• A la place du choupinou, j'ai choisi pour vous un arbre de Noël,
    ce qui n'est pas très original.

    Grosses bises ...

    (et je vous épargne la musique !)

    mis en ligne avec le Père Noël, dans la nuit noire, on n'y voyait rien du tout !


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  • L'événement a eu lieu pendant mon sommeil ... un rêve ? Pas du tout, le compteur a passé le barre des 10 000 visiteurs. Mes stats que je ne regarde que de temps à autre, indique 10 065 visiteurs uniques depuis la création du blog le 29 mai 2006 !

    Merci et bisous à tout le monde !

    Et dire que je roupillais comme un sonneur. Lui aussi d'ailleurs ... Pfff, on ne peut compter sur personne !
    (d'ailleurs pourquoi il est là, lui ?)

     mis en ligne ... après l'heure !


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  • Déjà-vu (n.m. inv.) : impression intense d'avoir déjà vécu la situation actuelle dans le passé, avec la même tonalité affective.

    Beaucoup ont déjà ressenti une sensation de "déjà-vu", ce flash si particulier qui vous donne l'impression d'avoir déjà vécu une situation. Mais qu'en serait-il si ces flashs étaient des avertissements du passé ou des indices sur votre avenir.

    Le thème du déjà-vu avec tout que cela implique et toutes les questions qui vont avec, est un thème revisité régulièrement dans les séries TV.
     
    En revanche, ici, il s’agit d’un long métrage servi par Denzel Washington, omniprésent. Sur 2h10 de projection, quelques longueurs sont évidentes, mais globalement, le rythme reste soutenu.

    Nouvelle-Orléans : une bombe explose sur un ferry et fait plus de 500 victimes. Mais parmi toutes celles éparpillées sur la rive on découvre plus loin une victime, morte peu avant l’explosion. C’est de cette victime dont Doug va s’occuper et où il va porter tous ces efforts dans l’enquête.
    Doug est enrôlé au sein d'une nouvelle cellule du FBI ayant accès à un appareil gouvernemental top secret permettant d'ouvrir une "fenêtre sur le temps", et ainsi de retrouver les preuves nécessaires à l'arrestation d'importants criminels. Cette fenêtre permet d'observer des événements dans le passé s'étant déroulés quatre jours, six heures et quelques minutes auparavant... pas une de plus, pas une de moins.
    Car celui qui a manigancé cet attentat a d’abord préparé minutieusement son action pour ne pas laisser de trace…Enlever cette femme, la tuer et voler sa voiture pour en faire un bombe flottante sur le ferry. Comment remonter le fil de l’histoire pour comprendre qui, comment et pourquoi, il y a eu cette catastrophe ?

    L’invention utilisée par le FBI est plus qu’une fenêtre. Et Doug sera l’apprenti-sorcier qui modifiera un élément. Cela sera-t-il suffisant ?

    Est-ce que vous pouvez changer un élément du passé pour modifier la suite de l’histoire ? Mais êtes-vous certain que tout se passera comme prévu ? Pouvez-vous toujours éviter un certain nombre d’action. Le cours du temps n’a-t-il pas tendance à revenir dans sont lit ?
    Et le déjà-vu ?, me dirait vous. Le « déjà-vu » sera au rendez-vous à la dernière image du film dans les sourires de Doug (Denzel Washington) et de Claire (Paula Patton) !

    Et vous, le déjà-vu ?  Avez-vous déjà été le témoin de cette sensation ?

    Et si vous pouviez revenir en arrière, le feriez-vous ? Jusqu'où ? Comment vous referiez votre vie ? Autant de questions que nous avons évoquées, Lady S et moi, devant une tasse de thé après la sortie du cinéma... 

    Réalisé par Tony Scott, avec Denzel Washington, Jim Caviezel, Paula Patton
    Film américain. Genre : Policier, Fantastique
    Durée : 2h 10min. Année de production : 2005
    Titre original : Deja Vu

    Site officiel : 
    http://www.bvimovies.com/fr/deja_vu/

    Autres sites :
    http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=60723.html
    http://www.cinemovies.fr/fiche_film.php?IDfilm=5151

    mis en ligne 11:10 + 17:25


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  • Piensa en mi, Luz Casal

    Il fallait bien que mon eau de toilette matinale ne soit plus et que j'en change. Moins vive et moins verte que la précédente, j'ai opté pour cette eau de toilette alerte et plus ronde. Un vrai plaisir redécouvert ... comme cette musique qui se mélange bien avec cette fragrance que je porterai tout l'hiver...

     

     

     

     

     

    mis en ligne 01:35


    11 commentaires
  • Quand il aura fini de se regarder le nombril, on pourra peut-être passer à autre chose, non ?

    mis en ligne 22:55


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  • Il aurait pu me téléphoner ou m'envoyer un email. Et bien non, il n'a rien fait. Je le hais (heu..., je l'adore). Donc je me suis envoyé une carte postale, na. (Ouh la la, il est pas frais Pouxi !)

    Et voilà le résultat. Ça lui ressemble beaucoup pour la couleur des yeux et des cheveux. Pour le reste c'est très approximatif, mais pour la silhouette de loin, ça le fait. Quant au texte, j'ai lu dans ses pensées. Bon, je peux me tromper, on verra bien...

    mis en ligne 12:30

     

     

       

     

     

       

     

     

     

     

     


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  • Aucun lien entre le mots du titre de ce billet "livres... anniv... et Tom"

    Samedi, j’ai pas pu résister. Direction la librairie le Divan et je suis ressorti avec cinq livres. Dans le style des compilations soit disant inutiles, B. Schott a lancé la mode.

    Nous avons deux autres bouquins : Miscellanées de France et de Navarre écrits par Delphine et Claire Gaston (respectivement journaliste et ancienne prof de lettres). Le coup de Chiflet par par Jean-Loup Chiflet aux éditions Chiflet & Cie !
    Pas résisté non plus à la gourmandise : l’histoire de la Vache qui rit et les recettes qui vont avec. (pas prêt de perdre des kilos avec ça)

     

     

     

     

     

     

     

     

    J’ai bien sûr acheté le livre de Ron l’infirmier, et donc double lecture le bouquin et son blog !

      

     

     

     

     

     

     

     

    Et pour finir un petit opuscule de 90 pages : Manuel de campagne électorale suivi de l’art de gouverner une province ... Auteurs Quintus Cicéron et Marcus Cicéron de la Rome Antique. Ca ne nous rajeuni pas mais il est curieux, même si ce n’est pas rassurant, de constater que certaines pratiques ont 2000 ans !

     

     

     

     

     

     

     

     

    Et samedi soir, invitation à un anniversaire en petit comité. Je suis quand même rentré à 3h du mat.

    Dimanche, grosse fatigue.
    Un mail de Tom qui reporte notre rendez-vous au mois de janvier (c’était novembre, puis fin novembre puis début décembre...). Il nous joue quoi le chéri. C’est encore une de ces valses-hésitations dont il a le secret et qu’il maîtrise parfaitement. Je me demande s’il faut vraiment se voir pour discuter de son avenir, de son retour en France (je doute qu’il quitte les usa définitivement). J’avais prévenu, il peut devenir chiant à mort quand il a des états d’âmes sur les décisions à prendre. A suivre...

    mis en ligne 23:05


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  • Jeudi : journée très speed, trop...

    Vendredi : déjeuner avec mon patron et Lady S. Considérations professionnelles et bavardages personnels. Bonne cuisine et convives agréables. Un bon moment pour un vendredi. Rentrée à temps au bureau pour une autre invitation : café avec Nicolas. Bavardage un bon moment. Nous n’avons pas l’humeur travailleuse. Sa barbe de trois jours lui fait un beau visage et je ne me prive pas de le lui dire. Je lui parle de Sébastien, de Paris-carnet, de mon blog, de moi. Je me suis un peu beaucoup livré. Pourtant je n’ai bu que deux verres de vin au déjeuner. Ce fut une bonne journée qui clôturait une semaine très mal engagée. Ouf.

    mis en ligne : 01:44


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  • J’avais découvert le lien chez un blogueur. Je me suis donc inscrit. Oh, c'est juste une inscription pour dire que je serai présent à cette réunion mensuelle et très libre à tous points de vue (pas de règle).

    Et puis c'est la première fois que je vais y aller. Le nom de certains blogueurs que je lis me rassure. Pas évident de débarquer dans une assemblée déjà rodée aux rencontres. On se sent paumé, sauf si on connaît au moins un ou deux personnages. Car nous lisons pleins de billets sans mettre un visage, une voix, un regard, au fil des lignes que nous savourons. Cela n'est un problème, mais parfois on a envie de connaitre, par simple curiosité ceux que nous apprécions.

    J'arrive un peu à la bourre, vers 21h. Il y foule et les carnettistes se sont déjà installés dans la soirée. Je repère XIII dont je connais le visage et je me présente. Puis je me retrouve attablé près de deux autres blogueurs, Adrian et Pierre. Nous avons beaucoup parlé de blogs, d'écriture, de voyages, de tout et de rien, devant un pavé de viande délicieux accompagné d'un vin italien très gouleyant. Dernière nous, une joyeuse tablée joue aux cartes dans les rires et un joyeux vacarme. Plus loin encore, assis ou debout, d'autres discutent chopes de bières en main. Un autre, concentré, prends des photos des différents groupes. Est-ce le même qui photographie aussi les pliages de cocottes et de (sais-pas) en papier ... je ne sais pas. J'aperçois monsieur KA hors de portée. Shagoo serait-il là, mais où.

    La soirée avance, mes deux compagnons du début se sauvent. Je parle un instant avec Fred, qui part aussi. Il est 23h. Pour une première séance, cela me convient et je suis fatigué. Aggelos porte une cape somptueuse à capuche. Je veux la même ! Je vais dire au revoir à XIII : mais sa caméra remarche et on peut faire une interview ! OK et me voilà face à lui et à son objectif qui scrute et à son micro qui enregistre tout dans un bruit ambiant peu propice. En plus j'ai la voix éraillée par un mal de gorge persistant ! Sitôt fini, autant en profiter et XIII refait une interview avec un inconnu pour moi. Mais il semblerait que ce soit Les Tamaris qui m'a succédé ... c'est idiot, je lis son blog. Nous aurions pu nous présenter ! Et après je suis parti, au moment où d'autres carnettistes arrivaient : l'équipe de nuit en quelque sorte ! J'ai pu saluer M. KA en partant.

    En janvier je ne pourrai pas assister à la réunion, mais je compte bien être présent en février et je prendrais quelques photos.

    Pour les liens des carnettistes cités ici, voir sur Paris-carnet : http://paris-carnet.org/
    Il y a aussi la liste des présents et quelques comptes rendus.

    mis en ligne 23:50


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  • Samedi vers onze heures : petit tour à la Fnac. Achat du dernier d'Ormesson « la création du monde », rachat d'un Queneau.

    J'offre à Lady S "Les miscellanées" de Mr Schott, qui en retour m'offre "La fée carabine" de Daniel Pennac (et, oui, j'ai rien lu encore de lui...)

    Citoyen londonien d’une trentaine d’années, Ben Schott a fait un carton en Grande- Bretagne avec cet étrange recueil de miscellanées. De quoi s’agit-il ? D’un petit bouquin élégant dans lequel il a rassemblé toutes sortes d’informations, schémas et anecdotes sur les sujets les plus loufoques : la liste des travaux d’Hercule, les apparitions d’Hitchcock dans ses propres films, les ingrédients du Big Mac, le code irlandais du duel, les 100 décimales de Pi, l’échelle de dureté des mines de crayon, bref, tout un bric-à-brac pour briller en société et épater vos amis. Drôle, excentrique, futile, bref so british.
    (in Epok, l'Hebdo de la Fnac.)

    Mot de l'éditeur : " C'est une bien triste chose que de nos jours, il y ait si peu d'informations inutiles. " Oscar Wilde. " Un couteau suisse en forme de livre. " Elmar Krekeler, Die Welt. " .. vous, Monsieur, vous lisez les livres d'un bout à l'autre ? " Samuel Johnson. " Il n'a appris à lire qu'à moitié, celui qui n'a pas aussi appris l'art encore plus subtil de feuilleter & de sauter des pages. " Arthur Balfour. " Prenez garde à l'homme d'un seul livre. " Saint Thomas d'Aquin. " Si un livre vaut la peine d'être lu, il vaut la peine d'être acheté. " John Ruskin.

     

    " Si les vieilles dames se mettent à buter les jeunots, si les doyens du troisième âge se shootent comme des collégiens, si les commissaires divisionnaires enseignent le vol à la tire à leurs petits-enfants, et si on prétend que tout ça c'est ma faute, moi, je pose la question : où va-t-on ? "
    Ainsi s'interroge Benjamin Malaussène, bouc émissaire professionnel, payé pour endosser nos erreurs à tous, frère de famille élevant les innombrables enfants de sa mère, coeur extensible abritant chez lui les vieillards les plus drogués de la capitale, amant fidèle, ami infaillible, maître affectueux d'un chien épileptique, Benjamin Malaussène, l'innocence même (" l'innocence m'aime ") et pourtant... pourtant, le coupable idéal pour tous les flics de la capitale. (4ème de couverture)

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    Déjeuner crêperie bretonne : la bolée de cidre à l’air d’avoir un effet bénéfique sur mon début de bronchite ... Direction le cinéma avec Lady S. Nous avons quelques films en retard ...
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    Film « BABEL »
    Réalisé par: Alejandro González Inárritu 
    Avec: Brad Pitt, Cate Blanchett, Gael García Bernal, Mahima Chaudhry, Jamie McBride, Kôji Yakusho, Shilpa Shetty, Lynsey Beauchamp, Paul Terrell Clayton,

    En plein désert marocain, un coup de feu retentit soudain. Il va déclencher toute une série d'événements qui impliqueront un couple de touristes américains au bord du naufrage, deux jeunes Marocains auteurs d'un crime accidentel, une nourrice qui voyage illégalement avec deux enfants américains, et une adolescente japonaise rebelle dont le père est recherché par la police à Tokyo. Séparés par leurs cultures et leurs modes de vie, chacun de ces quatre groupes de personnes va cependant connaître une même destinée d'isolement et de douleur...
    (in http://www.cinemovies.fr/fiche_film.php?IDfilm=8060

    Quatre films, quatre destins qui démarrent et qui vont se rencontrer sur le fil ténu de leurs douleurs et de leurs solitudes aux quatre coins du monde. Superbement bien tourné. Des acteurs dont on oublie le nom à la ville, tellement leurs rôles les imprègnent. Des sentiments rugueux et bruts dans des situations de mal-être, de mal- vivre. Des prises de vues sur un visage, du sang qui coule, mais aussi sur l’immensité des paysages ou villes qui sont les cadres des drames et qui les rendent plus féroces encore.

    Un film à voir. On ne reste pas insensible aux questions qu’il porte ou qu’il soulève. Mais on n’est non plus obligé de se questionner ou de se torturer sur le message cinématographique ! On regarde d’abord un film ; on le savoure, on y repense et éventuellement on y pense autrement.

    Sortie deux heures plus tard, l’oeil content et l’esprit satisfait. Un tasse de thé avant de rentrer. J’ai un début de bronchite et je suis vaseux.

    Dimanche : au lit et au chaud avec de l’aspirine. Sage, pas bouger ! On se repose entre sommeil et tisane ....

    Lundi : je suis mieux. Arrivée au bureau à dix heures. Mais le temps de lire un peu et d’écrire ce post il est presque minuit. Bonne nuit ....

    mis en ligne 00:54


    3 commentaires



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