• bomec


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  • Après deux jours à plus de 32°C, des vents se sont levés, le ciel est devenu menaçant, puis éclairs et tonnerre ont précédé une pluie abondante et continue.

    Il est 23h00 et la température est de 20°C. Une fraicheur s'installe pour la nuit. Le sommeil sera plus facile. Demain au lever du soleil, tous les parfums de la campagne rempliront l'atmosphère. Et là, une tasse de café noir dans la main, je pourrai savourer pleinement cet instant !

    Si le scénario n'est pas celui-là, vous aurez la version corrigée.


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  •  

    mec


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  • Même pas peur ! Ce matin vers 9h, deux marcassins se baladaient dans le bas du jardin. Ils ont dû faire un passage à l'endroit où les jardins de mes voisins touchent le mien. Quand je dis « même pas peur », je veux parler des bestiaux, cherchant de la bouffe en plein jour. Mais quand je me suis pointé en m'agitant, ils ont pris peur et se sont de nouveau sauvés.
    J'ai repéré leur passage : un trou dans un magma de vieux grillages et de ronces, une pente de 45° mini et 2m50 de dénivelé ! Rien ne les arrête.

    En route pour dégager le bazar et mettre un obstacle efficace. La journée commence fort.


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  • J'ai à nouveau une liaison vers le net ! Ce qui veut dire que je peux vous écrire sans problème. En fait si j'ai le temps et si j'en ai envie. Je deviens capricieux.

    Il a fait encore 32°C et j'ai quand même eu le courage de finir les confitures de prunes jaunes sauvages. Fini. Plus de prunes. Du moins de cette variété. Les Reines-Claudes arrivent à maturité très doucement et là ! Tadaaaa ! Mais vu la faible quantité, je n'aurai pas à passer mon temps à cuire. Vous pensez que ça sera fini après ça ? Vous plaisantez. Il va y avoir les figues, puis les poires, puis ma fatigue et ma paresse. Donc je risque de laisser tomber épluchage et confitures.


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