• J'avais oublié combien cela faisait hyper mal. Se réveiller à cause d'une violente crampe du mollet et de la cuisse. La douleur est intense et dans un mouvement ultra rapide soutenu par une tonne d'adrénaline, vous bondissez du lit avec un cri de bête !

    Trop de café, pas assez d'eau et voilà le résultat.


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  • Comme chaque année, je file vers le sud. Je me ferai plus rare dans les articles mais je ne vous oublierais pas pour autant.

    A bientôt...


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  • A 1h40, j’avais sommeil donc dodo. Mais à 2h45, réveil et pas moyen de me rendormir. Un classique chez moi. J’en ai profité pour recoller une couverture de livre, faire un vague tri des papiers qui traînaient sur mon bureau, bref des tâches chiantes et que je remets toujours à plus tard. Vous savez ce truc que l’on nomme savamment la procrastination.

    Comme il est encore très tôt, je vais aller faire quelques courses. Seulement vers 9h00. Le « Carouf » d’à coté est ouvert le dimanche matin. Et ça, pas question d’attendre demain. Mon frigidaire est vide et après une nuit presque blanche, je ne peux pas rester sans avaler une pitance, aussi simple soit-elle. Fini de vivre d’amour et d’eau fraîche. J’ai l’eau mais pour le reste…


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  • Je me rends compte tout d'un coup que je note les films et les expos vus, les bouquins achetés, sans mentionner les restau ou les salons de thé ou autres bars fréquentés les jours de vadrouille. Sachez que mes sorties (film, expos bouquins, restau) - tous dans la même journée parfois - se font en compagnie de Lady S. Et nous bavardons comme des perdus en plus de tout ça !


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  • J'ai envie de me la jouer faux-cul.

    Sur mon agenda, à la date du 14 juillet, j'écris un seul mot : « Rien ».

    Cela ne vous rappelle pas quelque chose ?


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  • Il est très rare que je regarde la chaîne LCP, mais une fois n'étant pas coutume, nous avons eu droit à une histoire de l'anarchie en deux parties le 9 juillet.
    Documents historiques, inédits pour certains, ce documentaire a eu au moins le mérite de remettre certaines pendules à l'heure. Il faut dire qu'entre l'image véhiculée et la réalité, ce fut parfois un grand écart incompréhensible. Du coup on parle sans savoir ou de façon tellement parcellaire que l'histoire n'a plus aucun sens.
    Peut-être qu'il y eu ici et là des manques - je ne sais pas - mais globalement pour celui qui ne connaissait pas le sujet, ce fût un passionnant documentaire suivie d'un mini débat. Une histoire singulière qui continue de s'écrire.
    Après, libre à chacun d’approfondir le sujet.

    Résumé (in TVExpress) :
    Réalisateur : Tancrède Ramonet
    Cette fresque retrace les débats et les événements clés de l'histoire de l'anarchisme sur un siècle, de 1840 à la Seconde Guerre mondiale.
    Ce premier volet débute avec le manifeste fondateur de l'ouvrier typographe Pierre-Joseph Proudhon, qui jette les bases d'une solution anarchiste face à la terrible misère faisant rage dans les grands bassins industriels. Ainsi, en 1864, lors du Congrès de la Première Internationale des travailleurs à Londres, les anarchistes sont largement majoritaires. Cet épisode rappelle aussi que la «propagande par le fait» choisit par certains anarchistes inaugure un terrorisme international.
    Le deuxième volet se situe au sortir de la Première Guerre mondiale, dans une Europe exsangue, l'anarchisme semble avoir perdu l'essentiel de son influence. Dans cet entre-deux guerres où, très vite, les totalitarismes fascistes et soviétique se font face, il reste fort en Amérique. Puis, au printemps 1936, l'élection en Espagne d'un gouvernement de Front populaire va permettre aux anarchistes d'écrire, notamment en Catalogne, l'une des pages les plus marquantes de leur histoire, avant d'être écrasés dans la tourmente de la guerre civile.

    (Rediffusion prévue le 23/07/2017 à 1h00)


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  • Buffet dînatoire copieux et varié. Mais le plus agréable était la visite de mon cousin Fred, de loin mon cadet. Sa gentillesse, sa discrète érudition et son charme ont toujours provoqué en moi une attirance certaine. Ce fut une soirée fort agréable. Dois-je vous en dire plus ? Je ne crois pas.


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  • ciné : the last girlThe last girl

    Au fin fond de la campagne anglaise, une base militaire héberge et retient prisonniers un groupe d’enfants peu ordinaires qui, malgré le fait d’avoir été infectés par un agent pathogène « zombie » qui a décimé la planète, demeurent capables de penser et de ressentir des émotions. Lorsque la base est attaquée, Melanie, qui semble être la plus surdouée d’entre eux, réussit à s’échapper en compagnie de son professeur, de deux soldats et d’une biologiste qui ne voit en elle qu’un cobaye indispensable à la découverte d’un vaccin. Dans une Angleterre dévastée, Melanie doit découvrir qui elle est vraiment et décider ainsi de son propre sort comme celui de l’humanité tout entière.
    Film de Colm McCarthy, avec Gemma Arterton, Glenn Close, Paddy Considine.
    (in allociné.fr)


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