• Le loup de Wall Street. L’argent. Le pouvoir. Les femmes. La drogue. Les tentations étaient là, à portée de main, et les autorités n’avaient aucune prise. Aux yeux de Jordan et de sa meute, la modestie était devenue complètement inutile. Trop n’était jamais assez…

    Réalisé par Martin Scorsese avec Leonardo DiCaprio, Jonah Hill, Margot Robbie. (in allociné)

     

    Plutôt que de plagier, je préfère partager cette critique …. Je deviens fainéant...

    Critique de Le Loup de Wall Street - par traversay1 - note : 4.5 - Excellent

    A 71 ans, Martin Scorsese, qui n'a plus rien à prouver (si ce n'est à lui-même ?), aurait pu signer un film tranquille et gentil comme son Hugo Cabret. Moyennant quoi, avec Le loup de Wall Street, le voici qui se lâche totalement, outrepasse les limites du bon goût et réalise une véritable bombe cinématographique qui ferait passer Tarantino ou Oliver Stone pour des auteurs de bluettes. Énorme, excessif, démesuré, extravagant, ce portrait d'un courtier en bourse qui ne vit que pour l'argent, la drogue et les femmes. A côté, les gangsters des Affranchis ont presque l'air de garçons en culottes courtes. Cynisme et cupidité à tous les étages, Scorsese se délecte des dérives outrancières et scandaleuses de son "héros" sans morale, si ce n'est celle du plaisir. Il y a dans Le loup de Wall Street une bonne demi-douzaine de scènes d'anthologie dont la mise en scène épouse les contours avec une virtuosité sidérante. Dans cette symphonie fantastique, Leonardo DiCaprio repousse lui aussi ses limites. Il est gigantesque, mêmes ceux qui ont toujours émis des doutes sur son talent ne pourront qu'en convenir. De très bons seconds rôles le secondent, la plupart 'inconnus au bataillon excepté Matthew McConaughey, dévastateur, et notre Jean Dujardin, hilarant. Scorsese a remis les pendules à l'heure : le plus grand metteur en scène américain vivant, c'est bien lui. (28-12-2013)


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  • Samedi, virée express à l'expo du Musée d'Orsay « Masculin/Masculin ».

    Beaucoup de monde d'autant que c'étaient les prolongations. Donc pas beaucoup de place pour circuler ou pour regarder à bonne distance les œuvres présentées. Ce fut néanmoins intéressant. Comme je le dis toujours, entre regarder une œuvre en reproduction – si fidèle soit-elle – et un original, y'a pas photo. Peintures, sculptures, dessins et photos venaient des quatre coins du monde. Et c'était la grande force de cette expo. J'ai acheté le catalogue (un pavé exhaustif).

    Présentation (sur le site du musée):

    Alors que le nu féminin s'expose aussi régulièrement que naturellement, le corps masculin n'a pas eu la même faveur. Qu'aucune exposition ne se soit donné pour objet de remettre en perspective la représentation de l'homme nu sur une longue période de l'histoire avant le Leopold Museum de Vienne à l'automne 2012 est plus que significatif. Pourtant, la nudité masculine était pendant longtemps au fondement de la formation académique du XVIIe au XIXe siècles et constitue une ligne de force de la création en Occident.

    S'appuyant sur la richesse de son propre fonds (quelques sculptures inconnues) et des collections publiques françaises, le musée d'Orsay se donne donc comme ambition avec l'exposition Masculin / Masculin d'approfondir, dans une logique à la fois interprétative, ludique, sociologique et philosophique toutes les dimensions et significations de la nudité masculine en art.

    Parce que le XIXe siècle puise au classicisme du XVIIIe siècle et que son écho résonne jusqu'à nos jours, cette exposition élargit l'horizon traditionnel du musée d'Orsay pour embrasser plus deux siècles de création, dans toutes les techniques, peinture, sculpture, art graphique et bien sûr photographie, qui auront une place égale dans le parcours.


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  • Ben, oui. Les rois ça se fête. En plus de la galette on peut toujours tremper ses lèvres dans un peu de champagne. Ça ne gâche rien. Et puis il y a l'espoir de sentir en bouche un objet ferme qui (vicieux...) n'est autre que la fève. Ainsi vous êtes consacré "Roi" et vous devez choisir votre roi. Pardon votre reine. Enfin, qui vous voulez. Cela dépend aussi de ceux qui vous entoure.  

     


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  • Une année qui commence... Tous mes vœux ! En fait, je m'en fous. J'en ai un peu marre de répéter tous les ans les mêmes conneries. Faites ce que vous voulez de votre année car ceux ne sont pas mes vœux qui vous aideront. Vous seul décidez que cette année et les suivantes d'ailleurs, soient bonnes ou pas. Et ne me parlez pas des listes à la con des bonnes résolutions, alibis stériles de notre conscience . Maintenant que mon pessimisme fielleux est passé, passons à autre chose.

     

    mec (http://hotfitguys.tumblr.com/post/72115418461).


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