre, me voici coincé avec un million de choses à faire entre le matin et l'après-midi. Bon, c'est pas une excuse et c'est pas non plus une catastrophe.

    Voila une autre page achevée et comme demain est un autre jour, tout va très bien !

    mis en ligne : 23:55


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  • 1823, Vienne.  En pleine nuit, un vieil homme est transporté à l'hospice. Antonio Salieri, autrefois célèbre et compositeur officiel de la cour a tenté de se suicider. Il clame : "Pardonne, Mozart, pardonne à ton assassin !"

    Cette ombre avait voué sa vie, dès son plus jeune âge au service de Dieu, et s'était engagé à le célébrer à travers sa musique. Reconnu par l'empereur mélomane Joseph II pour son talent, Salieri reçu les plus grands honneurs.

    1781. Précédé d'une réputation certaine, Wolfgang Amadeus Mozart devient le plus grand compositeur de son siècle. Réalisant la menace que représente Mozart, Salieri fera tout pour l'évincer.

    Réalisé par Milos Forman. Sorti en 1984. Avec Tom Hulce, F. Murray Abraham, Elisabeth Berridge (Reprise en 2002)

    Oscars de 1985. Nommé onze fois, le film en remporte huit dont: Meilleur son, Meilleur scénario adapté, Meilleur maquillage, Meilleurs costumes, Meilleurs décors, Meilleur acteur (F. Murray Abraham),...

    Inutile de vous dire que ce film remporta un succès planétaire !

    Que dire ? Que ce fut une grande joie de revoir ce film et d'entendre cette musique ce soir (sur FR3).

    Mozart - Requiem (extrait).

    Mozart, Requiem, extrait

    mis en ligne : 23h59


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  • Je viens de découvrir les statistiques de fréquentation de mon blog. Bon, je suppose que tout le monde est passé par là.

    On se dit que c'est incroyable le nombre de visiteurs, mais en même temps on reste modeste. Faut pas rêver, y'a des blogs qui affichent des scores dix fois,  voire cent fois plus élévés que moi.  Mais ça fait plaisir, on a cette petite satisfaction de savoir qu'on peut peut-être intéresser l'autre.

    Cet autre, avec qui on tisse un lien quasi affectif. Je vois bien que quand l'un de nous fait une pause dans son écriture, sa blogoshère s'inquiète, piaffe et sollicite. Est-ce ça ou bien un manque à lire ; parcequ'il y a une sorte de voyeurisme, moins romantique pour le coup ?  N'ayons pas une lucidité destructrice, laissons l'illusion jouer pleinement, c'est tellement agréable !!!

    Hier je vous disais : "mardi : montée en puissance". J'ai tout faux. Sont-ce les variations de température, mais les limaces - dormeuses de surcroit - n'avaient rien à m'envier. Je me suis trainé toute une moitié d'après-midi , et se pousser quand on dort debout, c'est pas le pied.

    Chapitre "T" : j'avais pas la forme pour passer aux choses sérieuses et de plus lui, n'était pas très dispo. Il bossait un peu speed.

    Ce soir je me couche tôt. Il me semble que couché à 2h00 et levé à 7h00 n'est pas la meilleure solution pour rester tonique au boulot... et ailleurs !

    Bonne nuit ....

    mis en ligne : 22:08

     

     


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  • Dimanche : rien. Oisiveté. (qui a dit glander ?). Regarder le temps passer et la nuit arriver.

    Lundi : comme d'habitude, boulot du lundi, tout en automatique et montée en puissance pour mardi.

    Chapitre "T" : rien. c'est à dire vu 15 secondes entre deux portes. à suivre...

    mis en ligne : 00:15

     


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  • Une sortie décidée il y a quelques temps. Une amie, nous l'appelerons Lady S, m'avait proposé pour samedi, un cinéma vers 14 hsuivi d'un goûter fraicheur. Nous devions voir "V vendetta".

    Il n'en fut rien et je ne le regrette pas ! Nous avons commencé notre journée à 11h00 par chercher un pantalon sympa pour Lady S.  Pas trouvé où nous étions. Donc nous partimes de Paris 15ème en bus jusqu'à l'église de St germain des Près. Et à partir de ce moment là nous avons tout fait à pied et en bavardant sans cesse ! Descente vers St Michel au bord de la Seine via la place Furstenberg et Musée Delacroix. Rien n'a changé et le jardin est très agréable. Le jeune "gardien" était très miam (ben non, j'ai pas de photo, on pense pas à tout.) Retour par les petites rues et arrêt rue Buci dans une librairie de bouquins d'art (non climatisée) et un galerie de peinture (climatisée)

    Arrivée sur les quais pour déjeuner fort frais et agréable au royaume du Fruit.. Traversée vers Notre-Dame (non, pas le ma*re de Paris, la cathédrale !)  puis le square Jean XIII, (quoi, ça rappelle des vieux souvenirs à certains...) et sortie sur le Pont pour faire tout un tour de l'Ile St-Louis avec toute cette histoire de France à fleur de pierre.

    De là, boulevard Henri IV, crochet au truc d'urbanisme de l'Arsenal, avec un arrêt au Bazar de l'Electricité : une véritable institution lumineuse, puis Bastille et remontée par la rue de Rivoli, crochet dans le Marais, arrêt dans une boutique et achat  de 2 beaux cahiers reliés cousus, un pour chacun (pour écrire nos mémoires !). Une pirouette Place des Voges, et retour par le Marais sur le BHV (tiens, là aussi un autre institution au s/sol, appellée La Mecque du Bricolage).

    De nouveau sur Rivoli toujours en bavardant . Lady S et moi, nous faisons des entrées/sorties dans les magasins. Et ça porte ses fruits (oui, je sais, les fruits étaient le thème de la journée !).
    Pantalon OK, paires de chaussures OK (deux paires!).
    On s'est quand même arrêté boire un cocktail de fruits entre deux.

    Il est 18h00 et nous continuons à marcher par cette magnifique journée. Et nous avons fait plus de 5 km ! (oui, j'ai calculé) Cela ne vous parait peut-être pas extraordinaire, mais moi j'ai pas fait une ballade aussi longue depuis .. depuis..., je me souviens plus ! c'est dire. 
    Nous reprenons notre métro à Louvre/Rivoli , il est 18h30  et nous repartons chacun dans nos pénates.

    Et bien le croiriez-vous ? Je ne suis pas crevé ! Bon, peut-être que Dimanche, la bête sera moins fraiche, mains nous verrons bien.

    PS. Pour ceux qui connaissent Paris, ils s'y retrouveront, je pense. Et pour les autres, je suis désolé, mais je veux bien organiser une visite guidée, lol.

    mis en ligne : 02:12


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  • Cette journée fut très rapide. Le rythme soutenu, j'ai fait pleins de trucs que je différais aux calendes grecques, c'est dire !

    Je ne vous en dirais pas plus. Les dizaines de petites tâches et servitudes ménagères sont le lot de chacun et n'ont pas grand intérêt.

    Entre deux, à l'heure du déjeuner, problèmes de mise à jour chez O-B. A priori cela durait depuis 4h du matin. Et là, je ne vous raconte pas, sur le forum, les dialogues de dingues : acides, énervés, prosaïques, philosophes, perdus. Je ne trouve pas tous les adjectifs circonstanciés pour les décrire.

    Du coup, j'ai pas pu faire ce que je voulais sur le Blog. On verra demain. Bon week-end à tous...

    mis en ligne : 19:45


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  • J'ai fait une tournée de blog. C'est un petit peu comme le temps : variable. Ou comme la bourse : des hauts et des bas. Toutes sortes de situations : les muets, les revenants, les intrépides, les souffrants, les flemmards, les laconiques affairés, les constants, les ...

    Est-ce que j'en oublie ? Certainement. Maintenant ne comptez pas sur moi pour vous dire auxquels d'entre nous je pensais. Je vous lis tous régulièrement et vous êtes souvent mes petits bonheurs quotidiens, mes réalités, mes sourires, mes rires, et mes tendresses. Ca fait du bien.

    Chapitre "T" (voir post précédent).
    Nos allusions à triple sens risquent de tourner à la joute oratoire. Et le but n'est pas celui-là, du moins pour moi. Je ne travaille pas demain et à la question que je lui ai posé, légèrement ironique, "survivras-tu trois jours sans me voir", il a affiché un grand sourire, a rougi (à peine), et a répondu "je crois pas, mais je te verrai lundi, hein?". Nous n'étions pas seuls et je ne sais plus ce que j'ai répondu comme idiotie. Voilà.

    Et après ? je ne sais pas. Le hic, c'est qu'il a le sens de l'humour, du dérisoire et de la répartie. "L'humour est le plus court chemin d'un homme à un autre" (G. Wolinski). Je ne suis pas si sûr que dans mon cas ce soit vraiment le chemin le plus court, mais pour l'instant nous ne fonctionnons pas dans l'indifférence, il faut en profiter.

    C'est donc plus difficile de savoir où on est ! Lui le sait peut-être, d'ailleurs. Alors que moi !!!! C'est un vrai foutoir dans ma tête. J'ai du mal à savoir. Et puis je suis toujours prêt à me jouer des scénarii invraisemblables. L'imagination est une grande chose, à condition d'en sortir un jour ! Mais pour l'instant, n'y pensons plus. Zut, j'y arrive paaaaaas.

    " Et, oh ! On prend ses gouttes et on se calme, non mais ! "  Ca c'est "lautre-moi" qui en a marre de subir mon état actuel. Calme, je suis calme ...

     

    mis en ligne : 23:58


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  • ?

    Et oui, mon post n'aura pas de titre.
    La journée d'ailleurs restera sans titre.
    Et mes sentiments à l'égard de T. prennent de l'ampleur. Le hic, c'est qu'au boulot c'est moins facile qu'ailleurs. Ah, je vois d'ici le conseil : "propose un verre après le boulot". Non, et non... pour l'instant. Je ne sais pas du tout.
    A peine 15 jours qu'il est là et nous avons une complicité de mômes. L'un sort une idiotie et c'est les deux qui rigolent comme si on se connaissaient depuis la maternelle. Son stage va durer 2 mois : après, pfuitt, envolé, et il retournera d'où il vient ! Et puis on est différent, trop, je sais pas. Il est grand, moi pas ; il est mince, moi pas (pas encore) ; il est jeune, moi pas. Je suis amoureux, et lui, je sais pas. Et après me direz-vous. On connait des histoires où les contraires on fait un attelage d'enfer. Oui, mais ça, c'est dans les livres, les belles histoires écrites. Celles que nous vivons n'ont pas tout fait la même tournure, ni les mêmes couleurs.
    Je me pose des questions pour l'heure. Quoi faire ou plutôt comment faire. Indispensable de rester un peu lucide, sans souffrir. Ne pas étouffer complètement des sentiments pour ne pas manquer d'air soi-même. Parler codé, en allusions, en demi-teinte ou exprimer plus clairement son désir. Et ce désir n'aura pas de titre non plus.
    Et ce post, était-il utile de l'écrire ?
    Arf, la vie est parfois un peu contrariante !!!

    Je ne peux résister à citer Denis de Rougemont  (je ne me souviens plus du tout qui est ce mec là !) :
    " Etre amoureux est un état. Aimer est un acte. "
    Et nous verrons bien si après mon état amoureux, je basculerai dans l'acte d'aimer...

    A bientôt

    mis en ligne : 22:30


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  • Très chôôôôôôô..................., non ?

     

     

     

     

     

     

     

    (c'est pas moi dans mon jardin....)

    mis en ligne : 00h02


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  • Beau temps, température estivale, rien à signaler !

    Faut-il que je vous parle de Hopper, peintre américain, 1882-1967 ?
    Les éditions Taschen éditent, pour leur 25 ans d'existence, des livres sur la peinture, la sculpture et l'architecture. Ouvrages grand format (25x30) à 10 euros ! De quoi se faire une bibliothèque à moindre frais. Equilibre entre textes et beaucoup de reproductions. Plus de 200 pages !

    Pour l'ouvrage sur Matisse, on dépasse les 250 pages et les 200 reproductions.

    Comme j'ai commencé par Hopper, je vous livre ce tableau de 1939 intitulé :
    "Tôt un dimanche matin".

    [Early sunday morning - Huile sur toile 88,9 x 152,4 - New York, Whitney museum]

    mis en ligne : 01:25, c'est plus que tôt pour un dimanche !

     


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  • Y'a du mieux. Allez savoir pourquoi j'allais pas hier, je n'en sais rien.
    Mais aujourd'hui debout à l'aube (enfin presque : il était 9h00 !) et super actif... dans les tâches ménagères dont je me passerais bien volontiers. Petit tour pour faire le plein de fruits et de légumes frais. Puis me voilà en cuisine. C'est du sérieux, j'ai décidé de cuisiner. Déjeuner simple et savoureux. (Non, vous n'aurez pas les recettes aujourd'hui, nan !)

    Et un petit tour dans le square ombragé à deux pas de chez moi avec dans la poche "Les Miscellanées de Mr Schott" de Ben Schott. Ce livre, découvert grâce à un blogguer (BS pour ne pas le nommer), est un enchantement de l'inutile (pas toujours) et du superflu (pas forcément). On peut le lire dans le sens que l'on veut, c'est très bien dans mon square de verdure et ailleurs. On s'étonne, on apprends des trucs, on se souvient d'autres choses. On rit ou on sourit. C'est intemporel et éternel.

    Je quitte mon square et direction l'agence FT/Orange pour un autre portable. Mon LG à clapet et à antenne me lâche, doucement mais sûrement. Si je vous dis que le vendeur était craquant à souhait, tee-shirt blanc moulant, cheveux noirs, yeux verts, sourire hummm .... hein ? vous dites quoi ? vous dites que c'est bidon ? Ben ouais, c'est bidon. On peut toujours rêver qu'on va être acueilli par un mec comme ça !

    La vendeuse était sympa et je suis reparti avec lui (le mobile !) : mince, sans clapet, sans antenne visible, noir (oui je sais que le modèle rose-fushia, super joli, était plus rigolo), un petit bijou qui me va très bien au teint !

    Je vais encore passer un bon moment à congfigurer cet engin. Surtout au niveau des sonneries, c'est là que c'est le plus trash !

    A bientôt... dring!

    mis en ligne : 21:05



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  • Dernier épisode de lumbago : il est parti et je me déplace plus vite qu'une punaise supersonique !

    Je me demande si j'aurais pas du aller au bureau aujourd'hui. Je suis en RTT quasi forcé (si tu prends pas ton jour, il est perdu au bout de deux mois  !) et j'ai le moral dans les chausettes; Je vais pas bien dans ma tête.
    J'ai trainé à la librairie "le Divan". Je me suis laissé aller : deux livres de peintures, un sur Hopper, l'autre sur Matisse. Je bouquinerai tout ça plus tard dans la soirée.

    Pour le moment je rassemble des notes qui trainent un peu partout. Elles concernent des idées d'écriture ou de peinture. Je me demande si je vais pas les mettre toutes dans un carton et les oublier ou bien si, sans état d'âme, je ne les jette pas purement et simplement dans la poubelle. Et tout d'un coup ces notes redeviennent précieuses. L'idée qu'elles soient souillées par mes épluchures de légumes et de fruits ne me convient pas du tout. Au fond, je ne sais pas ce que je veux.

    Et le garçon aperçu la semaine dernière et avec qui j'ai échangé de longs regards en faisant mes courses : plus revu ! A présent, je me dis que j'ai du me faire un cinéma... Et puis entre les rayons, ton panier déjà bien rempli, tu te vois en train de proposer un plan direct, on laisse tout sur place et "on va chez toi ou chez moi ?" Je crois que je sais pas faire. J'ai besoin de parler un peu, de rire, d'avoir une expression complice...

    Le temps chaud qui arrive réveille en moi des désirs. De toutes sortes, aussi bien charnels qu'intellectuels. D'ailleurs le phantasme alimente le corporel et inversement. Que serait le sexe sans notre cerveau ? Beaucoup moins qu'on ne pense. Mais tout cela sont des banalités maintes fois énoncées.

     

    Et maintenant, je ne peux résister à vous montrer une sculpture sensuelle (recto, verso) d'un ami très cher ! C'est pas un peu orienté, non  ? Je le crains après ce que je viens d'écrire, mais bon, c'est un jour comme ça !

    Bon week-end à tous !

     

     

     

    mis en ligne : 19:11

     


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  • Mieux ! Ça va beaucoup mieux (lumbago s'éloigne).

    Je n'ai pas pu résister à acheter un comment dire ... porte-cartes ? Oui c'est ça. Boitier rigide, gris argent brossé. Parce que ces foutus cartes, sur à peu près le même modèle, on en a des tonnes : la CB (bleue ou dorée), la verte (Vitale), La bleue pâle (lavage voiture), la bariolée (pour parcmètre), la blanche (self boulot), autre blanche (accès boulot), la grise (accès parking), la rose et mauve (Monoprix), la verte et rouge (Casino), la jaune et noir (kiloutou), plus toutes les autres qui n'on servi qu'une fois... Et après ? Ben y'a tous les codes (mais pas toujours) en 4 chiffres ou 6 mélangés avec des lettres ou 8 ou ce qu'on veut ou pas de codes du tout. Et puis les codes sans cartes : pour l'entrée de mon immeuble, pour l'ordi du bureau, la messagerie, le répondeur du téléphone boulot, puis tous les autres pour la maison et on recommence. Ne pas mélanger codes et cartes sinon c'est la cata. 

    Et puis la subtilité d'avoir à changer les codes régulièrement. Code pas bon = insulte de cette foutue machine. Aucun savoir-vivre. A croire que nos chers programmeurs ne savent pas programmer les formules du genre : "Cher ami, il est très tôt pour vous ce matin et il semble que vous ne soyez pas très réveillé. Soyez gentil, faites un effort, votre login et/ou votre mot de passe sont erronés ; Croyez bien que j'en suis désolé, mais vous pouvez ressaisir vos identifiants" .... C'est peut-être un peu trop cette fois-ci, non ? Je vois à votre air que c'est trop long ! Bon, tant pis. On se contentera des messages habituels... Dommage.

    Et puis on nous annonce la révolution biométrique : mon iris me servira d'identifiants. Et c'est là que toutes nos expressions imagées aujourd'hui prendront toutes leurs significations :
    - Ah non, ça vaut les yeux de la tête.
    - Tu l'as eu à l'oeil ! (=c'est pas gratuit)
    - Eh, mon oeil ! je te crois pas
    - Quoi, t'as un conjonctivite ? c'est la galère !
    - Pleure pas, on s'en sortira !
    - Si tu continue à dépenser comme ça, je t'arrache les yeux !

    Je dois en oublier des tonnes.
    A vous de continuer maintenant !

    Zut, j'ai oublié le code pour ... je me souviens pas ! (elle est facile celle là)

    mis en ligne : 23:30

     


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  • et ça commence très fort : nous sommes le 06 juin 2006 soit le 6-6-6. Ca vous dit quelque chose ? non ? et 666 le chiffre de la Bête, du Malin ? ah, maintenant vous y êtes !

    Bien, mais à part ça, je viens de me bloquer les reins (genre lumbago) en rammassant une chaussette. Inutile de se marrer, je sais c'est stupide, mais c'est ainsi. Vous ne pouvez pas savoir combien tout devient compliqué. Le bas du frigidaire : trop bas. Les rangements en hauteur : trop haut. Virer à droite : aie ! et tourner à gauche : aie, aie ! mettre des chaussettes : un exploit qui dure plus d'une minute. Je suis vraiment coincé de chez coincé.

    S'assoir pour écrire ce commentaire : ok, mais pas plus d'un quart d'heure, sinon c'est l'ankylose. Donc debout, puis marcher avec tous les styles pour avoir le moins mal possible : à petits pas, à grands pas, chaloupé, déhanché, balancé, sur ressort, le dos droit, le dos légérement incliné. Je comprends pourquoi, dans la rue, les gens me regarde avec un air bizarre, les yeux ronds.

    J'ai rendez-vous avec mon toubib, ostéopathe. Si tout va bien je dois pouvoir courir et danser demain. Je vous tiens au courant ! si pas de nouvelle demain, ben ....ce sera pour après-demain !  ou peut-être même pour vendredi !!!  aie !

    mis en ligne à 14:57

     


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  • C'est pas très original de le dire, mais c'est le week-end ! .. et pour certains il dure trois jours. En plus le temps est meilleur.

    J'ai fait la tournée  de mes blogs préférés (toute la liste n'est pas encore sur le blog) et je constate qu'il y a un certain relachement ! (lol). Pas d'articles !
    Ca me va bien de dire ça ! Moi qui suis juste un tout jeune blog et qui a attendu des semaines, voire des mois pour me décider à écrire. J'ai intérêt à être indulgent, car à part quelques uns d'entre-nous qui écrivent tous les jours, par tous les temps et quelque soit l'humeur (bravo), je reconnais qu'on pas forcément un truc à dire quotidiennement. Ou du moins, qu'on n'a pas l'envie ou l'énergie pour le dire.

    Dans la foulée et plein d'énergie, j'ai décider de passer à l'action (pas des actions héroïques) mais des choses décidées il y a un moment : installer Skype, ranger mes tableaux, faire un peu le vide dans ma cave. Et la cave c'était avant-hier : c'est fou ce qu'on peut entasser comme bazar. Des tranches de souvenirs, d'époque, de vie. On trie, on jette, on garde ou on garde pas? on garde !  Ca veut dire qu'on retrouvera la chose en question au premier rangement.


     

    C'est ainsi que j'ai remis la main sur un antique appareil photo, bien rangé et bien protégé, qui appartenait à ma grand-mère (oui je sais, ça fait longtemps), et qui aurait pu prendre un cliché de la reine Victoria.
    D'ailleurs qui me dit que ça ne s'est pas fait ? Allez savoir...  

    Maintenant, l'antique objet est sur une étagère de la bibliothèque !

    (Nous l'appelerons "Appareil photographique du Jubilé") 

     

     Merci à tous ceux qui sont déjà venus faire un tour sur ce blog et bienvenue aux prochains visiteurs ...

    mise en ligne à : 01:54 

     


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  •  

     

    Et maintenant .... Miam ?

    On peut toujours rêver, surtout à cette heure là (il est 03:58) ! Pufff, je vais me coucher !

     


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  • ... bien appétissant !  La journée a été une journée pourrie et pourtant au début de l'après-midi, choc à la machine à café. Un mec en mission depuis des mois arrive tout frais, tout reposé... hum miam (désolé j'ai pas de photo).

    On parle cinq minutes, je le dévore des yeux (pas trop quand même), lui fait des compliments sur sa forme, bref je me laisse aller une seconde. Mais je sais qu'il repart en mission dans une heure.
    C'est fini... Pourquoi faut-il tomber sous le charme d'un hétéro ? Ca fait mal. Je repars à mon bureau un deuxième café en main, le vague à l'âme, et il pleut à nouveau.

    Bor....!  quelle journée de me....... !!!!  A part ça, vous ça va ???

     


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  • Jamais deux sans trois, donc voilà le troisième article en un seul dimanche. Mais c'est exceptionnel ! Il y a peu de chance que ça se reproduise. La balade à pied dans mon quartier fut agréable. Le soleil était au rendez-vous et les terrasses des cafés étaient pleines mais sans cohue. J'y ai même pris un café (un moka délicieux). La peau et le teint des parisiens sont encore blancs et je n'ai rien vu d'appétissant à vous faire partager.... Un autre fois, on verra.

    Maintenant je vais m'amuser, si on peut dire, à améliorer le look de ce blog. Je ne vous promets rien, mais je vais essayer (faut que je bidouille les css.!)
    Bonne semaine à tous.

     

      


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  • coquelicot

    Fin d'un long week-end. J'avais encore prévu de faire des tonnes de choses. Au final, c'est une tonne de paresse qui s'est abattue sur moi. Tiens, le soleil fait une timide apparition. Je sors ou je range mon sweet home ? Hum... je sors ... et je vous raconte après.

    Ce coquelicot pousse en haut d'un mur et a fait 1500km dans mon appareil pour se poser ici !


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  • Samedi ? Non, déjà dimanche et le jour ne se levera que dans cinq heures. Finalement, je n'ai pas pu résister au Blog. Je lis tous les jours mes blogs préférés (je donnerai la liste, promis). Je ne mets pas toujours de commentaires. Cela dépend de mon humeur. D'ailleurs ce blog, que je viens d'ouvrir, va certainement fonctionner par sauts épistolaires ! 

    Vous dirais-je que samedi j'ai vu "Volver", le petit dernier de Almodovar ? J'ai trouvé ce film superbe : il est noir et drôle, pathétique et tendre, irréel et vrai. Et les actrices sont géniales ! Ben oui, y'a pas un seul mec.
    A bientôt.

    PS1. Dimanche, c'est la fête des mères ....
    PS2. bon, je vous mets mes blogs préférés...


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