• Une petite carte postale de mes vacances …. C'est le dernier jour et demain c'est déjà septembre.

    (je mets pas de légende, je pense que c'est inutile.)

    toureffeil

    mise en ligne 23:50


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  • Je me suis réveillé encore dans nuit. Puis la nuit est devenue plus claire et le temps de frapper mon réveil (et oui, je le frappe au hasard pour choper le bouton d'arrêt de la sonnerie), le jour était déjà là. Mon humeur était sereine malgré un point douloureux sur le crane. Un petit Nescapsules et le tour était joué.

    Arrivée au bureau dans le cirage habituel, mais serein. Je ne sais plus ce que j'ai fait très exactement tant les tâches étaient morcelées, mais tout le petit monde était présent sans stress ni crispations pendant plus de huit heures. Fait rare qu'il faut souligner.

    Ce fut une bonne journée …
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    rothko8 (Mark Rothko)

    mise en ligne 20:00
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  • Ils sont rentrés. Paris s'est rempli de ses habitants. Monop et les autres magasins étaient blindés. J'ai mis un temps fou samedi pour faire trois courses. J'étais comme un zombie. C'était peut-être la conséquence de la semaine morbide qui vient de s 'écouler. Un connard a grillé un rouge alors que je traversais et j'ai eu la trouille de ma vie. J'ai fait deux rêves de mort. J'ouvre la télé et je tombe (sans jeu de mot) sur un film de cimetière. Au bureau, une discussion à laquelle je ne participe pas, s'ouvre sur pompes funèbres et incinération. J'ai l'impression de flirter avec un karma de mort. Ça donne un impression bizarre.

    Et l'après-midi, avec ce temps couvert, n'engendre pas la joie. Je crois que je vais me mettre au lit dès que le soleil sera couché...

    mise en ligne 18:25


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  • Anniv' de ma frangine. Elle a eu droit à son sms à 7h30 du matin. Elle était ravie. J'étais le premier et pour cause, elle est en vacances. L'heure du lever n'est pas la même que la mienne.

    Je sens une petite baisse de tonus. Ce temps variable et mes nuits en pointillés pompent puisent dans mes réserves (je raye le verbe pomper qui pourrai donner à penser que...bref).

    Je suis arrivé au bureau à 9h et en suis reparti à 16h30 avec Mister Lô. Oui je sais, ça fait une petite journée. Mais pour 2 coups de téléphone, 3 pauses café et 2 courriers, ça valait pas plus.

    J'ai plongé dans un quatrième livre en rentrant : « Les arpenteurs du monde » de Daniel Kehlmann et Juliette Aubert.

    J'ai toujours pas décidé quelle machine à laver j'achète. Du coup je me dis que si je modifie toute la cuisine, je peux acheter aussi un lave-vaisselle. Je suis en peu indécis. J'ai toujours pas changé mon cumulus...

    En fait, je crois que je n'ai aucune envie de bricoler. Ça me gonfle à l'extrême. Si quelqu'un connait un magicien ou veut bien s'occuper de tout ce bazar, je pars en vacances pour laisser le champ libre. Pas d'amateur ? Dommage j'avais une surprise. Tant pis.

    mise en ligne 19:05


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  • Petit tour au cinéma samedi. Vu l'Apprenti Sorcier. Inutile de vous précipiter. Quelques bonnes trouvailles, un clin d’œil à des films connus, de bons acteurs, mais ça reste un film pour enfant. Et comme je ne suis plus tout à fait un enfant….

    apprentiSorcier

    Synopsis : Balthazar Blake est un grand sorcier vivant de nos jours à Manhattan. Il tente de défendre la ville contre son ennemi juré, Maxim Horvath. Balthazar ne pouvant y arriver seul, il engage alors - un peu malgré lui - Dave Stutler, un garçon apparemment ordinaire qui a pourtant un vrai potentiel, pour devenir son apprenti. Le sorcier donne à son apprenti réticent un cours express sur l’art et la science de la magie, et ensemble, ces deux associés improbables vont tenter de stopper les forces des ténèbres. Il faudra à Dave tout son courage, et même davantage, pour survivre à sa formation, sauver la ville et embrasser la fille qu’il aime…

    Réalisé par Jon Turteltaub avec Nicolas Cage, Jay Baruchel, Teresa Palmer, Toby Kebbell, Monica Bellucci, Alfred Molina, Omar Benson Miller, Jake Cherry, Robert Capron, Peyton List, Alice Krige, James A. Stephens, Sean Patrick Reilly.

    Ballade dans Paris, crochet pour voir les modèles de machines à laver et retour cool at home.

    mise en ligne 22:50


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  • Reçu un coup de téléphone de Mister Lô du bureau. Il avait envie de déconner et quand je lui ai dit que j'avais l'intention de lui envoyer un sms en sortant de ma douche, il a sauté sur l'occasion pour me dire que je pensais à lui sous la douche. Que nenni. Mais la prochaine fois j'y penserai ...

     

    machineLaverMa machine à laver a eu coup de chaud au sens littéral. Je me suis dis que trois lessives en enfilade dimanche dernier, c'était peut-être un peu beaucoup. J'ai donc attendu aujourd'hui et j'ai remis en route. Rien à faire : le programmateur avance d'un cran toutes les secondes et l'eau est en chauffe en lavage, rinçage, bref en permanence. Cette machine et moi étions maqués depuis 7 ans et je crois que c'est bien la fin de notre union ! Va falloir choisir une autre machine et pas dans vingt ans, mais tout de suite dans les jours qui viennent.

     

    pecheVigne

    Petites courses et bien sûr, des pêches de vignes. Il faut que je les laissent mûrir un jour ou deux.

     

    mise en ligne 17:15


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  • (Suite du post précédent)

    InvisibleFinalement il m'aura fallu à peine 3 jours dans les transports pour lire les 290 pages de « Invisible » de Paul Auster.

    Ce n'est pas uniquement la maîtresse du mécène qui est « sulfureuse » comme le présente l'éditeur, c'est ce roman. On a l'impression que sur la voie de la complexité relationnelle, du sexe et de la mort, tous les coups tordus sont permis ou presque.

    Les personnages qui évoluent sous nos yeux sont en noir et blanc, coté clair et coté obscur. Et cela fait une sacrée histoire, patiemment et inexorablement poussée vers des destins mortels. La mort du corps, de l'âme, de l'amour. Il n'y a aucune rédemption possible. Au moment où la cible semble à portée de soi, elle a déjà disparue. Tout se croise et s'entrecroise dans un temps discontinu mais ne désarme pas le lecteur et l'incite à aller à pas forcés au bout de l'histoire.

    Demain je prends un jour de repos. J'ai tellement de choses à faire et c'est si calme au boulot...

    mise en ligne 23:55


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  • Doit-on en laVieEnSourdine core présenter David Lodge ? Certes pas. Il écrit depuis des dizaines d'année et ses livres sont toujours attendus avec impatience. Son roman « La vie en sourdine » (2008/2010) est peut-être le plus autobiographique. David Lodge qui a 75 ans, dépeint un homme, du même âge, avec sa surdité, ses faiblesses  sexuelles, ses irritations familiales, la mort de son père, sa liaison extra-conjugale sulfureuse non consommée et tous les riens de la vie. C'est la lecture au jour le jour de son journal intime. Les choses sont dites simplement et crûment sans fard ni habillage de style. Il faut donner une mention particulière à son couple de traducteur qui travaille avec lui depuis si longtemps.

    Lancez-vous, vous avalerez les 460 pages de son roman sans indigestion !

    Présentation de l'éditeur

    Desmond a des problèmes d'ouïe. Et d'ennui. Professeur de linguistique fraîchement retraité, il consacre son ordinaire à la lecture du Guardian, aux activités culturo-mondaines de son épouse, dont la boutique de décoration est devenue la coqueluche de la ville, et à son père de plus en plus isolé, là-bas, dans son petit pavillon londonien. Lors d'un vernissage, alors que Desmond ne comprend pas un traître mot de ce qu'on lui dit et répond au petit bonheur la chance, une étudiante venue d'outre-Atlantique lance sur lui ce qui ressemble très vite à une OPA. Pourquoi Desmond ne l'aiderait-il pas à rédiger sa thèse ? Le professeur hésite. Pendant ce temps, son père, martial, continue à vouloir vivre à sa guise, et son épouse à programmer d'étonnants loisirs... Comique, tragique, merveilleusement autobiographique, le nouveau roman de David Lodge s'inscrit dans le droit fil de Thérapie.


     

    etSiCetaitVrai Marc Lévy. Dix romans. Un auteur traduit dans le monde entier et adapté au cinéma. Mais je n'avais rien lu de lui. Je ne me sentais pas du tout attiré ni par le personnage, ni par ses romans. Pourquoi ? Je n'en sais strictement rien. Et ce n'est pas ici que je vais tenter de comprendre la chose.

    Je me suis lancé à prendre son dernier roman « Et si c'était vrai... » paru en décembre 2009. Je me suis dit que 250 pages, c'était suffisant et que cela meublerai quelques trajets maison-bureau. Mon sentiment ? Agréable à lire, idée originale, bien écrit, mais je ne suis pas sûr de lire un autre roman de cet auteur. Nous verrons plus tard.

    Je vous laisse juge.

    Amazon.fr présente :

    Lauren est dans le coma, c'est indéniable. Mais elle est aussi dans le placard d'Arthur, un peu comme un fantôme, cela est tout aussi indéniable... Arthur, en tout cas, est bien obligé de l'admettre : il la voit, l'entend, la comprend et finit même par l'aimer. Mais que peut-on espérer d'un fantôme que l'on est le seul à distinguer ? On ne tombe pas amoureux d'un mirage, on ne force pas son meilleur ami à dérober une ambulance pour kidnapper un corps dans le coma, on ne ment pas à la police pour sauver une ombre, et pourtant...

    Marc Lévy signe ici un premier roman particulièrement grisant, qui s'amuse du lecteur et de ses certitudes, toujours avec légèreté : comme Arthur, on se laisse prendre au jeu de Lauren, et comme lui, on finit par se dire, entre deux rebondissements : Et si c'était vrai....

    Phénoménal succès de librairie dès sa sortie, ce roman trouvera bientôt une consécration sur grand écran puisque Steven Spielberg a décidé de porter cette invraisemblable histoire à l'écran. --Karla Manuele --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.

    Présentation de l'éditeur

    Que penser d'une femme qui choisit le placard de votre salle de bains pour y passer ses journées ? qui s'étonne que vous puissiez la voir? qui disparaît et reparaît à sa guise et qui prétend être plongée dans un profond coma à l'autre bout de la ville? Faut-il lui faire consulter un psychiatre ? en consulter un soi-même? ou tout contraire, se laisser emporter par cette extravagante aventure. Et si c'était vrai ?... Une histoire tendre, une aventure plein d'humour et de rebondissements.


     

    Invisible Le presque troisième livre n'est pas encore lu : ce sera « Invisible » de Paul Auster (sortie mars2010)

    Présentation de l'éditeur :

    New York, 1967: un jeune aspirant poète rencontre un énigmatique mécène français et sa sulfureuse maîtresse. Un meurtre scelle bientôt, de New York à Paris, cette communauté de destins placés sous le double signe du désir charnel et de la quête éperdue de justice. Superbe variation sur "l'ère du soupçon", Invisible explore, sur plus de trois décennies, les méandres psychiques de protagonistes immergés dans des relations complexes et tourmentées. Le vertigineux kaléidoscope du roman met en perspective changeante les séductions multiformes d'un récit dont le motif central ne cesse de se déplacer. On se délecte des tribulations du jeune Américain naïf et idéaliste confronté au secret et aux interdits, tout autant qu'on admire l'exercice de haute voltige qu'accomplit ce très singulier roman de formation. Au sommet de son art narratif, Paul Auster interroge les ressorts mêmes de la fiction, au fil d'une fascinante réflexion sur le thème de la disparition et de la fuite.

     

    mise en ligne 21:30


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  • Lieu : près de la photocopieuse (endroit stratégique, parfois plein de monde)

    Spectateurs : 2 stagiaires et nous

    Mister Lô : Hum, tu sens bon

    Moi : … ben, ouais …

    Mister Lô se penche vers mon cou pour mieux sentir : Tu mets quoi ?

    Moi : Diorhomme'sport

    Mister Lô renifle cette fois ci mon avant-bras : hum, c'est super bon !

    Moi : Tu sens très bon toi aussi, lui dis-je en reniflant son avant-bras.

    Les deux stagiaires nous regardaient, un peu désemparées. Deux mecs qui se reniflent... Heureusement qu'elles n'ont pas dit un truc du genre : vous n'allez pas faire comme les chiens … Les connaissant, elles se lâchent grave parfois.

     

    mise en ligne 23:55
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  • Hier soir, impossible de fermer l’œil. Mon esprit en prise avec des problématiques perso tournait à plein régime et je me suis endormi à 2h30 du mat.

    Je broyais du noir et pour illustrer mon état seul un tableau de Soulages pouvait être le reflet de mon état.

    artwork pierre-soulages1  

     

    Pas terrible mais assez significatif.

     

    Et puis ce matin, j’étais mieux. Je suis arrivé à l’heure au bureau. Et j’ai pensé à Hundertwasser.

     

    hundertwasser IslandofLostDesire1975

     

    Ah, c’est plus sympa.

    mise en ligne 18:30
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  • Il est des jours où la journée se déroule en pilotage automatique ou presque. Puis soudain vous émergez et vous vous occupez d'une chose qui vous est étrangère en temps normal.

    J'avais presque fini ma petite bouteille d'eau et ne voulant pas jeter le peu qui restait, je me suis dit que les plantes du bureau avaient soif. Sur les meubles bas, trônent les plantes vertes et parmi elles il y en a une très colorée qui donne de la couleur à l'ensemble. Vu sa beauté fragile je me précipite vers elle tout en discutant avec un collègue. Il me voit arroser doucement et commence à se marrer : « hé, pas trop d'eau, ça risque de la faire pousser trop vite ! ». Et à ce moment je découvre - l'air ahuri - que j'arrose un plante artificielle ! A l'avenir, je continuerai à comater en ignorant la verdure des bureaux. Mon collègue m'observait, mort de rire.

    fleurburartif1


    mise en ligne 19:20
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  •  

    petitsmeurtresalanglaise1 « Petits meurtres à l'Anglaise »

    (Titre original : Wild Target)

     

    Synopsis : Victor Maynard , un assassin vieux et solitaire, vit pour satisfaire sa formidable mère Louisa. Sa routine professionnelle est interrompue quand il se trouve attiré par l'une de ses prochaines victimes, Rose. Il épargne sa vie et obtient inopinément un jeune apprenti dans le processus, Tony.

    Réalisé par Jonathan Lynn avec Bill Nighy, Rupert Grint, Emily Blunt, Rupert Everett, Eileen Atkins, Martin Freeman, Gregor Fisher, James O'Donnell, Geoff Bell, Graham Seed.

     

    Sympathique, des moments drôles et inattendus; un divertissement sans plus. A voir si nous voulez vous détendre et que le temps est humide …

    mise en ligne 15:00
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  • (no comment)

    love-is-in-the-air

    mise en ligne 17:30
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  • Hummm, j'ai bien envie de goûter cette pizza ...

     

    naked pizza guy costume

    mise en ligne 17:22
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  • Décision il y a 24 h de fêter l’anniversaire de deux collègues. Cela faisait très longtemps que nous n’avions pas organisé ce genre de festivité à l’heure du déjeuner. Hier soir je me suis propulsé chez Nico*and Co pour acheter deux bouteilles de campagne champagne et comme je ne bois que de la Veuve Cliq*, le choix était facile. Du coup j’ai téléphoné à Mister Lô pour qu’il achète le même breuvage. Les autres collègues invités ayant à charge de compléter le tableau alcoolique plus celui des amuse-gueules (cidre, crémant, poiré et champagne rosé).

    Retrouvailles à 11h45 autour de la table de réunion du CE (pas prévu pour ça) et là en devisant du DAF jusqu’à moi qui ne fait pas partie de cette direction, nous avons bu avec application et sérieux en dévorant des trucs apéritifs, du saucisson, du pâté en croute et des apéricub*.

    Conversations et plaisanteries y sont allées bon train avec son lot de sous entendus et de plaisanteries semi-gays menées par Mister Lô et rattrapées par les autres. Pas farouches les hétéros quand c’est de l’allusif au 2ème ou 3ème degré et qu'ils ne trempent pas - si je puis dire - dans nos affaires.

    Mais avoir devant le nez 8 ou 9 bouteilles pour 12 personnes et les écluser sans effort apparent laissent des traces. Trop tard pour manger quelque chose à la cantine. Après les cafés nescapsules, il était temps de remonter pour bosser un temps soit peu…surtout qu’il était déjà 14h passé !

    Ils sont calmes et pas très vivaces, mais ils finiront la journée sans speed, cool et rêveur pour certains.

    Demain relâche. Je reste à la maison. J’ai une journée pour essayer de dépatouiller un problème de résiliation d’assurance. Ça c’est pas cool.

    mise en ligne 14:50


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  • Cela faisait un moment que je n'avais mis les pieds au ciné. Quand je dis un moment c'est 1 mois et encore.

    Vu samedi dernier : Inception. Le sujet du film m'attirait mais la bande annonce ne m'avais pas emballé plus que ça. Il faut dire que les effets spéciaux spectaculaires, je m'en méfie. Parfois le meilleur est concentré dans la bande annonce et finalement le film que vous voyez a perdu une certaine saveur. Là ça n'a pas été le cas.

    inception1 Synopsis : Dom Cobb est un voleur expérimenté – le meilleur qui soit dans l’art périlleux de l’extraction : sa spécialité consiste à s’approprier les secrets les plus précieux d’un individu, enfouis au plus profond de son subconscient, pendant qu’il rêve et que son esprit est particulièrement vulnérable. Très recherché pour ses talents dans l’univers trouble de l’espionnage industriel, Cobb est aussi devenu un fugitif traqué dans le monde entier qui a perdu tout ce qui lui est cher. Mais une ultime mission pourrait lui permettre de retrouver sa vie d’avant – à condition qu’il puisse accomplir l’impossible : l’inception. Au lieu de subtiliser un rêve, Cobb et son équipe doivent faire l’inverse : implanter une idée dans l’esprit d’un individu. S’ils y parviennent, il pourrait s’agir du crime parfait. Et pourtant, aussi méthodiques et doués soient-ils, rien n’aurait pu préparer Cobb et ses partenaires à un ennemi redoutable qui semble avoir systématiquement un coup d’avance sur eux. Un ennemi dont seul Cobb aurait pu soupçonner l’existence.

    Réalisé par Christopher Nolan avec Leonardo DiCaprio, Marion Cotillard, Ellen Page, Cillian Murphy, Michael Caine, Joseph Gordon-Levitt , Ken Watanabe, Tom Hardy, Tom Berenger. (extrait in allociné)

     Malgré un début un peu lent – mais peut-être nécessaire pour mieux comprendre la suite – on plonge pour 2h30 dans des actions emboitées dans les rêves des protagonistes. Mais est-ce vraiment un rêve ? Et la réalité ? Jusqu’où nos perceptions nous conduisent-elle ? Comment fonctionne notre cerveau et notre corps qui l’héberge ? Autant de problématiques soulevées.

    C’est un bon film, bien joué et bien réalisé. J’ai aimé. A vous de voir.

    mise en ligne 15:20


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