• Depuis fin juin : rapide tour d'horizon.

    Vacances, de fin juillet à la mi-août, à la campagne. Retour vers Paris pendant une journée pour revoir un cousin que je n'avais pas revu depuis 10 ans. Il faisait ce jour-là un temps exécrable, mais quelle délicieuse journée avec lui. Et retour à la campagne le lendemain, car le train du soir avait été supprimé. Sans commentaires.

    En septembre, agitation parisienne. La ville est sale, il y a de barricades de travaux partout, l'incivilité grandit, et comme on nous a collé un centre d'accueil pour sdf, nous avons droit tous les soirs à deux occupants, très alcoolisés qui braillent comme des fous de 23h à minuit. En tapant aussi sur des voitures à l'occasion. 

    Les samedis, je ne circule plus dans Paris. Les manifs étant devenus un emploi du temps régulier pour certains, je m'abstiens de toute circulation quel que soit le moyen de transport.

    Je me pose la question de savoir si je ne vais pas foutre le camp en province. Il me semble que la vie est moins chère et moins compliquée, mais rien n'est certain. Parfois, il faut aussi une voiture, sinon les déplacements sont plus difficiles.

    A mi-septembre, Lady S. et moi, nous nous sommes propulsés pour visiter les châteaux de la Loire. Quatre jours et 12 châteaux ! Ce ne fut pas un marathon, mais ce fut dense. J’essaierai de vous donner un aperçu du périple quand j'aurai mis de l'ordre dans mes photos. 

    En fait, je suis fatigué. En principe à cette époque, je file dans le sud, mais vu les problèmes grands ou petits qui m'attendent, je n'ai pas toute l'énergie pour les affronter.

    Moral : pas terrible.


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