• J’avais enlevé, il y a plusieurs mois, un jukebox dans la colonne de gauche. Aujourd’hui je remets un lecteur « dewplayer » en html5 (1) avec une playlist composée de stations radio. Seul bémol, à moins d’avoir une solide culture classique, on n’a aucune indication sur le morceau joué. Mais je ne désespère pas de remédier à ce manque.

    Les sites concernés, si vous voulez plus d’infos :

    https://www.radioclassique.fr/ → Radio Classique (fr)

    http://www.classicfm.com/ → Classic FM London (uk)

    http://www.radio.rai.it/radiofd5/ RAI FD5 Rome (it)

    http://www.mdr.de/mdr-klassik/index.htmlMDR KLASSIK Livestream Halle (de)

    Les liens des radios sont sur le site European radio stations streaming live on the internet

    (Les liens s'ouvrent dans une nouvelle fenêtre)

    (1) Edit du 29 mai 2017


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  • Dans un post précédent, j’ai oublié de vous parler de la première naissance de Vénus. Celle qui eu lieu à Florence, vers 1485, sous le pinceau de Botticelli.

    Depuis cette 1ère renaissance italienne, cette œuvre a inspiré directement ou très indirectement (voire par ricochet) un bon nombre d’artistes.

    1485, Botticelli et années 2000, Ross Watson. C’est le grand écart sur presque 6 siècles et ce n’est pas fini !

    Vénus
    Sandro Botticelli, La naissance de Vénus, Florence vers 1485 (Italie)


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  • La Symphonie Fantastique, 2ème Mouvement, Hector Berlioz

    (https://archive.org/details/BerliozSymphonyFantastique/02_symphonyFantastique_m2.mp3)


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  • La peinture dite « académique » fut glorifiée très officiellement et si fortement au XIXème siècle que les œuvres d’avant-gardes qui tentaient d’entrer dans les Salons officiels essuyaient refus, exclusion, critiques acerbes, etc. C’est ainsi que naquit le Salon des Refusés où furent accrochés les œuvres picturales des Manet, Pissaro, Harpignies, Fantin-Latour, Whistler, Jongkind.

    Le Salon des refusés s'ouvre à Paris le 15 mai 1863 en marge du Salon officiel et expose, dans douze salles annexes du Palais de l'Industrie, 1 200 œuvres d'artistes, à l'initiative de Napoléon III lui-même, qui jugeait le jury officiel trop sévère, ce dernier ayant refusé 3 000 œuvres sur les 5 000 qui lui furent présentées.

    Ce Salon est l'une des illustrations de l'émergence, dans la seconde moitié du XIXe siècle, d'une modernité en peinture, en opposition avec le goût officiel.
    (in Wikipédia)

    Passons cette période « académique » et venons-en à la fin du XXème et début du XXIème. Cette peinture qui fut jugée figée, trop léchée, trop portée vers des mythes, vers le présent idéal et le passé glorieux, ne fut pas ignorée par les artistes modernes. On redécouvre la technique, les sujets traités et l’on se prend à des détournements ou à des ré-interprétations.

    Il en est ainsi de William Bourguereau (1825-1905) qui peignit en 1879 « Naissance de Vénus » et dont Ross Watson, artiste actuel australien né en 1962, en refit une relecture jubilatoire au masculin.

    Voici les deux œuvres en question :

    (cliquer sur les vignettes pour le grand format)

    naissance de Vénus _ naissance de Vénus revisitée

    William Bourguereau (in wikipedia), puis aujourd'hui par Ross Watson


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  • bomec


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  • Quoi de plus simple que de partir les mains dans les poches pour voir une expo ?

    Rendez-vous avec Lady S. pour l’expo à la Fondation Louis Vitton. Le bâtiment est surprenant. Une forme désarticulée et composé de panneaux de toutes les couleurs. Un superbe plan d’eau en cascade à l’avant du bâtiment.

    Puis en allant vers l’entrée, il est 12h30, un méga file d’attente. Estimation 2h ou 2h30 en allure tortue… La file billets internet était vide… Quand je vous dis que les mains dans les poches et le nez au vent ne valent rien.

    Donc demi-tour et direction le Burger-K. Nous avions faim mais on prends toujours trop de chose et on mange trop vite. Nous étions plombés, tel des boas digérant une chèvre.

    Pas de balade malgré un temps ensoleillé. Est-ce le fait de n’être pas sorti pendant trois semaines, car j’avais l’impression d’avoir des cailloux dans les chaussures et du sable dans les articulations.

    Retour vers 16h à la maison, où je me suis écroulé comme un vieux sac. J’ai dormi plus d’une heure ! Je sens qu’il me faut encore quelques vitamines…

    Et pour l’expo ? C’est reporté dans 15 jours et avec des billets coupe-file cette fois ci.


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  • Cette année, je n’ai pas pu y échapper. J’ai réussi à choper une gastro pour la première fois de ma vie, suivie d’une pseudo angine en toussant comme un damné. Heureusement que j’étais en plein milieu de ma cure de vitamines, sinon je n’aurais pas survécu. Après trois semaines sans sortir, en mode marmotte malade, j’ai repris un peu du poil de la bête.

    Ma forme s’améliore et l’énergie revient. Ma libido aussi. J’ai une fringale de mec pas possible. Mais il va falloir que j’arrête de porter deux de mes tee-shirts. Depuis les dernières lessives, ils sont d’un douceur impudique. Surtout au niveau des tétons. Ça me colle des frémissements orgasmiques au moment où je m’y attends le moins. C’est dingue, cela faisait hyper longtemps que je n’avais pas connu cela. A part ça, rien de spécial.

    Comme vous avez attendu longtemps, je vous montre ce charmant jeune homme.

     

    bomec


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